mercredi 30 septembre 2009

Générations de y à z, après ce sera quoi?

Sujet peut-être désuet pour plusieurs, mais qui aujourd'hui pour moi du à un événement fortuit me mène à en débattre.

La joie de vivre qui autrefois habitait nos grands-parents surtout, cette époque ou ils travaillaient dix fois plus fort que nous avec cent fois moins de ressources et cinq fois plus de bouche à nourrir.

D'accord ils se peut impossible pour les plus jeunes de se remémorer ces temps morts depuis pas si longtemps. J'ai 31 ans presque 32 (en février), j'ai eu la chance de voir mes grands-parents me parler avec ferveur de ces temps ou la misère était omniprésente, mais aucun ressentiment dans leur voix quand ils me parlaient de ces heures interminables ou l'homme devait subvenir au besoin de sa famille et ou la femme donnait carrément sa vie pour faire de sa progéniture des gens biens, (car l'homme du passé travaillait à un tel point, qu'au même titre que sa femme servait de machine à enfanter, servait de machine à pourvoir à sa famille) laissons l'église de côté, elle le faisait par amour pour eux, point. Même si cette dernière les y a un peu (beaucoup) forcée.

Je ne dénigre pas l'implication de la femme d'aujourd'hui, qui elle aussi se valorise et quand elle en sent le besoin s'émancipe de cet ère rétrograde qui voulait la garder pour machine à reproduire.

Mais dans un autre ordre d'idée, ne méprisons pas celles qui ont donné leurs vies, pour éduquer ces jeunes qui à mon humble avis, respectais et ce de loin leurs ainé(e)s, comparer à ces enfants roi qui éduquer à coups de matériel pour taire leurs pleurs incessants qui demande à se divertir avec ce que la société leurs offrent, fautes de pouvoir avoir à leurs cotés un grand-père qui leur conte de multiple histoires, vrai ou fausse mais toujours divertissante, vrai? du fait que leurs grands-parents sont surement déjà soit morts ou placés, par faute de temps ou de moyen de pouvoir s'en occuper.

Laisser moi pleurer, faute de moyen, oui la valeur du dollar a changé, mais ce n'est point le responsable a priori, dites bonjour à la surconsommation, c'est beaucoup moins drôle vue de cet angle, donc disons faute de temps, c'est mieux pour nous sinon les antidépresseur seront de mises, pour sur. Avons nous jamais vu un animal s'apitoyer sur son sort, seul l'humain se sens le besoin de faire cela pour se disculper de ses torts, acceptons nos erreurs et au lieu d'en accuser le monde, tentons d'y remédier.



Ceux de ma génération auront vu l'entre deux, ou encore nos parents nous éduquaient, nous restreignaient à avoir un savoir vivre et un respect de cet autorité parentale, et de voir que tout ne nous étaient point du au fait de notre simple naissance. Devoir acquérir le respect, le droit de devenir des hommes et des femmes par nos efforts pour prouver que nous méritions ce du auquel aujourd'hui les plus jeunes ne ressente aucun besoin de prouver leurs valeurs pour acquérir le titre de personne émancipée de joug parental.

Je sais s'éternise sur un passé déjà dépassé mes réflexions de vieux jeu qui revoit en son crâne des temps morts et enterrés.

Mais le point central de mes régurgitations cognitives, c'est de tenter de comprendre comment avec toute ces ressources et ces "biens" matériels qui nous commandes bien plus que nous ne les contrôlons, ou avons nous perdu la joie de vivre et de transmettre cette joie à ces générations futur qui dès demain régiront notre monde.

Je n'ai aucunement perdu espoir que si j'ai une famille un jour je prendrai de mon temps pour communiquer à mes enfants, et ce dès leurs jeune âge, la joie et le bonheur de vivre ici, et de leurs confirmer à quel point ils doivent voir que la vie passe avant tout par l'essentiel, qui pour moi est de sourire et de transmettre ce sourire qui reflète la joie de vivre qui est un lègue bien plus important que ce que je pourrais leurs laisser en billets verts après mon départ.

Un jour, je pourrais je l'espère,tenir en mes bras un parcelle de notre futur à tous, alors ma vie n'aura pas été vaine.

Bien à vous, ceci dit sans dénigrer ceux qui n'ont point connu ce dont j'ai fait mention ci-haut. Mais bien dans le but de vous dire qu'avant vous ont existé des gens sans pareil ou presque de nos jours, souriez, c'est gratuit et tellement réconfortant pour tous.

Au plaisir.

Un homme qui crois en vous.

lundi 28 septembre 2009

La femme et la mer

Envie de me distraire un peu, comme toujours.

Me laissant bercer par son humidité, je continuais à croire qu'en elle je pourrais pêcher.
La regardant avec mes yeux qui ne pouvait l'apercevoir sur tout ces rivages, je du me contenter d'en voir une partie et laisser le restes sans image.
Elle, si voluptueuse, si caressante de toute sa force, elle peut m'envelopper en elle et m'y conserver jusqu'au bout de mes forces.
Sa beauté n'a d'égal que le pouvoir d'attraction qu'elle me fait sentir, comme celui que cet astre lui inflige.

Elle dégage cette force tranquille qui me fait sentir plus puissant, nuit après nuit je ne demande qu'à être son amant.
Me retrouver en elle, me sentir vivant, de pouvoir la pénétrer complètement.
Sa douce caresse sans prévenir peut tourner à des gestes des plus violents,
il est essentiel de la prendre avec mes gants blancs.

Cette force de la nature, elle qui toujours aura mon amour je le jure.
Sa beauté encore sur moi me laisse béat, d'une émotions plus forte que son poison.

Jamais je ne ferais de différence entre une femme et l'océan, pour les deux je donnerais mon sang.

Pour tant de beauté, qui encore me font délirer, pour toujours à vous je serais enchaîné. Sans vouloir jamais vous quitté, peut-être non plus ne pourrais-je m'en approcher.

Temps

Des fois j'aurai voulu plus de temps pour comprendre certaines choses, parfois ça va trop vite et nous devons prendre des décisions rapidement.

Le temps n'est malheureusement pas élastique. Le temps donné pour comprendre n'est pas toujours celui qu'il m'aurait fallu.

Après coup je ne regrette rien, mais je me questionne parfois sur ce qui serait arrivé si j'avais pus fractionner le temps pour réfléchir un peu plus longtemps.

Temps qui passe, qui me dépasse qui jamais ne repasse.
Temps qui laisse sa marque, temps qui encore me marque.
Ce temps qui continue, peu importe ce que j'aurai voulu,
me laissant pris au dépourvu, de voir volatiliser ce que j'avais entrevu.
Secondes qui s'échappent, secondes qui dérapent,
laissant ces minutes, devenir des heures qui encore me leurrent,
voir devenir ces journées des années, qui me laissent le droit de rêver.
Pour enfin devenir une vie, celle que j'ai choisi.

dimanche 27 septembre 2009

Focus

Un de plus, voir un de moins, sans rapport à ce que je pense. Lisez un de plus, de plus sur quoi? rien, je n'ai rien à dire ce qui adviendra après moi.
Je viens ici pour me servir de ces textes comme exutoire.


Bon bien commençons.

Me décrire comme une personne saine d'esprit ne serait que brume envoyé pour ne pas laissé de trace.Je ne suis pas d'un côté ou de l'autre.

Le temps réduis l'infini. Car l'infini n'a pas besoin de temps. Le temps délimite, L'absence de temps reviens à la base de la vie.

Sans temps impossible de déterminer le début et la fin.

Bien la vie est cela, si l'homme n'est point présent, qui dirige le futur.

Oubliez, trop de vies, trop de moments, trop de réactions que vous n'avez point entrevue , le monde est fait de millions de réactions, la votre ne vaut pas plus que celle d'un autre.

Vous réaliserez que la vie vaux beaucoup moins que la mort.

Désoler, si vous me lisez, vous deviez vous y attendre.

Sans la vie, il n'y aurait point de mort.

Arrêter de tenter de comprendre, vivez, point.

Sans aucun point de me sentir bien, donner pour donner.

mercredi 23 septembre 2009

Quoi encore

Oui, quoi encore. De retour dans mon univers on ne peu plus désarticulé, pour ne pas dire carrément démembré.

À chercher ce qui ne me reviens pas en mémoire, ce que j'avais cru percevoir, à l'intérieur d'un regard. Tromper par mon instinct, meurtri pas mes espoirs de voir devenir vrai ce qui fomente en moi vis-à-vis ce en quoi je croyais me diriger.

La peur de devenir misogyne, du à ce ressentiment décuplé à nouveau, je les aimes trop. Je dois me protéger avant de passer à cet extrême.

Entrevoir que rendu ou j'en suis, le passé qui me colle au cul, et le futur qui me fuit tel la peste. Je dois maintenant composé avec un présent qui ne me donne point envie d'entrevoir un futur qui pourrait être.

J'y crois toujours, c'est probablement la source de mes démons, l'espoir que encore sera visible en ma pupille la flamme qui allumera ce qui reste de braise en mon cœur. Il n'est point hémophile, la cicatrice se fera bien en temps et lieu, mais la transfusion sera peut-être de mise pour le remettre sur pied.

Voir d'un regard aveugle, celui qui n'a pas besoin de mes orifices oculaires pour ressentir ce que la vie m'envoie jour après jour. Même aveugle je ressens toujours ce qui transpire de ces attentes qui ne me mène qu'à une amère déception encore.

Les ténèbres sont parfois arrosé de pluie d'étoiles, qui pour un court instant me donne le courage de croire encore possible, l'impossible.

Rien n'est impossible, je m'accroche à ce nuage en espérant qu'il m'emmène avec lui loin de l'orage, vers de meilleur cieux. Je continuerais de marcher quitte à user ces semelles à m'en faire saigner les pieds, pour que encore mon cœur s'envole et se défasse de ces chaines que sont le désespoir et l'incrédulité, pour enfin trouver celle qui me redonnera mes ailes.

Ne jamais abandonner, même si le fardeau devient plus encombrant qu'une paire de souliers lacés ensemble.

Y croire, même si je n'y crois plus.

lundi 21 septembre 2009

De tout 2ième partie

Assez de sérieux, soyons joyeux!

Retournant voir ce qui se passait au parc ou jadis je performais en tant que troubadour d'un jour, je réalise que les mêmes attardés qui m'ont chassé la dernière fois sont au prise avec un problème que nous ne saurions imaginé.

Le plus brave d'entre eux était au prise avec mon ami l'écureuil borgne. Un stupide pari pour savoir combien de temps il pourrait le garder dans sa culotte, tous de joyeux lurons pour sur. Le spécimen tentant de retenir mon ami avec sa couche contour, n'avait point calculé que malgré son œil manquant, ses dent étaient toujours présentes. À vous de deviner que ses noix ont fini en repas pour gourmet. (peut-être serait-ce une solution plus rapide pour Drew ;)

Je m'étais vêtu de mon plus bel habit de mime. Donc impossible pour moi de commenter ces événements loufoque. Je prend toujours mon rôle au sérieux, je suis un professionnel, un vrai.

Ne pouvant signaler ma présence par voie sonore, je du me résoudre à mimer mon mécontentement par des gestes saccadés, tentant de me faire comprendre avec des gestes bien calculés.

Mais avec cette troupe de génie en herbe, impossible d'en tirer le moindre résultat. Je pris donc place sur mon piédestal pour livrer la performance d'une vie. Tous subjuguer par tant de grâce, ils n'avait jamais imaginé que l'homme pouvait démontrer une telle profondeur.

Mon numéro interrompu par l'arrivée des ambulanciers, je du me résoudre à laisser mon rôle pour défendre mon ami l'écureuil qui était accusé de voie de fait.

Seul contre cette foule en colère, je réussis tant bien que mal à le faire libéré. Les agents de la paix voyant bien que si un mime parle, ce n'est pas pour ne rien dire.

Je vais mettre ce vieux rêve de coté le temps que je me trouve un passe temps qui ne nécessite aucun contact social.

Peut-être une collection de carte de bingo ou bien d'étiquette de produit périmé ? Des idées ?

Rien d'interessant

Mes derniers billets étaient personnel, divertissons moi un peu.

Avançons dans le plus parfait silence, mesurant à chaque pas le futur des tout ces pingouins qui vivent et voient la vie de sur la banquise. Comprenons bien leurs détresse de voir leur monde se défiler tel un serpent sur la dune.

Apprenons à respecter l'ours qui dévore nos rebuts tel un plat cinq étoiles. Cette faune invisible de fourmis sous terre qui continue de la dévorer pour que nos maisons s'enlisent dans ces crevasses créée de toute pièce.

Voir tout ce qui entoure le lac pour mourir avec l'avancement de l'homme sur lui. Planter un arbre pour encore pouvoir produire notre quotidien favori demain.

Engraisser le porc pour que notre déjeuner de demain soit plus goûteux, nourrir de cadavre les bêtes pour ensuite s'exclamer devant ce massacre perpétrer pour augmenter le profit au lieu de maintenir un fragile équilibre qui depuis déjà longtemps a cessé d'être.
Cela n'est pas joyeux, je me divertis bien comme bon me semble.

Boucherie combiné d'aveuglement sur tout ce qui nous entoure, pourquoi continuer de lire, vous êtes déjà retourné vous placé sous vos oeillères, regarder devant sans voir les dommages collatéraux de ces gestes posés quotidiennement.

Je seconde la motion, continuons, ne nous inquiétons plus pour le sort de ce véhicule qui nous portent, commençons à nous en faire pour ses passagers qui voyagent à une vitesse folle sans être attachés. Le choc sera brutal, voir mortel. Mais c'est déjà la ou nous allons, non.

Continuer de se plaindre de faire partie du dixième de la population qui réussis à manger à tout les jours et ouvre un mécanisme simple pour s'y abreuver.

Tôt ou tard, vaux mieux tôt que tard, chacun son idée sur ce point de vue un peu abstrait d'une vie qui continue sans demander ou vous voudriez débarquer. Ce n'est pas un autobus ni un train , c'est la vie.

Prenez le contrôle, et laissez vous bercez par toutes vos illusions, vous n'en serez que plus heureux.

je viens d'écouté Slumdog millionaire, et je réalise à quel point nous sommes chanceux, quand je me plaindrais je reviendrais lire ce billet, j'écris pour moi, merci quand même de me lire.

Demain peut-être

Avenir incontrôlable d'un futur en devenir et de celui qui est désiré. Pouvoir prendre le contrôle imaginaire de ce qui est encore en devenir, croire en ce pouvoir de diriger cette barque vers le rivage désiré.

Vision sur un si petit écran, qui projette pourtant de si grand rêves, se rendre à se manipuler soi-même pour finir par croire à l'impossible. Croire fermement que ces illusions venant des confins de mon cerveau pourront se matérialiser dans cette vie qui ne fini pas de continuer.

L'espoir est de mise pour continuer cette partie d'échec contre la vie qui indéniablement finira par me mettre échec et mat tôt ou tard. Jouer les meilleurs coups pour retarder cette échéance et en profiter le plus longuement possible, pouvoir se rendre à croire une victoire possible sur elle.

Chaque rêve accompli laisse place au suivant, mais à défaut d'en avoir une multitude, ne ce concentrer que sur un seul. Mettre tout mes œufs dans le même panier. Au risque de me sentir déçu éventuellement si jamais il venait à être impossible de le concrétiser.

Mais quand même, je préfère me concentrer sur un but unique plutôt que de m'éparpiller en un million de petite joies, plutôt que de souffrir cent fois, je ne serais déçu qu'à une seule reprise si je ne parviens pas à atteindre mon but, et si jamais je venais à jouer de finesse pour réussir à me mettre en place pour voir devenir concret ce rêves, bien ensuite je serais comblé et en profiterais pleinement.

Un seul et unique but, celui la même que plusieurs tente en vain d'atteindre. Bien je vais y mettre tout mon ardeur pour un jour me dire que cette vie aura été celle dont j'ai rêvé depuis toujours.

Mais peut-être que c'est ce rêve qui me garde vivant, en le voyant achevé je recommencerais peut-être a entrevoir d'autre chose qui pour l'instant sommeille en mon antre.

Il suffit de croire, et de ne jamais perdre cet espoir qui garde cette flamme incandescente ne jamais diminué d'intensité. Vivre cet espoir à chaque jour comme si le prochain était le bon.

vendredi 18 septembre 2009

Bonne nuit

Je ne dors toujours pas, il est seulement 3h20 du matin, mais quand même. depuis maintenant un an je ne dors plus la nuit, blogguer a été pour moi une façon de passer à travers ces nuits interminable ou le sommeil ne viens jamais avant le chant des oiseaux.

L'hiver approche, les oiseaux se feront sûrement plus discret. Je sais pas, des fois je me demande pourquoi je ne dors pas. Pourquoi le sommeil autrefois si paisible ne daigne plus se présenter pour prendre mon âme et l'emporter loin de mon corps pour quelques heures.

Mon cerveau n'a pas l'air de vouloir coopérer avec celui qui lui sert d'hôte. Mon corps commence à s'en ressentir, ont dit que le sommeil de nuit est le plus récupérateur, je ne sais pas si c'est vrai mais j'aurais tendance à le croire.

Je commence à être blasé de devoir m'assommer à coup de bière pour trouver un sommeil qui ne m'apporte pas ce que je recherche en lui. Le sommeil éthylique n'est pas réparateur, le corps continue à brûler l'alcool au lieu de se reposer vraiment, étouffer les cris du cerveau pour laisser le corps continuer à travailler seul, quelle bonne idée, le lendemain il me le fait payer cher, ce salaud.

Je trouverais bien un moyen de me soustraire à ce rituel d'insomnie qui ne me plaît guère. En attendant je continuerais à déverser mes états d'âmes sur ce clavier qui doit être plus fatiguer que moi de se faire marteler durant des heures pour extraire ce jus qui coule de ce cerveau en constante ébullition.

Parfois réfléchi, parfois amusant, parfois profond, mais toujours en mode de survie. Il me le pardonnera un jour de l'avoir sur utilisé, mais jamais il n'oubliera ces nuits à se presser tel un citron pour trouver un moyen de s'éteindre pour quelques heures.

Bonne nuit, j'en ai perdu la notion, j'aimerai bien me le faire souhaiter encore, je vous le souhaite, bonne nuit.

mardi 15 septembre 2009

Continuer

Pouvoir passer devant tout ces passants, dépasser mon passé. Retourner d'où je viens sans me détourner pour regarder ces regards qui me voient m'éloigner sans savoir si je reviendrai.

Commencer à me rediriger loin de cette rigidité qui m'a tant blessé, pouvoir entrevoir ce pouvoir de croire que encore je vais le voir et y croire.

Faire enfin partie de cette vie qui déjà m'a emplie de dénie envers ceux qui sont partis.

Prendre et reprendre de l'assurance pour me rassurer que mon passé et déjà dépasser. Voir venir cet avenir en devenir qui plus que jamais me dicte que je dois revenir pour enfin en finir.

Retourner à ma source pour chercher les ressources pour pouvoir finir cette course qui me mènera hors de cette brousse, celle la même qui m'attira avec ses espoirs de pouvoir me cacher de mon karma de rester confronté au célibat encore une fois.

Comprendre avant de prendre, ne jamais se rendre sans avoir tenter de défendre ce qui rend mon coeur si tendre.

Un amour qui me parcours et qui cour pour s'effacer avec le jour.

Chaque nuit je me confie sur ces envies d'être celui qui demain sera encore dans ton lit.

Mais sans conviction je confronte mes démons qui peut-être jamais ne partirons pour de bon sans m'avoir convaincu qu'ils sont bons et non de vulgaires hallucinations qui me détourne de ce pont que je tente de traverser pour ne pas finir au fond d'un ravin encore plus profond.

Je continuerais de vivre et non plus de survivre, même si cela veut dire prédire un avenir sans ce sourire qui pour toujours me fera ressentir beaucoup plus que je ne peux en dire.

Worst song ever

Cannelle m'a taggué donc voici ma pire chanson à vie, Blue jeans sur la plage version Paul Sarazin.

Ce gars la n'est tout simplement pas un chanteur né, désolé Paul mais c'était atroce.

Je n'ai malheureusement pu trouver de lien pour cette chanson, ceux qui la connaisse m'en remercieront c'est sur. Si jamais vous réussissez à la trouver bien garder ça pour vous ;) Sur ce je tague Cacawet.

Au plaisir.

lundi 14 septembre 2009

Nuit magique

Dire que ça aurait pu vous arriver, en rentrant du travail hier soir, comme toujours je marche insouciant de ce qui m'entoure. Le coin ou je travaille n'est pas particulièrement réputé pour ses musés et ses œuvres d'art publique.

Donc pas besoin de perdre de temps à tenter d'apercevoir quelque chose qui serait digne que j'y consacre le temps d'un regard. Déambulant de mon plus beau pas, je pris le trottoir d'assaut. La lune qui ne daignait point m'éclairer de sa douce lumière, je dus donc marcher dans le noir le plus total.

Bien à vous de comprendre que sans lumière j'avançais à tâtons dans les ruelles les plus lugubres. Étant brave de nature, je ne m'en inquiétait pas pour autant. Après avoir parcouru ce qui me semblait une distance non négligeable, je du me résoudre à m'avouer perdu.

Je dus alors me contenter de dormir dans cette ruelle sans lumière, avec seulement deux ou trois chats en guise de couverture, les ratons-laveurs n'étant pas très coopératif sur mes demandes d'aide.

Prenant un de mes nouveaux amis en guise d'oreiller, à mon réveil je du bien cracher deux ou trois boules de poil qui s'étaient logés dans ma gorge. N'ayant pu prendre de douche à l'eau chaude je me décide donc à me laver dans la fontaine public. À voir les passants me dévisager sans honte, je compris que plus personnes ne respecte l'intimité d'autrui. Non mais quand même, un peu de pudeur.

Donc de nouveau frais et dispos, je pris le chemin de mon doux logis, sans oublier d'apporter quelques menus souris pour distraire ceux qui m'avaient sauvé la vie la nuit dernière.

Bien oui, cela aurait pu vous arriver à vous aussi.

Distorsion détordue

Comprendre, réaliser certaines choses. Découvrir. De plus en plus je doute de mes croyances. Je remet plusieurs fait que j'avais cru des dogmes de cette vie. Je ne dirais pas que ce en quoi je crois s'effondre mais bien que ma vision change et me mène à redéfinir certains points de vue qui jusqu'ici, me paraissait vrai. Non qu'ils ne le soit plus du tout, mais que certaines données ont changées.

Ce changement allège considérablement mon existence, car je sais que ce que je ressens maintenant changera encore, ne plus avoir peur du changement, ne plus le voir comme l'ennemi qui m'attaque, mais plutôt comme l'ami qui m'aide à entrevoir que tout changement bien gérer peut devenir extrêmement bénéfique si nous lui laissons la chance de bien se développer.

La répression de certains sentiments conduis parfois à une distorsion de la réalité. Il est souvent plus réconfortant de voir ce qui nous plait. Avec le temps, après avoir cru qu'il n'y aurait que des fleurs, ce n'est pas seulement un pot mais bien la serre au complet qui s'effondre sur nous. Nous laissant meurtri de ces morceaux de verres qui nous ont découper jusqu'à l'âme.

Ne reste plus qu'à attendre la cicatrisation complète, et de remettre de l'ordre dans ce jardin qui reste toujours prêt à refleurir de nouveau.

Mais entre les deux extrêmes,se trouve ceux qui ont compris ou qui sont déjà passer par ce même chemin. Même si l'espoir s'amenuise parfois, ne jamais le perdre, lui donner le temps de reprendre confiance en lui, il nous redonnera la notre en nous.

C'est un fragment de ce que je ressens présentement, le doute reste, mais c'est peut-être justement lui qui me sauvera de ne pas encore plonger tête première dans une piscine que j'avais cru pleine.

Demain

Ont ne sais pas quand ça commence et lorsque c'est commencer, nous n'avons aucune idée de quand cela va se terminer. Et même si l'ont croient le tout terminer, ce n'est pas toujours le cas. à force de tenter de se convaincre que c'est fini, les fantômes continue de nous hanter.

Rendu à un certain point, impossible de nier plus longtemps, ne reste plus qu'à couper ce morceau de chair qui encore retiens les restes déjà putréfié d'un morceau mort qui continue à s'accrocher à nous, et qui ne fait que contaminer ce qui reste de sain.

Mais encore il faut assainir ce qui reste de contaminé. Aucun médicament pour cela, seul le temps et la force pourront faire en sorte de chasser définitivement ces parcelles de mémoires qui iront se loger dans le subconscient.

Le temps est relatif, cette phrase prend tout son sens parfois. Mais au moins le temps ne s'arrêtera jamais, donc la certitude que mieux est à venir reste présente et reste une certitude réconfortante.

Décidé que tout sera différent, ne pas faire les mêmes erreurs deux fois, du moins se forcer pour ne pas les répétés, Rester positif, tout change pour le mieux, à nous de choisir, ne reste plus qu'à regarder tout cela continuer, en y mettant du siens pour l'améliorer.

jeudi 10 septembre 2009

Femmes

Tout en me promenant sur cette rue dont je n'avais pas vu le nom, je vu cette femme sans nom.

Avec mon assurance légendaire, je traverse la rue pour m'informer de ce prénom qui me titille la pensée. Affubler de mes plus beaux atours, je l'invitais donc pour une rencontre préliminaire, tout en lui signifiant que rien n'était gagné pour elle.

Me présentant à elle sous mon vrai jour, mais sans tout lui dire pour ne pas la gêner, je lui dit que je suis seulement un simple avocat,rien de plus.

À voir son regard je sentis toute son envie de passer à l'étape suivante. Point presser de venir à ce qui attrait au plaisir de la chambre, je commande une autre bouteille, en lui confirmant que ce ne serait pas pour aujourd'hui qu'elle me retrouverait dans son lit.

Mal lui en prit, elle quittait en vagissant, tel le nouveau née.

Deux de ses amies me prirent à parti pour ce faux mélodrame, mais après quelques secondes tombèrent sous mon charme sans égal.

Je me dit, bon elles sont deux, mais c'est d'habitude pour les chasseresses de chasser à deux. Plus de chance de prendre leur proie. Du à trop de mots à ingérer en même temps, j'abdique donc et leurs promet de les rejoindre à leur chambre pour me dispenser d'une conversation déplaisante.

Le reste se passe de mots, c'est connu, elles ont eues ce qu'elles voulaient sans me donner mon plaisir, mais cela j'y suis habitué.

Ha ces femmes, je les aimes quand mêmes.

mercredi 9 septembre 2009

Rivages avec vue sur mer

Je ne dors toujours pas, donc soyons divertissant, tout en restant courtois et polis, cela va de soi.

Je citerais quelques passages de livres tout au long, à vous de les découvrir.

La Guerre c'est la paix, gouverner pour mieux nous volez. Être de ceux qui encore se cache sous le sceau de l'ignorance pour laisser ces choses se produire. Mais lorsque tout est tranquille, on peut encore se flageoler, d'accord c'est vieux jeux mais c'est mieux que rien.

Ne plus savoir ou se diriger à force de pauvreté, laisser à eux-mêmes, du à leurs conditions, et non les aider en fonctions de cette dernière. Donner à ceux qui ont les moyens de se le payer, mais prendre de ceux qui ne peuvent point donner.

Vision qui nous a tous un jour ou l'autre effrayés, devenir de ceux qui ne doivent point exister, Prier pour continuer à s'en éloigné.

Je fais de même, mais quand même je n'ai point arrêter d'y songer. Pour ceux sur terre qui croient encore que la glace est la grande invention de notre siècle, ces âmes mortes qui continue d'errer dans leurs corps.

Je n'ai point d'autre intention que de me distraire moi-même. Ce qui sort allégera le poids de ces mots sur moi, rien d'autre. Je n'ai pas la conviction de me faire comprendre par personnes, et c'est aussi bien ainsi, je n'ai nulle envie de devoir expliquer ce que je n'ai pas encore moi-même compris.

Mais à force de se souvenir, on fini pas oublier la raison du souvenir lui même, vrai. Tout ce qui reste pour emplir cette urne qui nous sert de cerveau, pourrait sûrement se passer d'au moins la moitié de son contenu, le verre serait toujours à moitié plein, restons positif.

Si le lapin était à l'heure, le miroir ne se serait peut-être pas brisé, qui sais. Si j'avais été ailleurs au lieu d'ici, je serais, qui sais, jamais je ne le saurai, trop de si et de avoir su nous hantent sans cessent, le désir d'avoir eu une incidence sur un événement x dans notre vie et de sentir, que nous l'avons changé pour mieux que si notre existence n'était point sorti de l'oeuf.

Nous en avons tous de ces moments, le contraire est aussi vrai, j'entends déjà plusieurs qui grommelle tel gollum en espérant le retour de son précieux. La vie a déjà été assez découper en partie par les scientifiques et les philosophes et ainsi de suite, prenez la votre est soyez conscient en chaque inspiration que vous êtes unique, et que quelque part, je ne sais ou, j'ai perdu ma boule de cristal. Quelqu'un apprécie votre présence ici. En retour apprécier celle d'au moins une personne, en secret si bien vous en fait.

Ne croyez pas tout non plus, soyez le juge de votre vie et non de celle des autres. vos yeux ne sont pas infaillibles, une mer s'y cache derrière, tout comme pour l'autre en face de vous, ne vous arrêtez pas au rivage. L'étendu est infini, tout comme l'esprit.

Distraction sainte

Envie de me distraire un peu. 3...2...1...go (Yeux chastes, le carré rouge à droite c'est pour vous)

Pensant ne pas pouvoir réalisé le travail qui m'a été octroyé, et ce par l'archevêché lui même. N'étant que diacre de mon rang, je voulus dans la mesure du possible le satisfaire malgré mon âge avancé. Non qu'il me démontrait quelques réticences que ce fut, de voir un homme de 19 ans à son chevet. Du moins je savais tenir ma langue lorsqu'il le fallait. Non que je ne savais m'en servir.

Seulement que j'avais la mauvais manie de lécher la colle des timbres pour me distraire. De par sa sagesse incroyable, tenant toujours des propos éclairé sur ses endroits les plus sombres. Parfois, des endroits que je n'avais moi-même pas encore explorés. Rome, la France et une bonne partie de l'Europe.

Ces façons de procédé relevait parfois d'une vision futuriste, le saint toucher par exemple, sentir dieux poser sur moi son doigt bienveillant, tout en gardant les yeux fermés. Sans avoir besoin de le voir pour quand même à plusieurs point de vue le sentir.

Cet homme animé d'une sagesse presque infinie, nous démontrer que la parole est d'argent et le silence d'or, mais que le contraire peut être vrai quand il souhaitait nous entendre dire oui. Oui à la foi sans limite, ont s'entend. Cet homme de foi, nous inculquer (oui je crois que c'est bien ce mot), un amour aveugle en lui. Car croire est le début de la rédemption pour les péchés qu'il nous arrivait de commettre, nous avoir fait sentir que dieux nous pardonnerait tout, oui, nous le faire sentir avec conviction.

Un jour il trépassera, ce jour sera marqué d'une croix noir pour nous tous qui avons appris sous lui, à être obéissant envers l'église.

Depuis j'ai appris que le bien et le mal sont deux théories qui peuvent se chevaucher, et même se fondre en une seule et unique réponse, pourquoi?

En attendant

Surtout sur rien, fin de semaine en relâche de mes fonctions cervicales. Flop monumental, ou bien grande réussite ? Je verrais bien plus tard, le résultat n'est jamais instantané. La vie n'est pas un gratteux du dépanneur.

Je dois donc me contenter de me concentrer sur ce qui va arriver avec tous ces démêlés, qui tente de me briser.

Mais aucune chance de les laissez y arriver. Aussi sur que je suis présentement entrain d'écrire ce qui je crois pourra m'aider à me souvenir, que je suis déjà passé par pire sans avoir la force de le dire.

J'écris pour me remémorer un passé que je tente d'oublier. Pour toujours mon esprit réussira à amortir cette chute que jamais je n'aurai cru voir se réaliser.

Comme toujours j'en ressortirais en version amélioré, comme un produit de consommation renouvelé, avant de passer à celui qui un jour sera périmé.

En attendant d'être consommé dans un bar prés de chez vous, Je me parerais de mes plus beaux atouts, pour éveiller ces désirs les plus fou.

Au plaisir.

vendredi 4 septembre 2009

Certitudes

Mouvoir mes doigts pour raconter ce qui se vie en moi. Parcourir les mots que je connais pour les mettre sur votre écran. Sentir ce que je ressens pour en faire part à ceux qui viennent ici, me faire part d'un peu de leurs temps.

Prendre un peu de ces moments, pour comprendre ce qui me fais ressentir le moment présent.

Ici et maintenant, écrire ce que je voudrais pouvoir décrire avec exactitude, écrire une certitude qui n'est qu'un prélude à ce qui sera encore une solitude.

Ne jamais regretter ce qui déjà est un passé.

Voir plus loin, que ce que mes yeux ne voient point.

Prendre une part de ce ciel, ne pas attendre mon réveil, pour vivre des moments sans pareils.

Croire que tout est possible, un seul instant de tangible, pour mon cœur qui vacille.

Vous écrire encore, que même si jamais je ne dors, même éveillé je réussis à rêver.

Ne jamais retourner, ni me retourner, regarder devant, profiter de tout ces instants.

Respirer, et l apprécier.

Condamnée

Se servant de son corps pour vendre son âme, elle en ressortais brisé à chaque fois.

Ne pas décider de celui qui pourrait la posséder, contre quelques deniers. Sentir cette honte bien incrustée en elle, mourir petit à petit, subir sa propre vie.

Encore le souffle court, de ne pas le faire par amour. Sans désir aucun se donner pour ne pas mourir de faim. Ce vide que laisse ces passages ne seras jamais rempli que de vide.

Perdu dans l'éther de ces relations, sans solutions pour se sortir de ce gouffre sans fond.

Tomber a l'infini vers ce feu qui déjà la brûle sans pour autant la tuer.

Se sentir insensible à sa propre existence. Devenir esclave de ceux qu'elle déteste, sans jamais pouvoir briser ces liens qui l'entrave de vivre .

Se brimer soi-même de ressentir, pour ne plus comprendre que ce mal ne la quittera jamais.

Continuer à rester sur place pour ne pas revenir en arrière, s'engouffrer dans ses chimères pour ne plus penser que encore demain elle devra se battre pour ne pas aller rejoindre ces ancêtres.

Elle devait être marqué par la vie pour que jamais elle ne puisse en profiter, Cette vie, cette salope qui jamais ne lui pardonnera de ne pas avoir été apprécier par elle.

Aujourd'hui la salope se venge, elle lui en fait baver comme jamais. Mais encore demain elle devra la supporter en se disant que peut-être cette bouffée d'air qu'elle viens de prendre est peut-être sa dernière, elle le souhaite, mais n'y crois plus depuis longtemps.

Continuer de se savoir condamnée a perpétuité, condamnée à rester, sans rien y changer.

mercredi 2 septembre 2009

Domaine public

J'ai besoin de me changer les idées, c'est pourquoi je vais arrêter de parler de moi pour quelques temps, laissons aller l'imagination, soyons burlesque un peu.

De retour de la buanderie, je fis la rencontre d'un vieil ami. Il ne me reconnu pas et moi non plus je ne le reconnu pas, nous continuâmes donc notre chemin. Mais voyant que cette journée était magnifique, je du courir pour me protéger de cette pluie qui tombait sans relâche. Non qu'il plut vraiment, mais je ne voulais prendre aucune chance, il vaut mieux prévenir que guérir, non?

Encore à regarder la course entre mes bas bruns et les noirs qui se disputes le premier rang dans cette sécheuse, pour savoir lesquels seront premier a sortir de cette chaleur qui ma foi, doit être bien accablante pour eux, j'en conviens.

Je découvris que l'ajout de détergent a ma lessive pourrait aider à faire partir ces tâches que j'avais cru éternels. Bien je reposerais moins niais ce soir, couché sur ce banc de parc qui me fait office de domicile fixe, le banc ne bouge pas, donc je le considère comme fixe, pas fou le gars.

Mais le repos est encore loin, tant de chose à faire, je dois aller me magasiner un nouveau complet pour une entrevue dans un prestigieux cabinet d'avocats. Les études que je n'ai pas faites finiront bien par me servir un jour. Mais quand même je me contenterais sûrement de vendre de cette délicieuse crème glacée, dans ce rutilant véhicule à trois roues. Ne pas viser trop haut, c'est la clé du succès.

En parlant de clé, vous n'auriez pas trouver les miennes. Je me suis embarré dehors, et mon chat reste sans nourriture depuis mon départ. Bon, je m'écarte un peu de mon sujet, désolé pour cette digression involontaire. Revenons à nos oiseaux. Celui de votre choix sera le mien, si je l'approuve bien entendu.

Et puis quoi ajouter de neuf, peut-être un nouveau cadre, ou une fleur, je déciderai quand je reviendrai d'où je ne suis jamais allé. Sinon tout va bien, je vous en souhaite autant, mais pas plus.

Je retourne voir ce qui se passe en haut et je reviendrais sur hier, demain.

mardi 1 septembre 2009

De tout

Revenant de nulle part, me dirigeant vers une destination inconnue. Marchant d'un pas joyeux, je ne pu que me demander pourquoi je ne m'arrêterais pas deux minutes au parc pour jouer de la clarinette un peu.

Voyant un banc qui n'étais pas encore rempli de guano, je m'y assis un brin. Commençant à jouer sur mon clavecin préféré. Les nuages défilait comme les notes sur mon banjo favoris. De bonne humeur je me suis mis à chanter une chanson sans mots qui commençait par un si mineur.

Ayant oublié les paroles je du improvisé, rien de spectaculaire, mais quand même, la foule qui s'était massé devant moi a quand même apprécié ce concert gratuit. Il faut dire que ma guimbarde se faisait aller allègrement.

Je reçus plusieurs dons, insultes gratuites et coups de pieds bien mérités. La gloire à ses mauvais côtés aussi, plusieurs jaloux d'après moi.

Mais quand même, la vie d'artiste n'est pas toujours rose. Il m'a fallut plusieurs années pour apprendre à jouer de ces maracas.

Décidant d'écourter ma prestation, du à cette foule hostile, je pris mon harmonica et je partis sans demander mon du. Marchant avec un écureuil borgne, je discutais de tout et de rien avec lui.

Ma journée a été un franc succès sur tout les points, mon nouvel ami et moi dormiront sans regret aucun cette nuit.

Demain je retourne a mon premier amour, le mime en noir et blanc, oh que j'ai hâte.