samedi 28 novembre 2009

En passant 2

Arrivé a l'avance au travail, question de lire un peu de ce que vous avez écrits récement. Pour pouvoir écrire un peu aussi.

Le besoin de faire sortir ce qui tourne et retourne dans ma tete. Clavier anglais, donc pardonner moi mes fautes. De tres grand haut récement, mais la loi du retour existe malheureusement, donc de tres fortes descente. Le fond réussis toujours a etre défoncé et a voir que les creux sont toujours plus creux. Mais les hauts sont magnifique, étourdissant meme.

La joie d'avoir decouvert la bibliotheque national et tout ses écrits m'aide beaucoup. Je vais passer une bonne partie de mon hiver la.

A défaut de sortir tout ce qui me hante, je tenterai de le dissiper en faisant entrer du positif par voie occulaire. Je lis beaucoup de psychologie, ca aide, mais le contact humais apporté par mes visites en ces lieux m'aide encore plus je crois.

Manque de chaleur humaine, je ne m'aide pas beaucoup, mais j'essaye, je me force et les fruits de mes efforts seronts surement delicieux, je le souhaite.

Bon, je dois aller travailler, mon blogue me manque cruellement, mais je trouverai le temps de venir deverser mes exces cognitif quand ils me feront sentir que la marmite est pleine. Gros calin, souriez, ca fait toujours plaisir de voir des gens heureux.

Au plaisir.

vendredi 27 novembre 2009

En passant

Un court post juste pour verifier si je suis toujours vivant, ben ca l'air que oui. Je suis au travail, malgré que nous sommes vendredi, la soirée est calme, ben d'accord avec ca vu mon état de lendemain de veille qui se continue ce soir.

Plein de sujet me traverse l'esprit mais vu l'abscence d'internet a la maison, je les conserves et les garde pour mon retour surement en janvier ou au plus tard en fevrier.

Bon ben je retourne faire mon close, a plus vous me manquez.

vendredi 6 novembre 2009

humain, rien de plus

Trop de sentiments pour trop peu de mots, même pour notre langue qui en recense plus qu'aucune autre.

Activité cérébrale qui déjante du coffre qui lui sert d'habitat, qui accapare le corps entier en le mortifiant, en ne comprenant plus pourquoi ce moyen de transport lui sert pour se mouvoir certes, mais qui pour le pourcentage de matière au comparable n'ai d'aucune aide pour aider la matière grise à se conforter dans son antre.

Situé au sommet, elle se sent parfois bien en dessous de ce qui me sert pour me mouvoir, pas toujours, mais jamais mes pieds ne se sentiront au sommet, alors que mon cerveau lui parfois se sent en chute libre, qui le mène bien plus bas que jamais mes pieds ne pourront imaginer s'enliser.

Le corps matériel parfois ne signifie plus rien, la déchéance de mes pensées s'ont tel que cette carcasse de chair ne contrôle plus rien, as-t-elle vraiment eu un impact sur ce dernier, pas pour moi, je ne suis pas de ceux qui vouent un culte au corps, non.

Mon corps me porte, mais quand je me sens pris en lui, je voudrais bien m'en défaire pour laisser mon âme se disperser tel le vent qui ne vient de nul part ni ne meurt jamais.

Depuis un certains temps, je me questionne, mais les réponses viennent avec les questions, je suis patient, et je le serais.

Certain ont remis en question la véracité de mes écrits, bien non, je ne suis pas parmi vous pour vous distraire, ou fabuler dans le but de toucher quiconque.

Je suis ici car en l'an de grâce 2009 le meilleur moyen pour moi qui est doté d'une calligraphie douteuse sur papier, le seul moyen de me relire et de ne pas perdre ces écrits est ce médium, je n'ai jamais été ici pour la gloire ou la reconnaissance. Il m'a fallu plus de plusieurs mois pour avoir des commentaires sur ce blog, et jamais je n'aurai cru si on me l'avait dit que un jour certaines personnes serait interresé par mes humbles écrits.

Mon oncle et d'autre m'ont fait réaliser que encore l'empathie et la compassion sont encore présent de nos jours, jamais je n'ai toucher une touche de ce clavier en pensant recevoir quelconque preuve de solidarité.

Mais il en a été ainsi, le borgne regarde l'aveugle et se dit que son malheur n'existe pas, mais après sa rencontre avec lui se souvenir se dissipe et il se morfond de nouveau, comme nous tous, le moment présent rien d'autre, ensuite encore se renfrogner sur notre sort, je le fais, mais ce mal qui est présent finira bien par quitter mon habitacle cérébral pour enfin pouvoir savourer un jour encore l'amour.

Je ne demande rien de plus.

Cousu de fil noir, je continuerais d'écrire, mal vous ne plaise, je n'ai jamais demandé la reconnaissance.

Au plaisir.

jeudi 5 novembre 2009

Complainte injustifiée

De retour après, après quoi, une tempête intérieur.

Certains sont partis, j'ai perdu de mes lecteurs, good.

Comme je le prône depuis mes débuts, mes écrits sont très égocentriques, pas toujours mais souvent.

J'ai ressenti le besoin de fermer car je n'étais plus la mentalement, perturbé au plus profond, j'ai choisi l'introspection plutôt que de me déverser dans un flot de mots que je ne contrôlais plus.

Je quitte dans trois jours, je reviendrais pour ceux qui voudront bien continuer de lire mes lubies. Mais je reviendrais surtout parce que cet exutoire me fait du bien, avec ou sans lectorat, bien que j'apprécie votre présence.

Je me suis demandé hier en lisant le pendule de Foucault, se peut-t-il que ce que je vois dans le miroir ne soit point ce que les autres voient lorsqu'ils me regardent. Réponse du stupide, pour sur, personne ne me connaît comme moi, et moi-même, je sais très bien que certaines de mes réactions me laissent perplexes.

Je continue à me découvrir encore et encore, car jamais je ne réussirait à le faire du à mon changement fréquent d'humeur et d'esprit.

J'ai touché un fond, mais était-t-il Le fond ? Sûrement que non, mais sûrement que oui pour l'instant.

Les mots sont plus vivants que certaines personnes que je côtoies jour après jour.
L'envie passagère d'en finir revient perpétuellement comme un cycle sans fin, un jour il prendra bien fin, mais sûrement que non.

Je suis et je ne serais plus, mais entre les deux je continuerais de tenter d'être ce que j'aurai voulu être. À force de continuer de mourir, je réussirais bien à vivre.

Je continuerais de déverser mes surplus cognitif sur ce clavier ou un autre en espérant me convaincre de l'utilité de la chose. Ou bien en réalisant que ceci n'est rien de plus qu'une distraction d'un enfant qui s'ennuie de ses jouets et qui se distrait comme bon lui semble.

Mais bon, demain sera quand même la, avec ou sans moi, c'est sûrement de savoir que ce monde n'a aucun besoin de moi qui fait que je l'aime tant.

Au plaisir.