dimanche 22 mars 2009

peut importe les plans, la vie me surprendra toujours

Anecdote simple mais qui m'a fait ma journée.

Dans le métro comme a tout les jours. Arrivé a la station berri, comme a mon habitude mon ipod sur les oreilles et entrain de lire une bonne pièce de Tchekov, mais comme la majorité, je ne fais pas comme si j'étais seul.

A chaque arrêt du wagon, a chaque fois que la porte s'ouvre pour laisser d'autres de nos semblables prendre place avec moi, je laisse ma lecture de coté pour quelque secondes, question de voir s'il n'y aurait pas quelqu'un a qui mon siège serait plus profitable qu'à moi.

Comme souvent vu la grande partie de cette ville que j'ai a traverser, je vois entrer quelqu'un qui devrait être assis du a son age.

Mais en lui laissant ma place, je n'ai pas seulement prouver a cet homme que encore de nos jours il y a toujours des gens qui pense aux autres. Ce vieil homme chinois m'a regarder et m'a parler, j'ai donc enlever mon ipod et suspendu ma lecture pour l'écouter.

Ce chinois rendu a un age vénérable m'a regarder plein de reconnaissance et avec peut être pour lui un jugement nouveau sur ce que la société est de nos jours. Il m'a chaleureusement tendu la main pour me remercier de mon geste. Ce que j'ai vu a ce moment dans ces yeux, une personne qui vois que encore de nos jours malgré tout ce qui nous divise, (ipod sur les oreilles pour ne pas entendre le reste de ce qui nous entoure, journal, et encore combien de raisons que plusieurs se donne pour faire comme s'il ne voyait pas que parfois un geste aussi banal que de céder son siége peut apporter plus que de bonheur a celui qui le donne qu'à celui qui le reçoit.)

Tout ça pour en venir que deux stations plus tard, une vieille dame prend place dans le wagon, et je regarde un jeune d'environ 26 ans dans les yeux, il écoute lui aussi son ipod. Mais j'ai vu cette dame entré et lui aussi, mais après l'avoir fixé d'un regard réprobateur, il ferme les yeux. Il préférait fermer les yeux sur la situation plutôt que de céder son siège a cette dame.

Je ne suis pas mieux qu'un autre, je ne pose pas ces gestes dans l'espoir d'un quelconque retour de la vie. Lorsque je vois des gens faire comme s'ils étaient seul, je me demande si c'était leurs grand-mère qui devait rester debout ils ne leurs céderaient pas leurs place...

En conclusion je crois seulement que si une personne âgée, un handicapé, une femme enceinte (quoi de plus beau qu'une femme enceinte) partage notre espace, que ce soit dans l'autobus, le metro, ou ailleurs, chaque personne en son être profond, réalise le geste qu'il convient de poser pour aider, pour démontrer que encore aujourd'hui l'être humain est un être qui vie en societé et se doit de faire ce qu'il sait être le geste adéquat a poser, une fois poser ce geste ne devient plus un effort mais bien un geste aussi commun que de respirer ou de vivre.

Une fois le bien être ressenti du fait que l'on a aider autrui, ce sentiment ressenti, plus jamais nous ne laisserons l'indifférence nous isoler du monde dans lequel chaqu'un se doit de voir le reste de la population comme une opportunité d'apporter a chaque fois que possible la vision que encore l'homme (et la femme) ne doivent jamais s'ignorer pour se diviser.

Merci a tout ceux qui pose ces petits gestes quotidien, et qui par leurs aides font que ce message silencieux, se propagera encore et toujours.

Même si quand plusieurs pose ces gestes, ils ne sont pas remercier, le sentiments de faire ce qui doit être fait nous donnent ce sentiment de gratitude et de bien-être, ce qui fait que nul besoin de mots pour le comprendre.

jeudi 19 mars 2009

reaction

Je viens comme a tout les soirs après mon retour de travail de faire le tour de plusieurs blogue que je suis depuis un certains temps. Encore une fois je suis passé par plusieurs émotions en lisant une autre parcelle de tous ces gens qui confient leurs états d'âmes, leurs quotidiens, leurs vie en générale a tous ceux qui sont prêt a s'ouvrir sur la vie des autres en voulant se divertir et voir un peu plus large sur ce qu'est la nature humaine.

Je ne commente pas souvent tout ces petits moments ou ces gens me laisse pénétrer dans leurs intimité, par peur de mal me faire comprendre ou plus souvent par gêne. mais je les remercies d'exister. C'est grâce a eux que j'ai eu le courage de commencer a écrire et que plusieurs chose que je garde en moi sortent enfin et continueront encore de le faire je le souhaite.

Manque un peu d'inspiration ce soir, non, pas un vrai manque d'inspiration, juste un manque de mots pour dire tout ce que je ressens. Des fois trop c'est comme pas assez. Tout voudrait sortir en même temps et dans ces conditions la habituellement ca sort tout croche.

Donc pour ce soir je vais laisser le cerveau se reposer au lieu d'essayer d'en extraire des bouts de plusieurs idées, pour ensuite tenter de tout démêler afin de pouvoir l'écrire.

Il y a des fois ou le lâcher prise reste encore la meilleur solution.

mardi 17 mars 2009

inspiration

Elle ne vient pas toujours lorsque l'ont le désire, des fois lors de moments ou je ne suis pas couché devant mon écran, mon cerveau me joue des tours. Je suis au travail, au restaurant a travailler, dans le métro, le temps et l'espace qui m'entoure ne régisses pas mes excès cognitif.

Ensuite, impossible pour moi de revenir sur ces pensées et de les extérioriser. Elles ressurgiront lorsque bon leur semblera.

Écrire pour se souvenir, écrire pour exister, écrire pour ne pas perdre des émotions qui par des mots maladroits parfois font que je sens que peut-être ces phrases, qui pour d'autre ne signifie rien mais qui pour moi sont ma mémoire, comme une odeur peut nous rappeler un bon plats, une femme ou autre chose a nos yeux mais qui pour tous et chacun n'a aucune réponse de leurs âme.

Pour moi rendu a mon age, l'odeur du tapis des marches que je dois montés pour me rendre chez ma grand-mère n'a pas changé depuis le temps ou elle me gardais moi et mes frères quand j'avais 6 ans. Encore aujourd'hui lorsque je m'y rends (trop peu souvent) cette odeur me rappelle ces souvenirs, bons et mauvais.

Mon esprit, ma mémoire, ce qui ne porte pas de nom, sans nom due non a la pauvreté de notre langue mais bien a une incapacité de pouvoir nommé ces sentiments, ces trop plein de vide qui me hante me font réfléchir, me prive de sommeil et me donne parfois la force de continuer, tout n'est pas blanc ou noir. Je préférerais que oui mais non. Lorsque pris dans ces entre deux, ne pouvant me diriger vers une réponse qui pour plusieurs semblerait logique, je viens ici. tentant de démêler ces trop plein de vide. Tout devrait pouvoir être quantifier selon certains, mais par absence de mot, mathématique, physique cantique ou religion ne pourront jamais expliquer pour moi ce que je ressens parfois.

Chaque personnes est différentes, tel un flocon de neige.

Nous n'avons nul droit de juger les autres même si nous le faisons tous, moi y compris.(moins qu'avant mais encore tout de même.) chaque geste posé est regardé, analyser et chaque personne y voit ce qu'il veut bien y voir. Mais même si c'est impossible, si nous avions le pouvoir de vraiment réaliser ce qui pousse chacun a agir comme il le fait nous aurions une toute autre perspective de la vie, des raisons derrière ces gestes qui sont faits par tous au quotidien.

Je me retire pour ce soir en pensant que demain je respirerais encore, en maudissant parfois la vie de m'y obliger, mais la plupart du temps en lui disant merci de m'y forcer.

lundi 16 mars 2009

temps de libre

Une autre fin de semaine de fini, mais au moins le soleil était au rendez-vous. L'été qui s'approche, promesse de chaleur et enfin le retour des camisoles et des mini-jupes :). Mais aussi pour moi c'est comme une nouvelles année qui commence. Premier été célibataire depuis six ans, pas de gazon a tondre, pas de piscine a nettoyer, pas de clôture a refaire etc ... Mais pas de femme non plus.

On dirait qu'après six ans de stabilité, je me pose trop de questions, est-ce que je veux me rembarquer dans une relations stable, ou si je reste seul et j'en profite ? j'imagine que la vie va s'occuper de répondre a ces questions a ma place. La peur de passer a coté de celle qui pourrait peut-être la bonne, mais aussi la peur de penser que c'est la bonne et de passer a cote de la bonne parce que je suis avec la mauvaise, c'est comme je disais j'espère que la vie va s'arranger avec ça. Mais en attendant, j'essaye d'en profiter, même si la routine me manque un peu.

En attendant le retour des terrasses et des tenues légères, je vais continuer d'apprécier mes heures passer seul a réfléchir sur tout et sur rien. Mais je vais surtout essayer de prendre du temps pour venir ici, moins coin secret pour vider ce trop plein qui a tendance a vouloir déborder quelque fois. Apprendre a apprivoiser cet exutoire personnel en espérant qu'il m'aide d'une façon ou d'une autre.