dimanche 27 novembre 2011

Avant de sortir de sa chambre sombre, il pensa longuement a comment expliquer tout ce chaos a celle qui dormait encore dans son lit.

La journée était depuis plusieurs heures entamée, le reflet du soleil réchauffait déja les murs de ce minuscule appartement, tout autant que ses pensées réchauffait l'interieur de son crane douloureux.
Peu de souvenir, mais l'envie d'en avoir n'était point presente non plus. Comment, pourquoi, trop de questions.

Allons au plus simple, parti de bon matin avec l'envie de faire du bien a l'entour de lui, il s'est rendu chez les moins bien nantis pour leurs apporter ne serais-ce qu'un léger espoir que tout peu encore changer pour le mieux.

Apres avoir accroché quelques sourires aux visages ridés par la honte et la misére, il décida d'aller se récluser un peu a son bar favori.

vendredi 18 novembre 2011

Ben merde

Je pourrai etre le dernier a le croire, mais je suis le premier a le constater, écrire encore, depuis mon dernier texte, je me suis endormi, j'ai cru me réveillé, je suis parti sans jamais bouger d'ici, j'ai lu encore plus que tout ce que j'ai écris ici. Le temps se compresse pour ensuite se mettre en mode expension sans avertir.  La vitesse de course devient vertigineuse lorsque la vie reprend son cour apres un arret non programmé.

Apres avoir perdu pied et etre descendue plus bas que le seuil des marches de mon appartement, m'être relevé, m'être réveillé au plus bas, sans voir si le sommet me serait atteignable de nouveau, ne plus voir plus bas, mais sentir qu'il y a plus haut.

Plus haut, pouvoir le voir ne rime pas toujours avec croire, voir qu'il y a plus haut ne veux pas dire que l'on croit ces sommets accessibles. Le vertige s'empare parfois de moi seulement du fait de m'être relevé, de marcher debout plutot que de creuser.

Le trou reste quand même confortable, chaud et sans surprise, marcher requiert une volontée d'avancer et la route est rempli de surprise, le trou est sans issue et sur de tout imprévu. la molesse peut nous contraindre a cette perte de volontée qui nous pousse ou plutot nous tire hors du trou.

Je reviens tranquillement, je n'ai pas perdu l'envie d'écrire, donc je reviendrais bientot, et comme a mes début, avec ou sans lecteur.