jeudi 30 juillet 2009

Retour

Facile de prendre une décision, facile aussi de l'assumer. Mais en voir tout les impacts sur le long terme est moins facile.

Avec le temps je verrais a quel point j'ai eu raison de retourner sous ma carapace, de rester tranquille. J'ai décider de retourner a la source, ce qui ma permis de pouvoir être encore la aujourd'hui.

Ça a marché pour les 20 dernière années ou a peu prés, je me suis risqué, j'ai tout donné, mis mes tripes sur la tables et les ai regardé pourrir sans penser que un jour je devrais les remettre a l'interieur. Les remettre sous protection, même si elle ont pourris, elle sont de nouveau miennes.

Bien je vais les garder jusqu'à ce qu'elle soient présentables et encore, peut-être qu'il serait plus sage de les garder pour moi.

Le mot le dit, s'ouvrir aux autres, justement, s'ouvrir l'âme et le cœur revient a s'ouvrir les veines, pas n'importe laquelle, la jugulaire du cou.

S'ouvrir, se vider sans demander, sans rien attendre, mais une fois vide la transfusion devient parfois vaine. Reste le coma émotif, bien qu'avec parfois des remontées nous laissant croire a une rémission complète de l'âme, la noirceur revient sporadiquement nous hanté.

Pas toujours facile de passer d'un extrême a l'autre, seul sans rien d'autre que la force intérieur qui fait que nous sommes encore la.

Point envie d'en finir, je veux continuer, c'est sur et certain. Mais en prenant garde aux embuches de la vie, je serais surement mieux pour l'instant. Ne pas trop rêver, ne pas trop espérer, juste prendre ce qu'il me faut pour continuer. Retour aux sources, ne rien attendre, se réjouir lorsque ça va bien et voir que quand ça va mal, bien ça va passer un jour.

Ne pas s'attendre au feu d'artifice mais quand même voir le soleil et s'en réjouir tout en sachant que peu importe, la nuit reviendra et ainsi de suite.

Non je ne suis pas négatif, en tout cas pas d'après moi. Je suis bien, je suis avec moi-même. Et je n'ai pas l'intention de laisser quiconque me faire mal, ce qui inclus ne laisser personne me faire du bien non plus, du moins pour l'instant.

Travail

Bon, nouvelle journée, mais au moins content d'aller travailler. Je trouve ca vraiment important d'aimer ce que je fais et de pas y aller a reculons. Meme si des fois je paresserais encore une heure ou deux dans mon lit.

Je vais aller faire mon menu tout de suite comme ça plus de temps avant de me ramasser dans le jus.

En espérant une soirée rempli et pas trop tranquille comme hier.

Bon appetit.

mercredi 29 juillet 2009

La mort

Parfois je travaille avec lui, parfois il me laisse finir ce qu'il a commencé, parfois il ne veut qu'effrayer sans me laisser la joie de vous la prélever.

Mon ami le mal n'est pas toujours d'accord, pour me laisser le droit de vous donner la mort.

Je peux très bien me passer de lui, mais sans ses préliminaires, c'est une besogne a moitié accompli.

Voir dans vos yeux implorant miséricordes, je trouve satisfaction bien plus que de vous voir au bout d'une corde.

Je fini toujours par arriver a mes fins, et je n'ai pas comme lui besoin d'aller me cacher a l'arrivée du matin. Qu'il fasse jour ou nuit je finirais bien par vous enlevez la vie.

Nul recoins ou vous cachez, aucune frontière ne peut nous séparer.

Dans votre sommeil ou a votre réveil, je finirai bien par reprendre ce qui m'est du, impossible de repousser l'heure lorsqu'elle est venue.

Ne m'oublier jamais, car sans votre âme jamais je ne serais en paix.

Ne me craignez point, vous savez déjà que je serais pour vous la fin.

Mais pour mon plus grand plaisir, j'aime bien voir mon ami le mal vous faire souffrir.

Encore demain vous pourrais respirer, mais demandez vous si c'était votre dernière bouffée. Car qui peut prédire, a quel heure je viendrais vous quérir.

Complexité quand tu nous tiens

La chance était mince, mais malgré tout elle existait, comment savoir par ou commencer et entrevoir une fin a ce qui na pas encore débuté ?

Tout en marchant vers un but encore flou, l'envie de retourner vers son point de départ était forte.
Mais une fois lancer rien ne peut l'arrêter, tel le petit castor :)

Non, sérieux, tout comme le papillon qui croit bien faire en se dirigeant vers la lumière pour s'y réchauffer, l'espoir de trouver un peu de réconfort en cette chaleur qui l'attire tel un aimant, finira par le tuer inévitablement. Ce désir profond de réconfort et de bien être pourrait s'avérer n'être que poison et renforcer l'envie de retrait qui déjà est présente et contribue a sa survie du moins émotive, je suis du genre a détester me poser trop de questions, mais je ne choisi pas toujours ce qui régi mon cerveau. Malheureusement aucun interrupteur pour le fermer quand bon me semble.

Mais a force d'y penser je suis capable de voir que non, il vaut mieux parfois laisser ses rêves de cotés pour voir la réalité et stopper ce flux de mauvaises idées qui parfois tente de me contrôler.

Non qu'elles sont désagréables, mais qui me laisse entrevoir que peut-etre
encore je serais privé de ma capacité a réfléchir et a dormir, non que je dorme déjà bien, mais qui encore plus que maintenant me tiendront a bout de bras avec l'espoir d'un rêve depuis longtemps oublié.

Mais quand même, des fois il fait bon rêver.

Parfois le temps passe s'en que l'on s'en rende compte, et d'autre fois chaque seconde du cadran résonne comme un siècle a nos oreilles. Tout est relatif, mais je préfère et de loin, ne pas voir le temps passer car encore trop de secondes et d'heures sont avenir, ou a venir.

lundi 27 juillet 2009

incongruité

Ressentir n'est pas toujours suffisant, des fois je voudrais savoir, comprendre, être sur que ce n'est pas juste le fait d'en avoir envie qui fait que je ressente une possibilité de.

Mais en même temps si je le ressens c'est peut-être parce que j'en ai besoin, de ressentir ça. Même si je ne le vis pas, le fait de commencer a entrevoir mieux, et de savoir que oui ça se peut, bien ça me fait sourire, c'est déjà ça de pris.

Tout ce que j'ai besoin n'est surement pas très loin, en temps ou en matière.

A force de chercher on fini par oublié pourquoi on le cherchait. Et quand on le trouve on ne sais plus quoi en faire. Mais on peu aussi chercher pour des raisons qui nous paraissent les bonnes, mais après coup réaliser que une béquille, ça ne remplacera jamais une jambe, je sais pas si vous voyez ce que je veux dire.

Ça peut être bien de s'accoter, le temps de se reposer un peu. Mais il faut pouvoir se fier sur nous même, être capable de se tenir sans artifice, physique ou chimique. A force de rester dépendant de ces moyens qui nous aide a court terme, il peut parfois devenir difficile de se relever a long terme.

Je peu en parler pour l'avoir essayé, la réalité fesse fort dans ce temps la, des fois plus fort que le pourquoi qui nous a mené a nous en servir, pour diminuer un mal que l'on croyait plus fort que tout. L'on s'en impose un autre.

Un peu trop pris dans ma tête peut-être, les décisions difficiles ne le sont pas en vain, le fait de savoir quoi mangé pour souper ne nous apporte guère plus qu'un estomac satisfait. Mais de savoir ce qui meublera notre vie personnelle pour les prochaines années sera plus ardue a trouver mais combien plus satisfaisant.

Je ferais peut-etre mieux de m'en tenir la pour ce soir si je ne veux pas voir les gars en blanc arriver. Un peu de lecture et ça passera surement.

Continuité

Des fois dans la vie l'on crois disposer de toutes les informations nécessaire au bien être de notre personne et de ceux que l'on chéri. Parfois lorsque tout va mal l'on croit que tout va toujours aller mal, idem lorsque tout va bien. Merde, tout est en continuel changement pour absolument tout sur cette planète. Du micro au macro. Rien n'y échappe, RIEN.

Ce n'est pas que nous ne le savons pas, car tous dirons que oui ils savent qur tout change constamment, et qu'ils en sont conscient.

Mais pourquoi alors que quand tout va mal, nous ne voyons pas que oui, un jour ca ira bien de nouveau. Broyer du noir a se pendre.

Et que malheureusement que quand tout va bien, bien oui un jour ou l'autre il y aura de nouveau du sable dans l'engrenage.

Tout change et ce pour toujours, le statut quo n'existe pas. Même les écrits sur papier finiront par se dégrader tout comme ceux virtuel.

Alors si tous nous savons cette vérité, pourquoi certains semblent se complaire et oublie que jour après jour il faut y mettre du sien si nous ne voulons pas sombrer dans une mer de marasme et d'agonie. Pourquoi dans un couple nous tenons pour acquis l'amour de l'autre ?

Que ce soit en relation amoureuse ou d'amitié, lorsque nous croyons possédé et que ce bien nous semble de bon droit acquis nous arrêtons de mettre l'énergie pour que ce moment dure encore et encore.

Demain n'est pas hier, ouvrons un tant soit peu les yeux pour réaliser que jour après jour nous devrons garder ce doute de voir disparaitre ce que l'on chéri et aime. Non par peur ou par jalousie, non par paranoïa ou insécurité maladive, mais bien parce que tout change et nous devons a chaque heure de notre vie nous y adapter, ne pas le faire signifie la fin de ce que l'on avait cru éternel.

Tenter de rester positif ne tient pas la route, soyons plutôt réaliste, mettons y du notre pour voir encore demain briller sur nous, les feux qui nous réchauffe et nous anime de bien et de vie.

Ne jamais oublier que peut-être demain sera noir ou gris ou bleu, mais ne pas oublier que peut-être demain ne sera pas.

Maintenant prenez celui ou celle qui est cher a votre cœur et offrez lui le plus beau de tout les câlins, et dite lui combien vous l'aimer, après il sera peut-être trop tard, qui sait.

mercredi 22 juillet 2009

Tranche de nuit

Tout est calme, rien vraiment de particulier, a part cette soif de vivre, l'envie de continuer, de ne jamais arrêter de toujours vouloir plus.

Comme je disais dans un billet précédent, tout est rendu calme, non comme l'eau qui dort en hiver, mais plutôt comme un arbre en été.

Bien vivant, en ne regardant pas un possible hiver approché, mais en vivant ce moment qui pourrait durer éternellement. Après s'être gonflé de mille bonheurs, espérer que tout continue ainsi pour longtemps.

Malgré les heures de noirceur, toujours avoir la certitude que bientôt le soleil reprendra son du. Que encore et ce pour longtemps je serai son amant.

Enfin de retour a la surface nul envie pour moi de quitter cette place que depuis longtemps je cherche et peine a trouver.

Mais enfin, sans grande motivation je devrais parfois me taire, mais même si tous ne sont point touché par ceci, je ne suis ici que pour me satisfaire et non pour tenter de continuellement plaire.


A peine plus haut que trois pommes, l'on croit déjà savoir ce que l'on veut apporter a la vie, etre policier, médecin etc.

L'on ne demande rien a celle-ci. Le bonheur de l'enfance, la naïveté de croire que tout peut arriver. Pour mon plus grand bonheur, je commence a la retrouver, a me dire que oui tout peut arriver. Mais aujourd'hui ce n'est plus par naïveté mais bien par conviction que chacun mérite du moins en partie, le bonheur qui lui arrive.

Travailler pour enfin voir pousser toutes ces graines planté il y a longtemps et parfois oublié de nous. Mais la vie se chargera bien de les faires pousser pour mieux nous remmemorer que chaque bonne choses revient a son auteur un jour ou l'autre.

lundi 20 juillet 2009

Le mal

La nuit, fragile parcelle d'une journée. C'est ce moment que choisit l'homme pour me perpétré, loin des regards, loin de la lumière, quelques heures par jour je m'introduis en vos âmes pour les déformées, pour vous manipuler et agir comme mal peut bien me sembler.

Nul besoin d'aller chercher bien loin, pour trouver une âme déjà suffisamment torturé, pour lui murmurer a l'oreille les mots manquant pour la faire basculer de mon coté.

Douce folie d'une nuit, je prend place ou la pourriture a déjà fait son nid.

Il ne me reste plus qu'a dicter mes ordres a ce futur accusé, lui en qui le mal de vivre est deja installé. L'homme, cette bête assoiffé de sang, ne pourra me résister longtemps.

Prenant sa honte a deux mains, il espère que jamais ne vienne demain.

Arpentant les ruelles dans le noir, a la recherche d'une victime pour l'abattoir. Guettant sa proie, le retour en arrière n'est plus un choix.

De ses mains trapues, il attrape son innocente victime et la tue.

L'aurore est a nos portes, il est l'heure de retourner dans mon caveau, soyez sur que demain je serai la pour de nouveaux maux.

N'oubliez jamais de regarder derrière vous, qui sait, je serais peut-être au rendez-vous.

Quand on s'y attend le moins

Cliché sur utilisé mais combien véridique.

Je pourrais développer longtemps sur cette phrase connu de tous et employée a toute les sauces. Mais pour chacun de nous elle s'est avéré vraie un jour ou l'autre de notre vie, sur un sujet ou un autre.

Pour moi, les trois dernier jours m'ont conduit a réaliser un tournant majeur dans cette route que je parcours depuis maintenant un an ou presque. J'ai réaliser pendant ces trois jours de réflexion et de relaxation, mentale et physique, que enfin la route en gravier va enfin redevenir une avenue pavé de ce que je voudrais bien qu'elle soit.

Surement de doute pour commencer, pour doucement se diriger vers une voie pavé de bonheur et de bien-être.

Fuck que ca fait du bien, a moi les nuages et les étoiles, mais doucement quand même, rien ne presse lorque l'on sait que ce qui importe n'est pas tant le but mais le chemin qui nous y mene, car pour s'y rendre il ne faudrait pas se perdre en chemin du a notre trop grande vitesse de croisiere.

Voir venir doucement, profiter de cette nouvelle route qui s'ouvre devant moi, mais surtout profiter du paysage, de toute les beauté dont elle est faites.

Im back.

dimanche 19 juillet 2009

Chandail parfait pour Hispong

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Magnifique

Magnifique journée, fini tout ce que j'avais a faire a l'intérieur. A l'intérieur de mon appartement et en partie a l'intérieur de ma tête.

Ça aide toujours le moral de voir que tout est propre et a sa place, commençons par l'extérieur et continuons sur l'intérieur. Toutes les fenêtres sont ouverte, faut faire ventiler des fois, ça fait du bien. C'est pareil pour le moral, des fois faut ventiler l'interieur pour ne pas surchauffer.

La noirceur s'en vient bientôt, avec elle la tranquillité de ce coin paisible ou je demeure. J'irai donc encore et comme toujours me promener dans ce magnifique silence qui m'apaise et me calme.

A prendre note pour ceux qui me lisent, mes histoires mélo-dramatique sont en grande partie de la fiction mêlé de parcelle de mon passé, ou de celui de gens que j'ai connu. A prendre au 2eme degré ;)

samedi 18 juillet 2009

Brasier

Impossible de dire ou cela a commencer, sa vie depuis toujours vécu par procuration. Il ne se demandais jamais pourquoi mais continuais a le faire.

Dans les yeux de celle qui était tout pour lui, il respirait sans se demander si un jour son souffle serait réduit a néant.

Avec ce temps qui passe, il vient a se demander si jamais cet amour qui coule de ses yeux continuellement arrêtera un jour pour laisser place a un sourire, si éphémère soit il.

L'espoir n'est plus de mise, il devient un rêve depuis longtemps oublié.

Avec tout le courage de ses tripes, il comprends que pour s'en sortir il devra voir son sang coulé.

Comme dernier signe d'amour et de soumission il va chercher une lame pour enfin déverser ce qui lui reste de vie en lui.

Ce qui lui reste n'est point du courage ou de la fierté, mais bien cet amour qui coule en lui et qui le brule.

Pour enfin éteindre ce feu qui le consume, il se mutile en commençant par les poignets puis continue avec les cuisses, ils sait très bien par ou se déversera cette lave d'amour pris en lui.

Mais enfin libre de ce brasier intérieur, il pourra enfin être en paix avec lui même.

Ce mal qu'est l'amour ne le brulera plus jamais.

L'amour a sens unique, est plus destructeur que toute les solitudes du monde.

vendredi 17 juillet 2009

Temps

Le temps, a force de répéter ce mot, il perd toute signification.

Mais quand même, des fois il serait bon de l'arrêter. Non pas de l'arrêter, mais de voir ce moment durée indéfiniment. Que le temps continue a se répéter lui même en boucle. Rarement je l'ai souhaité, mais lorsque la vie nous fais ce genre de cadeau, nous souhaiterions que la boucle ne se termine pas et que ce moment dure encore et encore.

Patience, vertu que j'essaie d'apprivoiser. Ils devraient en vendre a l'épicerie.

Mais jamais le sablier n'arretera son cour. Donc apprecions chaque grain de sable qui laisse sa place au suivant. Car une fois passé nul espoir de le voir revenir.

Mais peut-être que le prochain sera encore plus magnifique. Qui sait ?

En me souhaitant qu'un jour je sois submergé de ces merveilleux grains de sable qui forme la vie et m'éteindrais, enseveli sous ces instants de bonheur.

jeudi 16 juillet 2009

De haut

Continuellement a s'engueuler, ils voulurent tout deux prouver leurs supériorités, ils en viennent a se lever et a se battre a coup de mots.

A se regarder d'un regard qui pourrait tuer.

l'homme s'arrache la tête et la porte a bout de bras pour la regarder de haut, la femme ne voulant se laisser impressionner, en fait autant.

Tout deux morts au bout de leurs sang, ils n'auront jamais compris qu'ils auraient mieux fait de s'asseoir et de se regarder dans les yeux, de se parler tendrement, plutôt que de vouloir se dominer.

Maintenant, jamais plus ils ne pourront se calomnier.

mercredi 15 juillet 2009

comprendre

Comprendre que tout n'est pas simple mais compliqué sans l'être, réaliser que parfois nous sommes les seul a se compliquer tout ce qui ne l'est pas.

Comprendre ce que parfois nous prenons pour acquis n'en est rien.

Comprendre qui nous sommes afin de mieux le transmettre.

Mieux nous comprendre nous-même, car chaque chose a un début. Trouver en nous la force de ne plus douter, mais bien de confirmer.

Aucun age pour essayer de comprendre ce que nous sommes et de savoir nos besoins.

Jamais trop tard pour être heureux.

Si ainsi en ont voulu les dieux.

Pourquoi refuser un bonheur, de peur de voir venir les pleurs, profiter de chaque instant, comme du dernier moment.

temperature

De la pluie sans arrêt. Tout le monde se plaint, pour faire changement. De toute façon si c'est pas ça ont se plaindra qu'il fait trop chaud et que l'ont a de la misère a dormir, et patati et patata ...Non moi si ce n'était pas que ça ralenti le travail, aucun problème avec ça.

Vous direz que je suis d'humeur taciturne, et bien oui, vous aurez raison.

Quand je me lève et vois un beau ciel gris, (pas toujours mais souvent) la température complète très bien mes émotions présentes. Sans me rendre jusqu'au déluge intérieur, j'aime bien cet entre deux.

Quelques percées ici et la et quelques gouttes de pluie. Comme pour m'accompagner dans mes émotions intérieur. Comme si la nature aussi était d'humeur variable et que avec elle mon sourire revenait avec ses rayons de lumières sans toutefois tenter d'échapper a cette tristesse qui ne devrait pas rester caché.

Je profite de chaque moment de soleil, mais je profite aussi de ces moment plus gris, sans etre noir. Désolé pour ceux qui ont des vacances, je comprends quand même les gens de maudire dame nature quelque fois. Mais moi entre mes quatre murs, le bruit de la pluie me fait l'effet d'un merveilleux calmant.

Rien de mieux pour m'endormir comme un bébé.

dimanche 12 juillet 2009

trop

Trop vouloir, c'est comme pas assez comme ont dit.

Vouloir être heureux, vouloir rendre les autres heureux, vouloir que tout ce qui m'entoure soit beau et bon. Utopie suprême d'un rêve de ce que tous souhaiterais. Mais quand même plusieurs choses qui se matérialisent commence par un rêve.

A force de pousser même si j'y mets tout mon soul, tout mon être, si le rocher est immense il ne bougera jamais. Ce qui ne m'empêchera pas de continuer a le pousser quitte a mourir vidé de mon énergie, de mes espoir et de ce rêve que jusqu'à la mort je continuerai a croire possible.

Tout va bien, énorme mensonge que j'essaie de me faire croire jour après jour.

Croyez vous vraiment que lorsque vous entamez une conversation avec quelqu'un et que comme toujours l'ont demande ça va? oui toi et tous ou presque disent oui merci. politesse trompeuse, rare sont ceux qui vont s'ouvrir pour dire que non, les gens ne veulent pas entendre non, car cette réponse porte a développement. Et chacun avons nos démons, qui doivent rester caché.

Je me suis fait une façade, maintenant je souris a tous, tous me crois heureux, et oui même si cela parait très paradoxale, ça m'aide j'ai réussi a me faire croire que tout va bien. Et a force de le croire, bien oui je vais mieux.

Mais encore je parle avec les gens a mon travail, (seul temps ou je me mêle avec le genre humain avec discussion) et ces personnes qui ne me voit que quelques heures par semaine pense m'avoir cerné de pars mes réactions au travail. Impossible de connaitre le fond d'une âme sur la façade dont chacun se couvre en dehors de sa zone de confort.

Même après plusieurs années, les gens qui nous entourent peuvent nous surprendre, nous déboussolé. Une seule règle a respecter. Nous ne connaissons jamais personne avant de les avoir vu a nu, vraiment a nu. Après un coup dur de la vie ou chacun s'ouvre et se livre, ce qui arrive rarement. Si quelqu'un de votre entourage se mets a nu devant vous, vous aurez alors la plus belle preuve de confiance. Et vous saurez que vous êtes choyez de pouvoir voir la vraie nature humaine une fois dans votre vie.

A plus tard, le fleuve m'appelle, avec son chant de sirène perdue.

mardi 7 juillet 2009

endormi

Je suis comme endormi, c'est un peu dur a expliquer.

Depuis des mois je me sentais comme mort, dans un coma cérébral. Aujourd'hui ça va mieux, je suis comme endormi.

Un sentiment paisible, celui de savoir que un jour je vais me réveiller et que tout va enfin reprendre son cour normal. Ça fait du bien.

Je me pose moins de questions, cherche moins a savoir pourquoi. Laisse aller petit a petit le passé pour commencer a entrevoir le futur.

J'espere qu'au réveil une belle brune sera la pour rester couché avec moi, malgré que si ça arrive je vais surement croire que je suis encore endormi et que je rêve.

Mais même si ce n'est pas le cas, je me lèverais et partirais a sa recherche. En attendant je vais dormir encore un peu. Bonne nuit.

dimanche 5 juillet 2009

en passant

La vie nous fait ressentir tellement de choses, difficile a gérer trop souvent. bonheur, malheur, d'un extrême a l'autre.

Mais au moins l'ont ressent, nous sommes vivants. Quand le mal prend plus de place que le bien, libre a nous de décider d'en finir. Mais le mal reste une émotion, un signe de vie. Rien de plus beau que de se savoir vivant.

Des fois l'espoir de voir le bien réintégrer notre vie s'amenuise et il devient difficile voir presque impossible d'entrevoir un futur paisible et heureux.

La patience n'est parfois plus une option, le rouleau est vide. Mais même si nous n'y croyons plus, un jour prochain la vie saura nous rendre heureux encore. difficile d'y croire, ne reste plus que la certitude profonde que certains appelleront la foi, ou peu importe le terme. Il ne reste plus que ce sentiment que malgré l'adversité et le fardeau parfois trop lourd, la vie sera encore pavé de bonheur et de joie. Je le souhaite a tous.

Patience, sans toujours chercher a savoir ou a comprendre. y croire devient parfois la seule chance de s'en sortir.