samedi 31 octobre 2009

Globalement

Merci à tous qui m'ont écrit vis-à-vis mon départ momentané, je disparais le 7 novembre. Donc encore une semaine à me pavaner de mes écritures.

Je suis sortis d'un trou pour finalement me retrouver enfoui sous un autre. Point central de mon existence, le trou, espace à combler.

Chacun nous sommes un point dans cet espace temps et physique, Remplisseur de trou vacant, notre présence ici prend un espace qui est le notre à chaque secondes, le laissant vide après notre départ.

La vie n'est faite que de trou vide que nous tous tentons de remplir à chaque instant de notre vie.

Trou de mémoires, trou pour aller boire, trou noir, trou laisser vide après notre passage.

Le vide rempli bien plus de place que notre présence.

Le vide me direz vous n'est rien, détrompez vous, le vide est bien plus présent que votre minuscule présence. Le vide est au moins sinon plus, la majorité de ce qui empli notre espace.

Je reviendrais plus tard sur cette hérésie qui vous confirme que le vide vaux bien plus que le solide sur ce qui affecte notre quotidien.

Encore quelque bières et je continuerais.

mercredi 28 octobre 2009

A plus

Bon ben free for all.

Je disparais dans un mois d'ici, je coupe tout, je me regarde et je me crache au visage. Je vais revenir après, c'est sur.

Je pense à moi, vous me manquerez, c'est sur.

J'ai une femme en vue, mais comme toujours elle n'en sais rien, donc je resterai seul encore.

Quand je serai un bon gars, pas d'alcool pas de tabac, je vas mettre des bobettes, ma lire la gazette.

On vas voir c'qu'on va voir, m'a me forcé en ciboire.

Je remercie en particulier Drew, avec qui j'aimerai bien aller prendre une bière un jour, qui sais ? Tout les autres aussi, mon oncle et moon, miss c et catou, et rainette.

Je reviendrais bien vite, vous me manquerez. Je reviendrais surement.

mardi 27 octobre 2009

Tout le monde a le droit de rêver

Je voudrais dire ces mots qui n'ont plus la chance de sortir de ma bouche, ces mots pris au piège dans une cage sans porte, ces mots retenu par aucune chaînes, ces mots qui ne demandent qu'à s'envoler pour encore embellir un ciel sans soleil.

Ces lèvres qui frémissent au seul espoir de pouvoir se mouvoir pour encore caresser cette peau si douce et chaude. Ces lèvres qui ne souhaitent que de murmurer à ton oreille des mots qui feront vibrer ta peau et ton cœur. Mes lèvres qui se meurent de te goûter pour te faire gémir de plaisir.

Ces doigts qui se battent entre eux pour savoir lequel pourra t'effleurer pour sentir ta peau. Ces doigts qui se tardent de pouvoir saisir ton corps pour le caresser en douceur et l'étreindre contre moi. Mes doigts qui se dessèche du manque de ton intimité.

Ces yeux qui t'imagine sans te connaître, ces yeux qui en toi voient une beauté qu'ils ne voudraient jamais cesser d'observer. Mes yeux qui rêves de pouvoir se délecter de ton corps nu.

Ces oreilles qui encore veulent entendre ces mots si doux pour elles, ces oreilles qui ne cessent d'attendre le retour de ces rires pleins de chaleur. Mes oreilles qui ne se peuvent plus du silence, du à l'absence de ces cris entendu lorsque tu jouis.

Ce corps tout entier qui réclame ta présence avant le retour du sommeil, ce corps qui attends le retour de ta peau pour encore vibrer de chacun de nos contacts. Mon corps entier qui réclame de sentir chaque partie de toi, qui encore veut vibrer avec le tiens lorsque nous ne faisons plus qu'un.

Mais aussi tout cet être qui s'abreuve de ces rêves de pouvoir sentir que encore plus qu'un corps, tu seras l'âme qui le fera sentir entier en ta présence, et qui sans toi, de près ou de loin, se sentira incomplet. Mon être qui ne voudras plus jamais te quitter.

Ces rêves de toi, ces rêves de te trouver. Mes rêves de finalement t'avoir dans ma vie.

lundi 26 octobre 2009

Bien commencer

Juste une très belle journée, laisser le négatif passer et faites don de votre plus beau sourire à toute cette beauté qui est présente, bonne journée :) Souriez, c'est gratuit.

En parallèle

Premièrement, merci de ne pas me juger, ou si du moins vous le faites, jamais en commentaires négatifs.

Les mondes dit parallèles, d'après ma vision ne sont pas si loin, ils interagissent à chaque jour de notre vie. Qui ne change pas d'intonation de voix devant son patron, et change sa manière, sa posture devant son subordonné ou son commis, qui se trouve sous lui.

Plusieurs d'entre nous sont vrai, ils ne change pas d'attitude, ils restent tel quel en toute situation, félicitations à eux.

Pour ma part je suis du genre couard, je n'aime pas les confrontations avec mes supérieurs, ni avec les gens que j'aime. Mais je n'en laisse rien paraître, devant eux je suis de marbre ou presque. Je reste combatif et sur de moi, je défie tout ceux qui se mettent en travers de ma route, mais à l'intérieur je déteste les confrontations qui me font déprécier l'autre pour lui montrer ma supériorité. Je déteste me plier lorsque je sens que malgré mon envie de ruer dans les brancards, le résultat fera de moi un perdant en bout de ligne.

Un seul et même homme, mais différentes approches devant différentes situations. Jamais je ne plie l'échine, du moins au premier coup d'œil, mais encore à l'intérieur, je me sens détruit de devoir combattre ce que je voudrais simple et facile.

En amour, devant tous, je passe pour celui qui ne connaît pas le manque de confiance, mais seul avec moi-même, ce manque de confiance me ronge tel le métal laissé tout l'hiver dehors se fait envahir par la rouille.

Je voudrais tant pouvoir montrer à tous ma fragilité, mon besoin d'être rassuré sur plusieurs points, mais de nos jours la faiblesse pour un homme, équivaut à un suicide social. Jamais une femme ne voudra d'un homme qui connaît ses faiblesses et les laissent le ronger.

Ne me sentant point capable de demander de l'aide, je continue de me réfugier sous des faux airs de confiance qui ne sont rien de moins que la version parallèle de mon vrai moi.

Chaque chose, chaque personne que vous pensez connaître, a sûrement elle aussi un coté parallèle que vous ne connaissez pas, du moins je le pense, j'espère me tromper et être minoritaire en cette situation, au plaisir.

Rien d'interesant

Difficile d'écrire ce que je ressens, de peur de voir la lourdeur de ces mots fracassé mon clavier et mon écran.

J'ai de la difficulté à concevoir qu'après plus d'un an, mon ex me dise qu'elle m'aime encore. Je suis rendu au procédure de divorce. Mais encore hier elle me dit qu'elle m'aime toujours. Pour moi aucun relent de cet amour mort depuis bien avant mon départ.

Je tente de comprendre, et je ne crois pas que de l'écrire y changera quoi que ce soit. Mais en étant seul, c'est encore le seul exutoire que j'ai.

J'ai énormément de misère à l'entendre me dire ces mots que je n'ai plus entendu depuis plus d,un an.

Je me suis replié sous ma carapace pour les éviter, même si je suis parti, même si je ne l,aime plus, ce n'est pas parce que les autres ne voient pas ce qui se passe à l'intérieur de ma carapace, qu'elle me protège de ce manque qui vient de l'intérieur.

Bon bien c'est ça, j'ai parfois de la difficulté à faire sortir ce que je veux dire, et je me censure car je sais que plusieurs me lisent et n'ont pas envie de lire cela.

Encore quelques consommations, et je perdrai sûrement cette gêne temporaire.

vendredi 23 octobre 2009

Descendance

Bon bien de retour pour encore déverser, si vous voulez rire je vous suggères d'aller lire drew ou patrick.

Rendu à 31 ans, je me surprends à me prendre pour une de ces femmes dont l'horloge biologique résonne tel un gong chinois en leurs être.

Et oui, rendu à presque 32 ans, l'envie d'avoir un enfant me rends presque fou. Je vois le temps qui file tel une bande annonce de film. Nous ne sommes plus de ces âges ou l'homme pouvait se munir d'une jeune femme de 20 ans pour pourvoir à sa progéniture.

Je me fais qualifier de vieux garçon, les pointes lancées sans méchanceté, par de plus jeunes me font quand même voir que en ces années ou la jeunesse prime, je suis presque un dinosaure, le temps se dérobe sous mes pieds, et plus je le regarde, plus je me dis que je devrais peut-être renoncé un jour à avoir une progéniture.

Je n'ai point encore abandonné, mais la ligne de retrait me semble si proche.

À mon âge, trouvé une femme et établir une relation qui me permettrai de réaliser ce rêve s'éloigne jour après jour. Pour moi impossible de réaliser ce rêve après seulement quelques mois de rapprochement. Pour concevoir un enfant, la plus belle chose qui jamais m'aura été donner, ne se fera point sur un coup de tête, peut importe une ou l'autre.

Je le vis difficilement, pour moi avoir une progéniture est quelque chose à quoi je ne veut pas renoncer.

Le temps est peut-être venu de dire adieu au seul rêve qui me gardait parmi les vivants. Voir en mes bras et en ceux de ma femme cet être qui me remplirait de joie en sa seul présence.

Pour tout ceux qui en ont eu la chance, merci de parfois me laisser aider vos femmes a descendre la poussette que vos femmes pousse descendre les marches du métro, libérer mon siège pour la femme qui porte ce que je voudrais en son ventre.

Merci a vous tous de me faire voir que ce n'est pas du a mon incapacité de procréer que je dois arrêter d'aider ceux qui me permettent de voir le sourire d'un nourrisson me permettre d'être heureux.

Incapacité non du à l'infertilité, mais à ne pas avoir trouver celle qui fera de moi un homme complet, complet pour moi, du fait de pouvoir tenir en mes bras un enfant dont je serais le géniteur.

Mais plus le temps avance, plus le doute de pouvoir devenir ce pourquoi la vie m'a pris en son sein diminue.

Je ne perds pas espoir, je suis sur que jamais je ne le perdrais, mais la vie fera son œuvre.

Si jamais mon plus cher rêve ne restais qu'à l'état de rêve, bien je n'ai aucune idée du pourquoi de ma présence ici.

Un jour sûrement, oui un jour sûrement.

lundi 19 octobre 2009

De tout, fin

Bon, après vous avoir accablé d'un sujet qui n'est point joyeux, je renaît de mes cendres pour encore être ce joyeux luron, que j'aime à coup sur. Allons-y. Ceux qui me suivent, suite de l'arrestation de mon ami l'écureuil borgne et de ma prestation de mime.

Me promenant, comme toujours insouciant de la minute qui suivra celle que je vis présentement, je ne vis point que les badauds du parc s'étaient entiché de ma personne.

Après avoir tant donné de mon talent pour les divertir, ils me prenaient pour un demi-dieux pour sur. Ces désaxés qui survivent grâce au prosac et au lithium, fournit grassement par l'état ne sont point habitués de voir une version de l'homme à son meilleur. Un homme qui sur de lui peut entraîné des foules incommensurables, c'était trop pour leur esprit.

Me voila donc en charge du divertissement de centaine de malheureux, je du donc faire appel à mon ami l'écureuil borgne, me devant sa liberté, il ne pouvait me refuser aucune demande (non je ne l'ai pas sodomisé), quand même je sais vivre.

J'avais besoin de lui pour le tour de la femme coupée en deux, j'avoue que c'est beaucoup moins spectaculaire avec un écureuil. Mais mon talent de prestidigitateur fonctionna à merveille sur mon public impotent mentalement. Et côté salaire je sauvais énormément, le prix des noix étant à la baisse.

Le plus retentissant de tout mes tours fut sûrement l'écureuil sorti du chapeau, une variante du lapin, je dois faire avec les moyens du bord. Je du écrasé mon ami, au point de lui broyer quelques os, mais il est un artiste, donc aucun sacrifice n'est trop grand pour son public.

La foule me rendit une salve de reproches, du au fait que lorsque je sortis mon ami, il ne bougeait plus, je leurs lança le cadavre de mon ami, en m'en fuyant pour éviter un lynchage en règle.

Depuis je suis à la recherche d'un nouveau partenaire, des volontaires?

dimanche 18 octobre 2009

Après on passe à d'autre chose, point.

Comme toujours,ceux qui me suivent le savent, je viens ici pour me vider, ouvrez bien l'œil, première et dernière fois que j'écris du profond,(vous ne me connaissez que sous le couvert de mon anonymat, donc je profite de cette chance pour dire à ceux qui ne me regarderont jamais dans les yeux pour ne pas sentir leurs jugement) si je le mets en ligne, demain je l'effacerai peut-être, quand je serai a jeun.

Vous connaissez sûrement tous Karel Jacob, nouveau blogeur, si ce n'est pas un ancien qui renaît des ses cendres, mais la n'est pas le point recherché.

Ils me fait me questionner sur plusieurs points, go je vide le sac, pour ne pas dire le trop plein de tout, passé, remâché, digéré ou non, qui hante, qui continue de vivre même si déjà mort depuis belle lurette, une vie est comme un livre, la page passé a été tournée, mais elle reste le lien avec la suivante, jamais elle ne disparaît complètement, elle reste relié au livre.

Je ressens (mon point de vue reste le mien, je n'inclus personne en le publiant.) qu'une bonne partie de son lectorat a été péché au hasard, car son recrutement s'est fait de manière aléatoire, en ne connaissant aucun d'entre nous, d'après mon humble avis.

Et plusieurs dont moi même ont embarqué dans ses histoires on ne peu plus noires, voir même de folies ou de névroses contrôlées et de ressentiments accumulé sur un laps de temps x.

Ce qui suis n'a pas pour but de le plagier, mais pour moi de faire jaillir ce que tous (du moins je crois sommes) tous avons eu nos déboires, familial, amoureux, affectif, de boisson ou de drogues. Plusieurs ont sûrement frôlé le suicide, qu'en sais-je ? Rien, mais je le clame quand même haut et fort.

Commençons vraiment, ce qui va être dit, ne requiert aucun encouragement ni consolations, ni même une compréhension de ceux qui aurait vécu de semblables événements.

J'écris pour moi,peut-être pour ma postérité(e), si j'ai la chance d'en avoir, je le souhaite de tout mon être.

De mon jeune âge, je n'ai que peu de souvenirs, les premiers remonte à la maternelle, temps ou encore je ne comprenais pas les subtilités des relations homme-femme. Pour moi ils étaient mes parents, et non deux personnes différentes et uniques, pour moi ils étaient une seule et unique voix, celle la même qui devait me diriger vers mon avenir (un enfant à confiance en ses géniteurs, sans questions ni doutes, point).

Un jour ou je faisais mes devoirs, ma mère vient me chercher dans ma chambre pour aller chercher des bonbons au dépanneur, je refuse, demandant à finir mes devoirs, mais elle se fait insistante. Je n'ai d'autre choix que d'obtempérer, je la suis donc.

À mon grand regret, la direction n'était point celle suggérée. Mais plutôt des friandises promises, nous nous rendîmes mes frères, ma mère et moi vers la résidence de mon oncle. Pour passé deux semaines pénible, à dormir sur le sol du à une fureur déclenché chez mon père pour cause de conserves mal placées au garde-manger.(Du moins, ce fut la version de ma mère, je n'ai eu d'autre choix que d'y croire, évidemment)

Le retour au domicile familial se fut dans la crainte et la plus totale inconscience de ce qui se jouait réellement.

Je m'épargnerai certains passages, quelque années plus tard, le scénario se répétant à chaque année, avec des variantes, sûrement du à mon niveau de compréhension qui de plus en plus me faisait comprendre un peu plus de ce qu'était ce monde d'adulte. J'y suis entré en catimini, avec le désir de rester invisible pour tenter d'observer ce qui pour moi était nouveau.

Le temps de me retourner et je me faisais face dans un miroir avec le reflet d'un adolescent qui déjà a passé de l'innocence à la réalité déconcertante de ce que serait cette vie, la mienne. À l'âge de 14 ans, Je ne put continuer de me contenir et après avoir vu mon père étrangler mon jeune frère, je décida donc de le tuer. Je pris mon bâton de baseball, et du haut de mes 5 pieds 8,(je n'avais point fini de grandir tant physiquement que mentalement) je parti à sa rencontre pour en finir avec lui, personne ne touche à mon petit frère, ceux qui ont des frères ou sœurs plus jeunes comprendront l'amour et la protection sans borne que l'ont porte à plus petit que soit. Un sentiment de devoir protéger le plus faible, indescriptible, sans réfléchir, comme inné, plus rien ne compte, aucun passe droit pour ceux qui en viennent à toucher à cette personne. La logique et le raisonnement n'existe plus.

Je parti donc en direction du garage ou il se réfugiât après avoir posé un geste sans retour. Mon grand frère et ma mère savaient bien que je ne ferais pas le poids face à un homme d'environ 38 ans. Ma mère me dit seulement en me retenant avec mon frère, que si ce n'était pas que la dpj viendrait me cueillir le lendemain, elle me laisserait volontiers tuer mon père. Heureusement, aujourd'hui je le sais, je n'ai pu commettre l'irréparable.

Pour compresser le tout, la banque a saisi la maison après deux ans de vie avec cette mère et mes chers frères(je vous aimes), après avoir passé un hiver à chauffé une maison à la toiture percée avec seulement le four, car tout les systèmes de chauffage avait rendu l'âme. Et à nous sustenter de biscuits soda et de beurre d'arachide pendant un an, je voudrais remercier ici, même si ils ne me liront sûrement jamais, mes ami(e)s de l'époque qui m'ont laisser abondamment pigé à même leurs frigidaires lorsque je leurs rendait visite, la faim est une torture tant pour le corps que pour l'âme, savoir que ces personnes étaient la quand je ne pouvait manger, me faisait sentir misérable, mais me donnait espoir qu'il existait quelque chose de meilleur ailleurs. La réalité des autres, nous fait voir que la nôtre n'est pas un dogme absolu, et que nos déboires ne sont pas l'apanage de tous, ce qui les rends plus supportables, du fait de comprendre que un jour je pourrais faire mes propres choix, je pourrais vivre et changer pour ce que j'ai connu de mieux. Savoir que ma vie ne se limite pas à ce passé qui se dissout avec l'âge qui avance. Comprendre que le futur est rempli de félicitée et de bonheur à découvrir.

Ironie, aujourd'hui je parle à mon père, mais plus à ma mère, car après avoir bien voulu m'ouvrir les yeux, j'ai compris que cet homme avait été en proie au tourments que ma mère lui faisait subir,(après avoir renoué contact avec ma famille, ce dont ma mère nous interdisait depuis des années) du fait qu'elle avait eue trois garçons lorsque son plus cher désir était d'avoir une fille (jamais elle ne s'en est caché, nous le répétant depuis notre jeune âge). Et que après trois tentatives infructueuses, mon père a décidé de faire comme notre ami Drew. Jamais elle ne lui a pardonné, et elle s'est servi de ses enfants pour le lui faire payer (les enfants croient tout ce que leurs parents disent, soyez prudent dans vos mots, ils en porteront les marques toute leur vie).

Ceci ne comprends pas les tentatives de suicides de ma mère et les menaces de mon père de tous nous éliminer si nous ne quittions pas le domicile familial, peut-être une autre fois, si la nostalgie et le besoin se fait sentir. Celui qui me restera à jamais marqué, le 23 décembre à neuf ans, mon père nous mis dehors est nous passâmes noël dans un immeuble désaffecté, sans rien, ni nourriture, chauffage mais surtout, cette année la, j'ai compris que le père noël était mort. depuis ce jour, noël est mort pour moi, désolé, la vie est ce qu'elle est, belle, formidable et pleine de surprises, mais surtout pleine de chance de se renforcer pour devenir meilleur.

D'après moi la seule morale à en tirer est ne porter pas trop attention au passé des gens, voyez plutôt ce qu'ils sont devenu. Ils sont le rassemblement de multiples événement, qui font aujourd'hui ce qu'ils sont.

Je remercie chaque seconde de mon passé, car aujourd'hui je suis fort, et j'aime la vie. Jamais je ne l'aurais cru en ces années noires. Mais elles ont fait de moi un homme qui apprécie chaque sourire vue et chaque belle femme croisé sur ma route. (ahh les femmes, vous êtes si belle, chacune, oui chacune, n'en doutez jamais)

Un jour l'une d'elle me laissera la chance de la rendre heureuse, et si la vie le veut, nous donnera un enfant en santé, pour le cajoler et lui inculquer combien la vie est précieuse et belle.

Pour ceux qui m'auront lu en entier, je vous remercient, même si vous êtes silencieux, votre présence, est déjà un signe de vie, un apport à la mienne. Merci

Au plaisir.

jeudi 15 octobre 2009

Continuer

Au début, il y avait le besoin de comprendre, la volonté inébranlable de trouver un moyen de venir à bout de faire sortir de l'autre ce qui était logé au plus profond de son être, les remises en question fréquentes sur la pertinence de continuer.

En premier lieu comme souvent les questions s'entremêlent, elles partent dans tout les sens sans vraiment toucher la cible. Avec le temps et la connaissance de l'autre, les questions se raréfient pour laisser place à la compréhension du langage corporel, sans vraiment l'avoir voulu, cela arrive "comme ça". Mais même après avoir passé à cette autre étape, la solution ne viens toujours pas.

Le doute s'installe peu à peu, la compréhension devient moins claire, les demi-certitudes s'évanouissent, pour devenir des questions envers soi même.

Lentement les réponses cherché devant les agissement de l'autre deviennent des doutes devant nos propres actions. Pendant longtemps hanté par mes agissements passé, tentant de multiplier les possibilités de fin, ou de continuité, au lieu de soustraire les réponses possible, j'en ajoutais de nouvelle.

De quoi tourner en bourrique, c'est un peu comme courir après sa queue.

Ces tracas existentiel dénué de toute logique, ont sûrement réussis à me faire perdre un temps fou, peut-être aussi m'ont ils apportés une noirceur sur ces moments, pour qu'en fin après avoir reposé mon cerveau fatigué de tergiverser devant ce qui devait pourtant être clair, je fut en mesure de comprendre que le temps file et que peu importe le temps que j'y mettrais, rien n'y changerais.

Continuer, bien oui, c'était si simple. Seulement continuer, bien merde, tout cela pour arriver à une conclusion d'un seul et unique mot, unique mais plein de sens.

Espéreront que je me souviendrais de ce mot lorsque encore je serais embourbé dans une fosse cognitive sur un sujet déjà mort et qui ne mérite pas plus d'attention que ce qu'il à su susciter.

Donner cette attention à quelqu'un qui saura l'apprécier et le rendre en retour, continuer, seulement continuer.

mardi 13 octobre 2009

Tourments interieur

Parlons de positions sur ceux qui s'opposent et se pose sur l'attente d'une pause pour se reposer de la lecture d'une prose.

Jouons avec les mots qui encore me cause des maux et me font maudire les moments qui jamais ne m'ont laissé montrer le seuil d'une idée montante en m'ont âme.

Mes pensées longtemps repensées qui ont panser ces blessures d'un penseur dépassé par son passé.

Conclure pour continuer de contempler ce qui contient une parcelle de conscience contemplative sur ce qui compte pour concevoir combien condescendant sont mes mots envers ces cons qui continue de converger vers de fausses conclusions.

Répartir une partie de cette part de savoir qui part d'une parcelle de mes pas parcouru sur place vers un parcours qui ne me mène nulle part.

Encore entreprendre ensemble le chemin enneigé de cette voie non sans embuches qui envers et contre tous entérinera mon entière entité.

Aspect tant attendu de trouver une astuce pour atteindre ces avoirs avec assurance et advenant une défaite atroce pouvoir assurer mon retrait anxieux de cette avance que j'avais cru un avantage.

Je ne suis point aigri de voir mes espoirs maigris de par cette maigre consolation de devoir m'écrire pour m'élancer de nouveau vers mes méandres intérieurs.

Continuer de se contenter de devoir contenir mes confusions cognitives sur ce clavier qui claque sous mes doigts pris de convulsions contagieuses.

Écrire encore pour décrire combien un écrivain éperdu peut éclater sans extravagance pour extrapoler ses éclats de vers excentrique.

Dormir sur ces rêves qui peut-être révéleront demain le retour vers la réalité redondante du reste de mon récit.

Seulement être pour mieux paraitre devant ces yeux traitres qui ne peuvent point deviner mon être.

Savoir devoir revoir même dans le noir le point butoir de mon existence sans gloire.

dimanche 11 octobre 2009

Si

Si sans savoir, je pouvais quand même voir, le devenir, de ce que sera mon avenir.

Si sans penser je pouvais imaginer, respirer cet air qui m'a tant manqué.

Si sans regretter je continuais d'avancer, me rendre sans me pendre.

Si je pouvais pardonner pour enfin oublier, rire pour enfin en finir.

Si possible devenir moins dur envers ce futur, aller de l'avant, me laisser porter par le vent.

Si vouloir devenait synonyme de pouvoir, sortir du noir, briser ces miroirs.

Si j'arrêtais de regarder mon reflet, pour voir qui je suis en vrai.

Si la surprise ne me menait pas à la crise, le calme, que depuis longtemps je réclame.

Si tout venait à moi, je me demanderai sûrement pourquoi.

Si tenter de résister n'était que futilité, me laisser prendre, par une main si tendre.

Si toutes ces questions pouvait éloigner mes démons, me donner le temps, de vivre un instant.

Si l'amour était de retour, pour panser ces cicatrices, qui encore me meurtrissent.

Si je pouvais y croire, ces mots seraient dérisoires, ils seraient sans fondement, mais jamais je ne ment.

Si je pouvais les effacer de mon passé, pour enfin conclure, la fin de cette aventure.

Si il n'y avait point de presse pour que tout cesse, je deviendrais heureux, le plus cher de tout mes vœux.

samedi 10 octobre 2009

Avec modération, sans retenue

Bon ben centième post, pis yé trois heures et je dois attendre jusqu'à six heures avant de retourner à l'hôpital parce que la fille m'a dit au triage à onze heures que ça donnait rien de rester la comme la nuit dernière, parce que je passerais pas avant six heures c'est sur, faque go divertissons moi.

Je n'irai pas jusqu'à dire que je suis alcoolique, mettons que je suis jovial et un joyeux luron, ça passe mieux mettons.

Donc dans ma grande jovialité, je me débouche une amie sincère, j'aurai bien sur préféré une amie dont les seins serrent... mais bon, comme je disais j'approche de ma bouche cette dame pleine de classe, tout une blonde pour sur. Pas besoin de lui faire la cour, elle me laisse la déguster sans attente.

Après une partouze avec le reste de ses amies, je me rends compte que je les ai toutes épuisé physiquement. Surement un de mes talents caché, impossible qu'elles m'épuisent, je suis du genre charmeur sans relâche, une n'attends pas l'autre, un vrai tombeur.

Mais en plus je suis un vrai gentleman, après en avoir terminé avec elles, je les reconduis à la maison, et en rencontre de nouvelles pour étancher ma soif de conquêtes. Impossible de décrire mon étonnement, moi qui voulait rester seul et sage après cette orgie en bon et due forme, voila que j'entrevois du coin de l'œil une bonne douzaine d'autre qui me faisait de l'œil. Me laissant aller à mes plus bas instinct, je décide donc de succomber et leurs permets de me raccompagner à la maison.

Après une folle nuit de débauche, je dois avouer que la forme resplendissante qui m'habite habituellement commença à me quitter, pas facile la vie de casa nova.

Chemin faisant vers la salle de bain, question de me dégourdir les jambes et de vider se trop plein d'amour, je du avouer aux dernières qui attendaient patiemment mon retour que peut-être qu'elles devraient attendre encore un peu pour que leurs tour viennent.

Je commence a leurs expliqué qu'un homme a ses limites et que malgré mon envie d'elles, je devais me sustenter un peu si je voulais avoir l'énergie de pouvoir les contenter elles aussi, tout les tombeurs comprendrons c'est sur. J'avais besoin de force physique pour continuer cette soirée dont tout homme rêve secrètement.

Me rendant vers la seule source de nourriture présente, je du bien trébucher à quelques reprises, du moins à en croire les ecchymoses visible sur quelques parties de mon corps meurtris lors de mon réveil le lendemain matin.

Et oui, je me suis assoupis avant de réussir à satisfaire mes conquêtes ramené la veille, honte à moi, s'il vous plaît ne me juger pas sur cette seule soirée me suis-je empressé de leurs dire, et vous aussi, soyez indulgent envers un pauvre homme qui fait de son mieux, je n'ai plus vingt ans, je m'en rends bien compte.

La prochaine fois je me suis promis de limiter le nombres de convives qui auront la chance de partager mes soirées, j'irai donc pour la qualité et non pour la quantité. Je sais je m'assagit avec les années, la prochaine fois j'opterai pour un sextuplé de belle noire au col crémeux et odorant, plutôt que pour une douzaines de belles blondes plantureuses mais fade en bouche, allons-y pour le goût, le plaisir des sens, ma bouche et ma langue m'en remercieront sûrement. Quoi de mieux qu'une belle noire bien roulé et bien goûteuse, sûrement six belles noires bien roulées et bien goûteuses, je crois même que je connais déjà l'endroit ou je pourrais les trouver.

À la prochaine, consommer avec modérations, sans retenue bien entendu.;)

vendredi 9 octobre 2009

Ode silencieuse

J'appelle, le téléphone résonne en mon oreille tel le cri de la dernière chance. Ce son qui me met en transe, ce bruit qui me garde en contact avec ceux qui jamais ne décroche, plus qu'un son, c'est un maigre contact avec le monde extérieur. Celui la même qui me semble si loin, à l'autre bout du monde ou du fil, quel différence, cette voix pré-enregistré restera un moment de pure délivrance, si maigre soit-il.

La nuit qui me rends visite me laisse la trace de ces visions que j'ai cru entrevoir sur le bord de cette mer de monde qui passe s'en jamais repasser. Ces rires si près de mon oreille sans que je puisse les capturer et les mettre sous cloche pour les entendre quand la joie momentanée qu'ils m'ont procurés s'est dissoute de par leurs éloignements, ces yeux qui s'effaceront de ma mémoire, ceux-la même dont j'aurai voulu m'abreuver de leurs tendresse, me noyer dans ce bonheur éphémère pour mourir, pour revivre, avec cette envie de vivre tatouer au fond de ce nouvel être.

Je déambule dans ma bulle, celle que je crois à tort étanche, d'un coté comme de l'autre. Rien n'y entre ni en sort. Utopie de vouloir garder graver en moi tout ce bonheur que mes yeux rencontre, tentant de rester impassible devant la certitude de savoir que rien ne se répétera, mais crier si fort que rien ne sort de cette cavité sans fond.

Mordre dans la vie, je préférerais de loin l'embrasser à m'en couper le souffle, la caresser, la prendre en mes bras et lui communiquer cet amour d'elle, lui faire l'amour pour lui démontrer combien je tiens à elle.

Ne jamais retourner, avancer dans mes pensées, continuer de désirer cet accouplement de deux mondes si différent mais qui combien se désire un l'autre. Comprendre ses rouages si complexe à première vue, mais si simple quand ils nous submerges. Plus de question, plus de doute, seulement une certitude plus forte que la mort elle même.

Combien en connaîtrons seulement l'existence sans jamais avoir pu la ressentir au plus profond, jusqu'en surface, être envelopper de cette chaleur qui en toute saison nous permet de croire que le soleil ne se couche jamais.

L'hiver a assez durer, nul ne pourra dire quand il prendra fin, mais rien ne sert de rester cloîtré en attendant sa fin, même dans le froid, la chaleur restera présente a ceux qui la chercherons, même sans la chercher elle finira bien par trouver ce cœur qui tentera de rester de marbre envers elle. Elle fera fondre les irréductibles qui l'avait déjà déclaré morte.

Le soleil pointera son aura de chaleur pour que encore je me laisse pénétrer sans aucune retenue de sa chaleur réconfortante, celle-la même qui autrefois m'avait fait croire que jamais l'hiver ne serait de retour.

Je vois déjà l'horizon d'une contrée inconnue, mes pas foulerons ce sol bientôt, pour encore une fois, croire que je suis chez moi.

mercredi 7 octobre 2009

Fixation embrouillée

J'ai une fixation, une fixation sur un point embrouillé, ce point embrouillé devrait se fixer un jour éventuellement. C'est dur à comprendre même pour moi, je fixe le brouillard, donc en réalité je ne fixe rien d'autre qu'un objet sans forme ni réel existence.

Je vois en lui mes rêves et mes espoirs qui eux aussi sont embrouillés, rien de tout cela n'est vraiment clair, ni vraiment réel puisque sans présence physique ou émotive palpable, juste une vague impression de ce que je voudrais voir ou ressentir.

Un brouillard semi translucide qui me fait voir en mirage ce que mon esprit ressens, mes yeux se laisse floués avec joie, de pouvoir entrevoir ce qui n'est pas, mais qui pourrait être. C'est différent pour mon esprit et mon cœur, qui eux savent très bien qu'il ne s'agit que de rêves éveillés.

Ils se taisent en laissant mes yeux se réjouir de voir ce en quoi eux ont compris qu'ils ne resterait rien après que ce délire visuel se soit effacer de devant ces orifices, qui encore se laissent berner par des visions trompeuses.

Ils se taisent en espérant tout de même que un jour ce que ces yeux voient, se matérialise et leurs apportent un baume réconfortant aux parfums de printemps et de renouveau.

Ils restent silencieux, car ils n'ont plus mal, et se réjouissent de ressentir un peu de réconfort à travers ces yeux, ce à quoi ils ne pourront jamais empêcher ces même yeux de tenter de voir à travers ces brumes, une vision de ce qu'ils voudraient apporté au cœur et à l'esprit une bonne nouvelle en leurs disant que enfin ils ont réussit à voir ce que eux mêmes ont abdiquer de trouver depuis longtemps.

Même si eux ont lâché prise sur cette brume sans fin, ces yeux continueront de chercher pour enfin trouver la preuve qu'ils s'étaient tromper et que ce en quoi ils ont cessé de croire existe toujours.

Le cœur et l'esprit leurs souhaitent de réussir, pour enfin ressentir en eux encore ce qui les as fait vivre depuis toujours et qui les gardent encore aujourd'hui en vie.

Bonne chance.

lundi 5 octobre 2009

Hibernation humaine

Je feel weird ce soir, donc je vais me distraire, écrire me changera surement pas les idées, mais bon c'est ça.

Ce que je ressens présentement est indissociable de mes actes des derniers mois qui n'ont jamais voulus me laisser les enterrer au plus profond de moi. Si ce qui baigne au fond te tire vers le bas, bien vas-y, l'impulsion que je pourrai me donner à partir de fond, d'avoir un plancher qui me supporte sera surement plus bénéfique que de tenter d'en sortir en n'ayant rien pour m'aider à me propulser vers l'air frais de cette conscience qui m'apportera ce que j'ai besoin quand j'apprendrai à ne plus la renier.

Accepter n'est pas toujours facile, se pardonner l'est encore moins, surtout lorsque l'on s'accuse de torts que nous ne devrions pas nous imputés, je sais c'est stupide. Mais qui un jour ou l'autre ne s'est pas senti coupable tout en sachant qu'il ne l'était pas ?

Nous serons pour la plupart, notre juge le plus impitoyable, je n'ai jamais compris pourquoi c'est toujours plus facile de pardonner aux autres qu'à nous même. Ou peut-être que je me trompe et que je suis un des seuls à avoir ce dérangement psychologique, peut-être suis-je masochiste sans m'en rendre compte, et que avoir mal est une façon de voir que je ne suis pas encore trépassé, mais vivant à ma façon.

L'ours dors bien tout l'hiver et il en ressort vivant à la fin, je crois que ce serait une bonne métaphore pour ce qu'une partie de moi vie présentement. Une partie est en train de se reposer pour revenir éventuellement en force j'ose le croire.

L'instinct restera toujours le plus fort,reste à l'écouter et y faire confiance. Ça tombe bien pour moi, l'hiver arrive, je vais en profiter pour me reposer, chez moi, seul et tranquille, pour retrouver ce qui c'est perdu en moi, ça ne doit pas être aller bien loin. Reste à trouver ou c'est caché et le mettre en confiance pour qu'il sorte de son trou.