jeudi 31 décembre 2009

vive la restauration

Aucun metier ne vous laissera etre saoul au travail comme la restauration. Bien c ca je suis au travail ca fait 16 heures et j'ai passé ma journée a boire et mon boss vient de nous payez le champagne et la biere vive la restauration je reviens a jeun bien vite bonne année.

Bonne année

Juste quelques mots pour vous souhaiter a tous une bonne fin d'année et un bon début aussi. Faites attention a vous ce soir, moi je travaille toute la journée, mais je serai en vacance a partir de samedi donc ca aide un peu. Bon party a tous et je reviens dans environ deux semaine pour garder ce blog en vie et écrire de tout et de rien.

Au plaisir et Bonne année a tous.

samedi 19 décembre 2009

Bon temps des fetes

En attendant les groupes qui comme toujours sont a l'heure, je prends quelques minutes pour écrire un peu, bienvenue aux nouveaux membres. Quand meme étonnant, je n'écris presque plus et de nouveaux membres apparaissent, étonnant. Je ne fait que passer pour vous souhaiter un bon temps des fetes, faites attention a vous et a la prochaine.

jeudi 10 décembre 2009

Mais encore

Je vous le demande ce soir quoi encore, depuis deux jours, j'ai rencontré deux femmes, donc une qui a pris mon numero. Le positif que je m'accorde semble se refleter sur mon entourage. Sans le vouloir j'ai attire ou du moins susciter un interet pour ma personne. Je me concentre sur mes emotions et tente de les rendre par mes yeux. Seule porte de sortie evidente pour moi, jamais mes yeux ne mentirons. Je recommence a vivre non, je continue a etre. Je ne suis pas chez moi, donc le fond ne sera point divulguer ce soir, je vous reviens avec mon ame et mon etre sous peu, merci de me lire, je vous aime.

Au plaisir. xxx

samedi 28 novembre 2009

En passant 2

Arrivé a l'avance au travail, question de lire un peu de ce que vous avez écrits récement. Pour pouvoir écrire un peu aussi.

Le besoin de faire sortir ce qui tourne et retourne dans ma tete. Clavier anglais, donc pardonner moi mes fautes. De tres grand haut récement, mais la loi du retour existe malheureusement, donc de tres fortes descente. Le fond réussis toujours a etre défoncé et a voir que les creux sont toujours plus creux. Mais les hauts sont magnifique, étourdissant meme.

La joie d'avoir decouvert la bibliotheque national et tout ses écrits m'aide beaucoup. Je vais passer une bonne partie de mon hiver la.

A défaut de sortir tout ce qui me hante, je tenterai de le dissiper en faisant entrer du positif par voie occulaire. Je lis beaucoup de psychologie, ca aide, mais le contact humais apporté par mes visites en ces lieux m'aide encore plus je crois.

Manque de chaleur humaine, je ne m'aide pas beaucoup, mais j'essaye, je me force et les fruits de mes efforts seronts surement delicieux, je le souhaite.

Bon, je dois aller travailler, mon blogue me manque cruellement, mais je trouverai le temps de venir deverser mes exces cognitif quand ils me feront sentir que la marmite est pleine. Gros calin, souriez, ca fait toujours plaisir de voir des gens heureux.

Au plaisir.

vendredi 27 novembre 2009

En passant

Un court post juste pour verifier si je suis toujours vivant, ben ca l'air que oui. Je suis au travail, malgré que nous sommes vendredi, la soirée est calme, ben d'accord avec ca vu mon état de lendemain de veille qui se continue ce soir.

Plein de sujet me traverse l'esprit mais vu l'abscence d'internet a la maison, je les conserves et les garde pour mon retour surement en janvier ou au plus tard en fevrier.

Bon ben je retourne faire mon close, a plus vous me manquez.

vendredi 6 novembre 2009

humain, rien de plus

Trop de sentiments pour trop peu de mots, même pour notre langue qui en recense plus qu'aucune autre.

Activité cérébrale qui déjante du coffre qui lui sert d'habitat, qui accapare le corps entier en le mortifiant, en ne comprenant plus pourquoi ce moyen de transport lui sert pour se mouvoir certes, mais qui pour le pourcentage de matière au comparable n'ai d'aucune aide pour aider la matière grise à se conforter dans son antre.

Situé au sommet, elle se sent parfois bien en dessous de ce qui me sert pour me mouvoir, pas toujours, mais jamais mes pieds ne se sentiront au sommet, alors que mon cerveau lui parfois se sent en chute libre, qui le mène bien plus bas que jamais mes pieds ne pourront imaginer s'enliser.

Le corps matériel parfois ne signifie plus rien, la déchéance de mes pensées s'ont tel que cette carcasse de chair ne contrôle plus rien, as-t-elle vraiment eu un impact sur ce dernier, pas pour moi, je ne suis pas de ceux qui vouent un culte au corps, non.

Mon corps me porte, mais quand je me sens pris en lui, je voudrais bien m'en défaire pour laisser mon âme se disperser tel le vent qui ne vient de nul part ni ne meurt jamais.

Depuis un certains temps, je me questionne, mais les réponses viennent avec les questions, je suis patient, et je le serais.

Certain ont remis en question la véracité de mes écrits, bien non, je ne suis pas parmi vous pour vous distraire, ou fabuler dans le but de toucher quiconque.

Je suis ici car en l'an de grâce 2009 le meilleur moyen pour moi qui est doté d'une calligraphie douteuse sur papier, le seul moyen de me relire et de ne pas perdre ces écrits est ce médium, je n'ai jamais été ici pour la gloire ou la reconnaissance. Il m'a fallu plus de plusieurs mois pour avoir des commentaires sur ce blog, et jamais je n'aurai cru si on me l'avait dit que un jour certaines personnes serait interresé par mes humbles écrits.

Mon oncle et d'autre m'ont fait réaliser que encore l'empathie et la compassion sont encore présent de nos jours, jamais je n'ai toucher une touche de ce clavier en pensant recevoir quelconque preuve de solidarité.

Mais il en a été ainsi, le borgne regarde l'aveugle et se dit que son malheur n'existe pas, mais après sa rencontre avec lui se souvenir se dissipe et il se morfond de nouveau, comme nous tous, le moment présent rien d'autre, ensuite encore se renfrogner sur notre sort, je le fais, mais ce mal qui est présent finira bien par quitter mon habitacle cérébral pour enfin pouvoir savourer un jour encore l'amour.

Je ne demande rien de plus.

Cousu de fil noir, je continuerais d'écrire, mal vous ne plaise, je n'ai jamais demandé la reconnaissance.

Au plaisir.

jeudi 5 novembre 2009

Complainte injustifiée

De retour après, après quoi, une tempête intérieur.

Certains sont partis, j'ai perdu de mes lecteurs, good.

Comme je le prône depuis mes débuts, mes écrits sont très égocentriques, pas toujours mais souvent.

J'ai ressenti le besoin de fermer car je n'étais plus la mentalement, perturbé au plus profond, j'ai choisi l'introspection plutôt que de me déverser dans un flot de mots que je ne contrôlais plus.

Je quitte dans trois jours, je reviendrais pour ceux qui voudront bien continuer de lire mes lubies. Mais je reviendrais surtout parce que cet exutoire me fait du bien, avec ou sans lectorat, bien que j'apprécie votre présence.

Je me suis demandé hier en lisant le pendule de Foucault, se peut-t-il que ce que je vois dans le miroir ne soit point ce que les autres voient lorsqu'ils me regardent. Réponse du stupide, pour sur, personne ne me connaît comme moi, et moi-même, je sais très bien que certaines de mes réactions me laissent perplexes.

Je continue à me découvrir encore et encore, car jamais je ne réussirait à le faire du à mon changement fréquent d'humeur et d'esprit.

J'ai touché un fond, mais était-t-il Le fond ? Sûrement que non, mais sûrement que oui pour l'instant.

Les mots sont plus vivants que certaines personnes que je côtoies jour après jour.
L'envie passagère d'en finir revient perpétuellement comme un cycle sans fin, un jour il prendra bien fin, mais sûrement que non.

Je suis et je ne serais plus, mais entre les deux je continuerais de tenter d'être ce que j'aurai voulu être. À force de continuer de mourir, je réussirais bien à vivre.

Je continuerais de déverser mes surplus cognitif sur ce clavier ou un autre en espérant me convaincre de l'utilité de la chose. Ou bien en réalisant que ceci n'est rien de plus qu'une distraction d'un enfant qui s'ennuie de ses jouets et qui se distrait comme bon lui semble.

Mais bon, demain sera quand même la, avec ou sans moi, c'est sûrement de savoir que ce monde n'a aucun besoin de moi qui fait que je l'aime tant.

Au plaisir.

samedi 31 octobre 2009

Globalement

Merci à tous qui m'ont écrit vis-à-vis mon départ momentané, je disparais le 7 novembre. Donc encore une semaine à me pavaner de mes écritures.

Je suis sortis d'un trou pour finalement me retrouver enfoui sous un autre. Point central de mon existence, le trou, espace à combler.

Chacun nous sommes un point dans cet espace temps et physique, Remplisseur de trou vacant, notre présence ici prend un espace qui est le notre à chaque secondes, le laissant vide après notre départ.

La vie n'est faite que de trou vide que nous tous tentons de remplir à chaque instant de notre vie.

Trou de mémoires, trou pour aller boire, trou noir, trou laisser vide après notre passage.

Le vide rempli bien plus de place que notre présence.

Le vide me direz vous n'est rien, détrompez vous, le vide est bien plus présent que votre minuscule présence. Le vide est au moins sinon plus, la majorité de ce qui empli notre espace.

Je reviendrais plus tard sur cette hérésie qui vous confirme que le vide vaux bien plus que le solide sur ce qui affecte notre quotidien.

Encore quelque bières et je continuerais.

mercredi 28 octobre 2009

A plus

Bon ben free for all.

Je disparais dans un mois d'ici, je coupe tout, je me regarde et je me crache au visage. Je vais revenir après, c'est sur.

Je pense à moi, vous me manquerez, c'est sur.

J'ai une femme en vue, mais comme toujours elle n'en sais rien, donc je resterai seul encore.

Quand je serai un bon gars, pas d'alcool pas de tabac, je vas mettre des bobettes, ma lire la gazette.

On vas voir c'qu'on va voir, m'a me forcé en ciboire.

Je remercie en particulier Drew, avec qui j'aimerai bien aller prendre une bière un jour, qui sais ? Tout les autres aussi, mon oncle et moon, miss c et catou, et rainette.

Je reviendrais bien vite, vous me manquerez. Je reviendrais surement.

mardi 27 octobre 2009

Tout le monde a le droit de rêver

Je voudrais dire ces mots qui n'ont plus la chance de sortir de ma bouche, ces mots pris au piège dans une cage sans porte, ces mots retenu par aucune chaînes, ces mots qui ne demandent qu'à s'envoler pour encore embellir un ciel sans soleil.

Ces lèvres qui frémissent au seul espoir de pouvoir se mouvoir pour encore caresser cette peau si douce et chaude. Ces lèvres qui ne souhaitent que de murmurer à ton oreille des mots qui feront vibrer ta peau et ton cœur. Mes lèvres qui se meurent de te goûter pour te faire gémir de plaisir.

Ces doigts qui se battent entre eux pour savoir lequel pourra t'effleurer pour sentir ta peau. Ces doigts qui se tardent de pouvoir saisir ton corps pour le caresser en douceur et l'étreindre contre moi. Mes doigts qui se dessèche du manque de ton intimité.

Ces yeux qui t'imagine sans te connaître, ces yeux qui en toi voient une beauté qu'ils ne voudraient jamais cesser d'observer. Mes yeux qui rêves de pouvoir se délecter de ton corps nu.

Ces oreilles qui encore veulent entendre ces mots si doux pour elles, ces oreilles qui ne cessent d'attendre le retour de ces rires pleins de chaleur. Mes oreilles qui ne se peuvent plus du silence, du à l'absence de ces cris entendu lorsque tu jouis.

Ce corps tout entier qui réclame ta présence avant le retour du sommeil, ce corps qui attends le retour de ta peau pour encore vibrer de chacun de nos contacts. Mon corps entier qui réclame de sentir chaque partie de toi, qui encore veut vibrer avec le tiens lorsque nous ne faisons plus qu'un.

Mais aussi tout cet être qui s'abreuve de ces rêves de pouvoir sentir que encore plus qu'un corps, tu seras l'âme qui le fera sentir entier en ta présence, et qui sans toi, de près ou de loin, se sentira incomplet. Mon être qui ne voudras plus jamais te quitter.

Ces rêves de toi, ces rêves de te trouver. Mes rêves de finalement t'avoir dans ma vie.

lundi 26 octobre 2009

Bien commencer

Juste une très belle journée, laisser le négatif passer et faites don de votre plus beau sourire à toute cette beauté qui est présente, bonne journée :) Souriez, c'est gratuit.

En parallèle

Premièrement, merci de ne pas me juger, ou si du moins vous le faites, jamais en commentaires négatifs.

Les mondes dit parallèles, d'après ma vision ne sont pas si loin, ils interagissent à chaque jour de notre vie. Qui ne change pas d'intonation de voix devant son patron, et change sa manière, sa posture devant son subordonné ou son commis, qui se trouve sous lui.

Plusieurs d'entre nous sont vrai, ils ne change pas d'attitude, ils restent tel quel en toute situation, félicitations à eux.

Pour ma part je suis du genre couard, je n'aime pas les confrontations avec mes supérieurs, ni avec les gens que j'aime. Mais je n'en laisse rien paraître, devant eux je suis de marbre ou presque. Je reste combatif et sur de moi, je défie tout ceux qui se mettent en travers de ma route, mais à l'intérieur je déteste les confrontations qui me font déprécier l'autre pour lui montrer ma supériorité. Je déteste me plier lorsque je sens que malgré mon envie de ruer dans les brancards, le résultat fera de moi un perdant en bout de ligne.

Un seul et même homme, mais différentes approches devant différentes situations. Jamais je ne plie l'échine, du moins au premier coup d'œil, mais encore à l'intérieur, je me sens détruit de devoir combattre ce que je voudrais simple et facile.

En amour, devant tous, je passe pour celui qui ne connaît pas le manque de confiance, mais seul avec moi-même, ce manque de confiance me ronge tel le métal laissé tout l'hiver dehors se fait envahir par la rouille.

Je voudrais tant pouvoir montrer à tous ma fragilité, mon besoin d'être rassuré sur plusieurs points, mais de nos jours la faiblesse pour un homme, équivaut à un suicide social. Jamais une femme ne voudra d'un homme qui connaît ses faiblesses et les laissent le ronger.

Ne me sentant point capable de demander de l'aide, je continue de me réfugier sous des faux airs de confiance qui ne sont rien de moins que la version parallèle de mon vrai moi.

Chaque chose, chaque personne que vous pensez connaître, a sûrement elle aussi un coté parallèle que vous ne connaissez pas, du moins je le pense, j'espère me tromper et être minoritaire en cette situation, au plaisir.

Rien d'interesant

Difficile d'écrire ce que je ressens, de peur de voir la lourdeur de ces mots fracassé mon clavier et mon écran.

J'ai de la difficulté à concevoir qu'après plus d'un an, mon ex me dise qu'elle m'aime encore. Je suis rendu au procédure de divorce. Mais encore hier elle me dit qu'elle m'aime toujours. Pour moi aucun relent de cet amour mort depuis bien avant mon départ.

Je tente de comprendre, et je ne crois pas que de l'écrire y changera quoi que ce soit. Mais en étant seul, c'est encore le seul exutoire que j'ai.

J'ai énormément de misère à l'entendre me dire ces mots que je n'ai plus entendu depuis plus d,un an.

Je me suis replié sous ma carapace pour les éviter, même si je suis parti, même si je ne l,aime plus, ce n'est pas parce que les autres ne voient pas ce qui se passe à l'intérieur de ma carapace, qu'elle me protège de ce manque qui vient de l'intérieur.

Bon bien c'est ça, j'ai parfois de la difficulté à faire sortir ce que je veux dire, et je me censure car je sais que plusieurs me lisent et n'ont pas envie de lire cela.

Encore quelques consommations, et je perdrai sûrement cette gêne temporaire.

vendredi 23 octobre 2009

Descendance

Bon bien de retour pour encore déverser, si vous voulez rire je vous suggères d'aller lire drew ou patrick.

Rendu à 31 ans, je me surprends à me prendre pour une de ces femmes dont l'horloge biologique résonne tel un gong chinois en leurs être.

Et oui, rendu à presque 32 ans, l'envie d'avoir un enfant me rends presque fou. Je vois le temps qui file tel une bande annonce de film. Nous ne sommes plus de ces âges ou l'homme pouvait se munir d'une jeune femme de 20 ans pour pourvoir à sa progéniture.

Je me fais qualifier de vieux garçon, les pointes lancées sans méchanceté, par de plus jeunes me font quand même voir que en ces années ou la jeunesse prime, je suis presque un dinosaure, le temps se dérobe sous mes pieds, et plus je le regarde, plus je me dis que je devrais peut-être renoncé un jour à avoir une progéniture.

Je n'ai point encore abandonné, mais la ligne de retrait me semble si proche.

À mon âge, trouvé une femme et établir une relation qui me permettrai de réaliser ce rêve s'éloigne jour après jour. Pour moi impossible de réaliser ce rêve après seulement quelques mois de rapprochement. Pour concevoir un enfant, la plus belle chose qui jamais m'aura été donner, ne se fera point sur un coup de tête, peut importe une ou l'autre.

Je le vis difficilement, pour moi avoir une progéniture est quelque chose à quoi je ne veut pas renoncer.

Le temps est peut-être venu de dire adieu au seul rêve qui me gardait parmi les vivants. Voir en mes bras et en ceux de ma femme cet être qui me remplirait de joie en sa seul présence.

Pour tout ceux qui en ont eu la chance, merci de parfois me laisser aider vos femmes a descendre la poussette que vos femmes pousse descendre les marches du métro, libérer mon siège pour la femme qui porte ce que je voudrais en son ventre.

Merci a vous tous de me faire voir que ce n'est pas du a mon incapacité de procréer que je dois arrêter d'aider ceux qui me permettent de voir le sourire d'un nourrisson me permettre d'être heureux.

Incapacité non du à l'infertilité, mais à ne pas avoir trouver celle qui fera de moi un homme complet, complet pour moi, du fait de pouvoir tenir en mes bras un enfant dont je serais le géniteur.

Mais plus le temps avance, plus le doute de pouvoir devenir ce pourquoi la vie m'a pris en son sein diminue.

Je ne perds pas espoir, je suis sur que jamais je ne le perdrais, mais la vie fera son œuvre.

Si jamais mon plus cher rêve ne restais qu'à l'état de rêve, bien je n'ai aucune idée du pourquoi de ma présence ici.

Un jour sûrement, oui un jour sûrement.

lundi 19 octobre 2009

De tout, fin

Bon, après vous avoir accablé d'un sujet qui n'est point joyeux, je renaît de mes cendres pour encore être ce joyeux luron, que j'aime à coup sur. Allons-y. Ceux qui me suivent, suite de l'arrestation de mon ami l'écureuil borgne et de ma prestation de mime.

Me promenant, comme toujours insouciant de la minute qui suivra celle que je vis présentement, je ne vis point que les badauds du parc s'étaient entiché de ma personne.

Après avoir tant donné de mon talent pour les divertir, ils me prenaient pour un demi-dieux pour sur. Ces désaxés qui survivent grâce au prosac et au lithium, fournit grassement par l'état ne sont point habitués de voir une version de l'homme à son meilleur. Un homme qui sur de lui peut entraîné des foules incommensurables, c'était trop pour leur esprit.

Me voila donc en charge du divertissement de centaine de malheureux, je du donc faire appel à mon ami l'écureuil borgne, me devant sa liberté, il ne pouvait me refuser aucune demande (non je ne l'ai pas sodomisé), quand même je sais vivre.

J'avais besoin de lui pour le tour de la femme coupée en deux, j'avoue que c'est beaucoup moins spectaculaire avec un écureuil. Mais mon talent de prestidigitateur fonctionna à merveille sur mon public impotent mentalement. Et côté salaire je sauvais énormément, le prix des noix étant à la baisse.

Le plus retentissant de tout mes tours fut sûrement l'écureuil sorti du chapeau, une variante du lapin, je dois faire avec les moyens du bord. Je du écrasé mon ami, au point de lui broyer quelques os, mais il est un artiste, donc aucun sacrifice n'est trop grand pour son public.

La foule me rendit une salve de reproches, du au fait que lorsque je sortis mon ami, il ne bougeait plus, je leurs lança le cadavre de mon ami, en m'en fuyant pour éviter un lynchage en règle.

Depuis je suis à la recherche d'un nouveau partenaire, des volontaires?

dimanche 18 octobre 2009

Après on passe à d'autre chose, point.

Comme toujours,ceux qui me suivent le savent, je viens ici pour me vider, ouvrez bien l'œil, première et dernière fois que j'écris du profond,(vous ne me connaissez que sous le couvert de mon anonymat, donc je profite de cette chance pour dire à ceux qui ne me regarderont jamais dans les yeux pour ne pas sentir leurs jugement) si je le mets en ligne, demain je l'effacerai peut-être, quand je serai a jeun.

Vous connaissez sûrement tous Karel Jacob, nouveau blogeur, si ce n'est pas un ancien qui renaît des ses cendres, mais la n'est pas le point recherché.

Ils me fait me questionner sur plusieurs points, go je vide le sac, pour ne pas dire le trop plein de tout, passé, remâché, digéré ou non, qui hante, qui continue de vivre même si déjà mort depuis belle lurette, une vie est comme un livre, la page passé a été tournée, mais elle reste le lien avec la suivante, jamais elle ne disparaît complètement, elle reste relié au livre.

Je ressens (mon point de vue reste le mien, je n'inclus personne en le publiant.) qu'une bonne partie de son lectorat a été péché au hasard, car son recrutement s'est fait de manière aléatoire, en ne connaissant aucun d'entre nous, d'après mon humble avis.

Et plusieurs dont moi même ont embarqué dans ses histoires on ne peu plus noires, voir même de folies ou de névroses contrôlées et de ressentiments accumulé sur un laps de temps x.

Ce qui suis n'a pas pour but de le plagier, mais pour moi de faire jaillir ce que tous (du moins je crois sommes) tous avons eu nos déboires, familial, amoureux, affectif, de boisson ou de drogues. Plusieurs ont sûrement frôlé le suicide, qu'en sais-je ? Rien, mais je le clame quand même haut et fort.

Commençons vraiment, ce qui va être dit, ne requiert aucun encouragement ni consolations, ni même une compréhension de ceux qui aurait vécu de semblables événements.

J'écris pour moi,peut-être pour ma postérité(e), si j'ai la chance d'en avoir, je le souhaite de tout mon être.

De mon jeune âge, je n'ai que peu de souvenirs, les premiers remonte à la maternelle, temps ou encore je ne comprenais pas les subtilités des relations homme-femme. Pour moi ils étaient mes parents, et non deux personnes différentes et uniques, pour moi ils étaient une seule et unique voix, celle la même qui devait me diriger vers mon avenir (un enfant à confiance en ses géniteurs, sans questions ni doutes, point).

Un jour ou je faisais mes devoirs, ma mère vient me chercher dans ma chambre pour aller chercher des bonbons au dépanneur, je refuse, demandant à finir mes devoirs, mais elle se fait insistante. Je n'ai d'autre choix que d'obtempérer, je la suis donc.

À mon grand regret, la direction n'était point celle suggérée. Mais plutôt des friandises promises, nous nous rendîmes mes frères, ma mère et moi vers la résidence de mon oncle. Pour passé deux semaines pénible, à dormir sur le sol du à une fureur déclenché chez mon père pour cause de conserves mal placées au garde-manger.(Du moins, ce fut la version de ma mère, je n'ai eu d'autre choix que d'y croire, évidemment)

Le retour au domicile familial se fut dans la crainte et la plus totale inconscience de ce qui se jouait réellement.

Je m'épargnerai certains passages, quelque années plus tard, le scénario se répétant à chaque année, avec des variantes, sûrement du à mon niveau de compréhension qui de plus en plus me faisait comprendre un peu plus de ce qu'était ce monde d'adulte. J'y suis entré en catimini, avec le désir de rester invisible pour tenter d'observer ce qui pour moi était nouveau.

Le temps de me retourner et je me faisais face dans un miroir avec le reflet d'un adolescent qui déjà a passé de l'innocence à la réalité déconcertante de ce que serait cette vie, la mienne. À l'âge de 14 ans, Je ne put continuer de me contenir et après avoir vu mon père étrangler mon jeune frère, je décida donc de le tuer. Je pris mon bâton de baseball, et du haut de mes 5 pieds 8,(je n'avais point fini de grandir tant physiquement que mentalement) je parti à sa rencontre pour en finir avec lui, personne ne touche à mon petit frère, ceux qui ont des frères ou sœurs plus jeunes comprendront l'amour et la protection sans borne que l'ont porte à plus petit que soit. Un sentiment de devoir protéger le plus faible, indescriptible, sans réfléchir, comme inné, plus rien ne compte, aucun passe droit pour ceux qui en viennent à toucher à cette personne. La logique et le raisonnement n'existe plus.

Je parti donc en direction du garage ou il se réfugiât après avoir posé un geste sans retour. Mon grand frère et ma mère savaient bien que je ne ferais pas le poids face à un homme d'environ 38 ans. Ma mère me dit seulement en me retenant avec mon frère, que si ce n'était pas que la dpj viendrait me cueillir le lendemain, elle me laisserait volontiers tuer mon père. Heureusement, aujourd'hui je le sais, je n'ai pu commettre l'irréparable.

Pour compresser le tout, la banque a saisi la maison après deux ans de vie avec cette mère et mes chers frères(je vous aimes), après avoir passé un hiver à chauffé une maison à la toiture percée avec seulement le four, car tout les systèmes de chauffage avait rendu l'âme. Et à nous sustenter de biscuits soda et de beurre d'arachide pendant un an, je voudrais remercier ici, même si ils ne me liront sûrement jamais, mes ami(e)s de l'époque qui m'ont laisser abondamment pigé à même leurs frigidaires lorsque je leurs rendait visite, la faim est une torture tant pour le corps que pour l'âme, savoir que ces personnes étaient la quand je ne pouvait manger, me faisait sentir misérable, mais me donnait espoir qu'il existait quelque chose de meilleur ailleurs. La réalité des autres, nous fait voir que la nôtre n'est pas un dogme absolu, et que nos déboires ne sont pas l'apanage de tous, ce qui les rends plus supportables, du fait de comprendre que un jour je pourrais faire mes propres choix, je pourrais vivre et changer pour ce que j'ai connu de mieux. Savoir que ma vie ne se limite pas à ce passé qui se dissout avec l'âge qui avance. Comprendre que le futur est rempli de félicitée et de bonheur à découvrir.

Ironie, aujourd'hui je parle à mon père, mais plus à ma mère, car après avoir bien voulu m'ouvrir les yeux, j'ai compris que cet homme avait été en proie au tourments que ma mère lui faisait subir,(après avoir renoué contact avec ma famille, ce dont ma mère nous interdisait depuis des années) du fait qu'elle avait eue trois garçons lorsque son plus cher désir était d'avoir une fille (jamais elle ne s'en est caché, nous le répétant depuis notre jeune âge). Et que après trois tentatives infructueuses, mon père a décidé de faire comme notre ami Drew. Jamais elle ne lui a pardonné, et elle s'est servi de ses enfants pour le lui faire payer (les enfants croient tout ce que leurs parents disent, soyez prudent dans vos mots, ils en porteront les marques toute leur vie).

Ceci ne comprends pas les tentatives de suicides de ma mère et les menaces de mon père de tous nous éliminer si nous ne quittions pas le domicile familial, peut-être une autre fois, si la nostalgie et le besoin se fait sentir. Celui qui me restera à jamais marqué, le 23 décembre à neuf ans, mon père nous mis dehors est nous passâmes noël dans un immeuble désaffecté, sans rien, ni nourriture, chauffage mais surtout, cette année la, j'ai compris que le père noël était mort. depuis ce jour, noël est mort pour moi, désolé, la vie est ce qu'elle est, belle, formidable et pleine de surprises, mais surtout pleine de chance de se renforcer pour devenir meilleur.

D'après moi la seule morale à en tirer est ne porter pas trop attention au passé des gens, voyez plutôt ce qu'ils sont devenu. Ils sont le rassemblement de multiples événement, qui font aujourd'hui ce qu'ils sont.

Je remercie chaque seconde de mon passé, car aujourd'hui je suis fort, et j'aime la vie. Jamais je ne l'aurais cru en ces années noires. Mais elles ont fait de moi un homme qui apprécie chaque sourire vue et chaque belle femme croisé sur ma route. (ahh les femmes, vous êtes si belle, chacune, oui chacune, n'en doutez jamais)

Un jour l'une d'elle me laissera la chance de la rendre heureuse, et si la vie le veut, nous donnera un enfant en santé, pour le cajoler et lui inculquer combien la vie est précieuse et belle.

Pour ceux qui m'auront lu en entier, je vous remercient, même si vous êtes silencieux, votre présence, est déjà un signe de vie, un apport à la mienne. Merci

Au plaisir.

jeudi 15 octobre 2009

Continuer

Au début, il y avait le besoin de comprendre, la volonté inébranlable de trouver un moyen de venir à bout de faire sortir de l'autre ce qui était logé au plus profond de son être, les remises en question fréquentes sur la pertinence de continuer.

En premier lieu comme souvent les questions s'entremêlent, elles partent dans tout les sens sans vraiment toucher la cible. Avec le temps et la connaissance de l'autre, les questions se raréfient pour laisser place à la compréhension du langage corporel, sans vraiment l'avoir voulu, cela arrive "comme ça". Mais même après avoir passé à cette autre étape, la solution ne viens toujours pas.

Le doute s'installe peu à peu, la compréhension devient moins claire, les demi-certitudes s'évanouissent, pour devenir des questions envers soi même.

Lentement les réponses cherché devant les agissement de l'autre deviennent des doutes devant nos propres actions. Pendant longtemps hanté par mes agissements passé, tentant de multiplier les possibilités de fin, ou de continuité, au lieu de soustraire les réponses possible, j'en ajoutais de nouvelle.

De quoi tourner en bourrique, c'est un peu comme courir après sa queue.

Ces tracas existentiel dénué de toute logique, ont sûrement réussis à me faire perdre un temps fou, peut-être aussi m'ont ils apportés une noirceur sur ces moments, pour qu'en fin après avoir reposé mon cerveau fatigué de tergiverser devant ce qui devait pourtant être clair, je fut en mesure de comprendre que le temps file et que peu importe le temps que j'y mettrais, rien n'y changerais.

Continuer, bien oui, c'était si simple. Seulement continuer, bien merde, tout cela pour arriver à une conclusion d'un seul et unique mot, unique mais plein de sens.

Espéreront que je me souviendrais de ce mot lorsque encore je serais embourbé dans une fosse cognitive sur un sujet déjà mort et qui ne mérite pas plus d'attention que ce qu'il à su susciter.

Donner cette attention à quelqu'un qui saura l'apprécier et le rendre en retour, continuer, seulement continuer.

mardi 13 octobre 2009

Tourments interieur

Parlons de positions sur ceux qui s'opposent et se pose sur l'attente d'une pause pour se reposer de la lecture d'une prose.

Jouons avec les mots qui encore me cause des maux et me font maudire les moments qui jamais ne m'ont laissé montrer le seuil d'une idée montante en m'ont âme.

Mes pensées longtemps repensées qui ont panser ces blessures d'un penseur dépassé par son passé.

Conclure pour continuer de contempler ce qui contient une parcelle de conscience contemplative sur ce qui compte pour concevoir combien condescendant sont mes mots envers ces cons qui continue de converger vers de fausses conclusions.

Répartir une partie de cette part de savoir qui part d'une parcelle de mes pas parcouru sur place vers un parcours qui ne me mène nulle part.

Encore entreprendre ensemble le chemin enneigé de cette voie non sans embuches qui envers et contre tous entérinera mon entière entité.

Aspect tant attendu de trouver une astuce pour atteindre ces avoirs avec assurance et advenant une défaite atroce pouvoir assurer mon retrait anxieux de cette avance que j'avais cru un avantage.

Je ne suis point aigri de voir mes espoirs maigris de par cette maigre consolation de devoir m'écrire pour m'élancer de nouveau vers mes méandres intérieurs.

Continuer de se contenter de devoir contenir mes confusions cognitives sur ce clavier qui claque sous mes doigts pris de convulsions contagieuses.

Écrire encore pour décrire combien un écrivain éperdu peut éclater sans extravagance pour extrapoler ses éclats de vers excentrique.

Dormir sur ces rêves qui peut-être révéleront demain le retour vers la réalité redondante du reste de mon récit.

Seulement être pour mieux paraitre devant ces yeux traitres qui ne peuvent point deviner mon être.

Savoir devoir revoir même dans le noir le point butoir de mon existence sans gloire.

dimanche 11 octobre 2009

Si

Si sans savoir, je pouvais quand même voir, le devenir, de ce que sera mon avenir.

Si sans penser je pouvais imaginer, respirer cet air qui m'a tant manqué.

Si sans regretter je continuais d'avancer, me rendre sans me pendre.

Si je pouvais pardonner pour enfin oublier, rire pour enfin en finir.

Si possible devenir moins dur envers ce futur, aller de l'avant, me laisser porter par le vent.

Si vouloir devenait synonyme de pouvoir, sortir du noir, briser ces miroirs.

Si j'arrêtais de regarder mon reflet, pour voir qui je suis en vrai.

Si la surprise ne me menait pas à la crise, le calme, que depuis longtemps je réclame.

Si tout venait à moi, je me demanderai sûrement pourquoi.

Si tenter de résister n'était que futilité, me laisser prendre, par une main si tendre.

Si toutes ces questions pouvait éloigner mes démons, me donner le temps, de vivre un instant.

Si l'amour était de retour, pour panser ces cicatrices, qui encore me meurtrissent.

Si je pouvais y croire, ces mots seraient dérisoires, ils seraient sans fondement, mais jamais je ne ment.

Si je pouvais les effacer de mon passé, pour enfin conclure, la fin de cette aventure.

Si il n'y avait point de presse pour que tout cesse, je deviendrais heureux, le plus cher de tout mes vœux.

samedi 10 octobre 2009

Avec modération, sans retenue

Bon ben centième post, pis yé trois heures et je dois attendre jusqu'à six heures avant de retourner à l'hôpital parce que la fille m'a dit au triage à onze heures que ça donnait rien de rester la comme la nuit dernière, parce que je passerais pas avant six heures c'est sur, faque go divertissons moi.

Je n'irai pas jusqu'à dire que je suis alcoolique, mettons que je suis jovial et un joyeux luron, ça passe mieux mettons.

Donc dans ma grande jovialité, je me débouche une amie sincère, j'aurai bien sur préféré une amie dont les seins serrent... mais bon, comme je disais j'approche de ma bouche cette dame pleine de classe, tout une blonde pour sur. Pas besoin de lui faire la cour, elle me laisse la déguster sans attente.

Après une partouze avec le reste de ses amies, je me rends compte que je les ai toutes épuisé physiquement. Surement un de mes talents caché, impossible qu'elles m'épuisent, je suis du genre charmeur sans relâche, une n'attends pas l'autre, un vrai tombeur.

Mais en plus je suis un vrai gentleman, après en avoir terminé avec elles, je les reconduis à la maison, et en rencontre de nouvelles pour étancher ma soif de conquêtes. Impossible de décrire mon étonnement, moi qui voulait rester seul et sage après cette orgie en bon et due forme, voila que j'entrevois du coin de l'œil une bonne douzaine d'autre qui me faisait de l'œil. Me laissant aller à mes plus bas instinct, je décide donc de succomber et leurs permets de me raccompagner à la maison.

Après une folle nuit de débauche, je dois avouer que la forme resplendissante qui m'habite habituellement commença à me quitter, pas facile la vie de casa nova.

Chemin faisant vers la salle de bain, question de me dégourdir les jambes et de vider se trop plein d'amour, je du avouer aux dernières qui attendaient patiemment mon retour que peut-être qu'elles devraient attendre encore un peu pour que leurs tour viennent.

Je commence a leurs expliqué qu'un homme a ses limites et que malgré mon envie d'elles, je devais me sustenter un peu si je voulais avoir l'énergie de pouvoir les contenter elles aussi, tout les tombeurs comprendrons c'est sur. J'avais besoin de force physique pour continuer cette soirée dont tout homme rêve secrètement.

Me rendant vers la seule source de nourriture présente, je du bien trébucher à quelques reprises, du moins à en croire les ecchymoses visible sur quelques parties de mon corps meurtris lors de mon réveil le lendemain matin.

Et oui, je me suis assoupis avant de réussir à satisfaire mes conquêtes ramené la veille, honte à moi, s'il vous plaît ne me juger pas sur cette seule soirée me suis-je empressé de leurs dire, et vous aussi, soyez indulgent envers un pauvre homme qui fait de son mieux, je n'ai plus vingt ans, je m'en rends bien compte.

La prochaine fois je me suis promis de limiter le nombres de convives qui auront la chance de partager mes soirées, j'irai donc pour la qualité et non pour la quantité. Je sais je m'assagit avec les années, la prochaine fois j'opterai pour un sextuplé de belle noire au col crémeux et odorant, plutôt que pour une douzaines de belles blondes plantureuses mais fade en bouche, allons-y pour le goût, le plaisir des sens, ma bouche et ma langue m'en remercieront sûrement. Quoi de mieux qu'une belle noire bien roulé et bien goûteuse, sûrement six belles noires bien roulées et bien goûteuses, je crois même que je connais déjà l'endroit ou je pourrais les trouver.

À la prochaine, consommer avec modérations, sans retenue bien entendu.;)

vendredi 9 octobre 2009

Ode silencieuse

J'appelle, le téléphone résonne en mon oreille tel le cri de la dernière chance. Ce son qui me met en transe, ce bruit qui me garde en contact avec ceux qui jamais ne décroche, plus qu'un son, c'est un maigre contact avec le monde extérieur. Celui la même qui me semble si loin, à l'autre bout du monde ou du fil, quel différence, cette voix pré-enregistré restera un moment de pure délivrance, si maigre soit-il.

La nuit qui me rends visite me laisse la trace de ces visions que j'ai cru entrevoir sur le bord de cette mer de monde qui passe s'en jamais repasser. Ces rires si près de mon oreille sans que je puisse les capturer et les mettre sous cloche pour les entendre quand la joie momentanée qu'ils m'ont procurés s'est dissoute de par leurs éloignements, ces yeux qui s'effaceront de ma mémoire, ceux-la même dont j'aurai voulu m'abreuver de leurs tendresse, me noyer dans ce bonheur éphémère pour mourir, pour revivre, avec cette envie de vivre tatouer au fond de ce nouvel être.

Je déambule dans ma bulle, celle que je crois à tort étanche, d'un coté comme de l'autre. Rien n'y entre ni en sort. Utopie de vouloir garder graver en moi tout ce bonheur que mes yeux rencontre, tentant de rester impassible devant la certitude de savoir que rien ne se répétera, mais crier si fort que rien ne sort de cette cavité sans fond.

Mordre dans la vie, je préférerais de loin l'embrasser à m'en couper le souffle, la caresser, la prendre en mes bras et lui communiquer cet amour d'elle, lui faire l'amour pour lui démontrer combien je tiens à elle.

Ne jamais retourner, avancer dans mes pensées, continuer de désirer cet accouplement de deux mondes si différent mais qui combien se désire un l'autre. Comprendre ses rouages si complexe à première vue, mais si simple quand ils nous submerges. Plus de question, plus de doute, seulement une certitude plus forte que la mort elle même.

Combien en connaîtrons seulement l'existence sans jamais avoir pu la ressentir au plus profond, jusqu'en surface, être envelopper de cette chaleur qui en toute saison nous permet de croire que le soleil ne se couche jamais.

L'hiver a assez durer, nul ne pourra dire quand il prendra fin, mais rien ne sert de rester cloîtré en attendant sa fin, même dans le froid, la chaleur restera présente a ceux qui la chercherons, même sans la chercher elle finira bien par trouver ce cœur qui tentera de rester de marbre envers elle. Elle fera fondre les irréductibles qui l'avait déjà déclaré morte.

Le soleil pointera son aura de chaleur pour que encore je me laisse pénétrer sans aucune retenue de sa chaleur réconfortante, celle-la même qui autrefois m'avait fait croire que jamais l'hiver ne serait de retour.

Je vois déjà l'horizon d'une contrée inconnue, mes pas foulerons ce sol bientôt, pour encore une fois, croire que je suis chez moi.

mercredi 7 octobre 2009

Fixation embrouillée

J'ai une fixation, une fixation sur un point embrouillé, ce point embrouillé devrait se fixer un jour éventuellement. C'est dur à comprendre même pour moi, je fixe le brouillard, donc en réalité je ne fixe rien d'autre qu'un objet sans forme ni réel existence.

Je vois en lui mes rêves et mes espoirs qui eux aussi sont embrouillés, rien de tout cela n'est vraiment clair, ni vraiment réel puisque sans présence physique ou émotive palpable, juste une vague impression de ce que je voudrais voir ou ressentir.

Un brouillard semi translucide qui me fait voir en mirage ce que mon esprit ressens, mes yeux se laisse floués avec joie, de pouvoir entrevoir ce qui n'est pas, mais qui pourrait être. C'est différent pour mon esprit et mon cœur, qui eux savent très bien qu'il ne s'agit que de rêves éveillés.

Ils se taisent en laissant mes yeux se réjouir de voir ce en quoi eux ont compris qu'ils ne resterait rien après que ce délire visuel se soit effacer de devant ces orifices, qui encore se laissent berner par des visions trompeuses.

Ils se taisent en espérant tout de même que un jour ce que ces yeux voient, se matérialise et leurs apportent un baume réconfortant aux parfums de printemps et de renouveau.

Ils restent silencieux, car ils n'ont plus mal, et se réjouissent de ressentir un peu de réconfort à travers ces yeux, ce à quoi ils ne pourront jamais empêcher ces même yeux de tenter de voir à travers ces brumes, une vision de ce qu'ils voudraient apporté au cœur et à l'esprit une bonne nouvelle en leurs disant que enfin ils ont réussit à voir ce que eux mêmes ont abdiquer de trouver depuis longtemps.

Même si eux ont lâché prise sur cette brume sans fin, ces yeux continueront de chercher pour enfin trouver la preuve qu'ils s'étaient tromper et que ce en quoi ils ont cessé de croire existe toujours.

Le cœur et l'esprit leurs souhaitent de réussir, pour enfin ressentir en eux encore ce qui les as fait vivre depuis toujours et qui les gardent encore aujourd'hui en vie.

Bonne chance.

lundi 5 octobre 2009

Hibernation humaine

Je feel weird ce soir, donc je vais me distraire, écrire me changera surement pas les idées, mais bon c'est ça.

Ce que je ressens présentement est indissociable de mes actes des derniers mois qui n'ont jamais voulus me laisser les enterrer au plus profond de moi. Si ce qui baigne au fond te tire vers le bas, bien vas-y, l'impulsion que je pourrai me donner à partir de fond, d'avoir un plancher qui me supporte sera surement plus bénéfique que de tenter d'en sortir en n'ayant rien pour m'aider à me propulser vers l'air frais de cette conscience qui m'apportera ce que j'ai besoin quand j'apprendrai à ne plus la renier.

Accepter n'est pas toujours facile, se pardonner l'est encore moins, surtout lorsque l'on s'accuse de torts que nous ne devrions pas nous imputés, je sais c'est stupide. Mais qui un jour ou l'autre ne s'est pas senti coupable tout en sachant qu'il ne l'était pas ?

Nous serons pour la plupart, notre juge le plus impitoyable, je n'ai jamais compris pourquoi c'est toujours plus facile de pardonner aux autres qu'à nous même. Ou peut-être que je me trompe et que je suis un des seuls à avoir ce dérangement psychologique, peut-être suis-je masochiste sans m'en rendre compte, et que avoir mal est une façon de voir que je ne suis pas encore trépassé, mais vivant à ma façon.

L'ours dors bien tout l'hiver et il en ressort vivant à la fin, je crois que ce serait une bonne métaphore pour ce qu'une partie de moi vie présentement. Une partie est en train de se reposer pour revenir éventuellement en force j'ose le croire.

L'instinct restera toujours le plus fort,reste à l'écouter et y faire confiance. Ça tombe bien pour moi, l'hiver arrive, je vais en profiter pour me reposer, chez moi, seul et tranquille, pour retrouver ce qui c'est perdu en moi, ça ne doit pas être aller bien loin. Reste à trouver ou c'est caché et le mettre en confiance pour qu'il sorte de son trou.

mercredi 30 septembre 2009

Générations de y à z, après ce sera quoi?

Sujet peut-être désuet pour plusieurs, mais qui aujourd'hui pour moi du à un événement fortuit me mène à en débattre.

La joie de vivre qui autrefois habitait nos grands-parents surtout, cette époque ou ils travaillaient dix fois plus fort que nous avec cent fois moins de ressources et cinq fois plus de bouche à nourrir.

D'accord ils se peut impossible pour les plus jeunes de se remémorer ces temps morts depuis pas si longtemps. J'ai 31 ans presque 32 (en février), j'ai eu la chance de voir mes grands-parents me parler avec ferveur de ces temps ou la misère était omniprésente, mais aucun ressentiment dans leur voix quand ils me parlaient de ces heures interminables ou l'homme devait subvenir au besoin de sa famille et ou la femme donnait carrément sa vie pour faire de sa progéniture des gens biens, (car l'homme du passé travaillait à un tel point, qu'au même titre que sa femme servait de machine à enfanter, servait de machine à pourvoir à sa famille) laissons l'église de côté, elle le faisait par amour pour eux, point. Même si cette dernière les y a un peu (beaucoup) forcée.

Je ne dénigre pas l'implication de la femme d'aujourd'hui, qui elle aussi se valorise et quand elle en sent le besoin s'émancipe de cet ère rétrograde qui voulait la garder pour machine à reproduire.

Mais dans un autre ordre d'idée, ne méprisons pas celles qui ont donné leurs vies, pour éduquer ces jeunes qui à mon humble avis, respectais et ce de loin leurs ainé(e)s, comparer à ces enfants roi qui éduquer à coups de matériel pour taire leurs pleurs incessants qui demande à se divertir avec ce que la société leurs offrent, fautes de pouvoir avoir à leurs cotés un grand-père qui leur conte de multiple histoires, vrai ou fausse mais toujours divertissante, vrai? du fait que leurs grands-parents sont surement déjà soit morts ou placés, par faute de temps ou de moyen de pouvoir s'en occuper.

Laisser moi pleurer, faute de moyen, oui la valeur du dollar a changé, mais ce n'est point le responsable a priori, dites bonjour à la surconsommation, c'est beaucoup moins drôle vue de cet angle, donc disons faute de temps, c'est mieux pour nous sinon les antidépresseur seront de mises, pour sur. Avons nous jamais vu un animal s'apitoyer sur son sort, seul l'humain se sens le besoin de faire cela pour se disculper de ses torts, acceptons nos erreurs et au lieu d'en accuser le monde, tentons d'y remédier.



Ceux de ma génération auront vu l'entre deux, ou encore nos parents nous éduquaient, nous restreignaient à avoir un savoir vivre et un respect de cet autorité parentale, et de voir que tout ne nous étaient point du au fait de notre simple naissance. Devoir acquérir le respect, le droit de devenir des hommes et des femmes par nos efforts pour prouver que nous méritions ce du auquel aujourd'hui les plus jeunes ne ressente aucun besoin de prouver leurs valeurs pour acquérir le titre de personne émancipée de joug parental.

Je sais s'éternise sur un passé déjà dépassé mes réflexions de vieux jeu qui revoit en son crâne des temps morts et enterrés.

Mais le point central de mes régurgitations cognitives, c'est de tenter de comprendre comment avec toute ces ressources et ces "biens" matériels qui nous commandes bien plus que nous ne les contrôlons, ou avons nous perdu la joie de vivre et de transmettre cette joie à ces générations futur qui dès demain régiront notre monde.

Je n'ai aucunement perdu espoir que si j'ai une famille un jour je prendrai de mon temps pour communiquer à mes enfants, et ce dès leurs jeune âge, la joie et le bonheur de vivre ici, et de leurs confirmer à quel point ils doivent voir que la vie passe avant tout par l'essentiel, qui pour moi est de sourire et de transmettre ce sourire qui reflète la joie de vivre qui est un lègue bien plus important que ce que je pourrais leurs laisser en billets verts après mon départ.

Un jour, je pourrais je l'espère,tenir en mes bras un parcelle de notre futur à tous, alors ma vie n'aura pas été vaine.

Bien à vous, ceci dit sans dénigrer ceux qui n'ont point connu ce dont j'ai fait mention ci-haut. Mais bien dans le but de vous dire qu'avant vous ont existé des gens sans pareil ou presque de nos jours, souriez, c'est gratuit et tellement réconfortant pour tous.

Au plaisir.

Un homme qui crois en vous.

lundi 28 septembre 2009

La femme et la mer

Envie de me distraire un peu, comme toujours.

Me laissant bercer par son humidité, je continuais à croire qu'en elle je pourrais pêcher.
La regardant avec mes yeux qui ne pouvait l'apercevoir sur tout ces rivages, je du me contenter d'en voir une partie et laisser le restes sans image.
Elle, si voluptueuse, si caressante de toute sa force, elle peut m'envelopper en elle et m'y conserver jusqu'au bout de mes forces.
Sa beauté n'a d'égal que le pouvoir d'attraction qu'elle me fait sentir, comme celui que cet astre lui inflige.

Elle dégage cette force tranquille qui me fait sentir plus puissant, nuit après nuit je ne demande qu'à être son amant.
Me retrouver en elle, me sentir vivant, de pouvoir la pénétrer complètement.
Sa douce caresse sans prévenir peut tourner à des gestes des plus violents,
il est essentiel de la prendre avec mes gants blancs.

Cette force de la nature, elle qui toujours aura mon amour je le jure.
Sa beauté encore sur moi me laisse béat, d'une émotions plus forte que son poison.

Jamais je ne ferais de différence entre une femme et l'océan, pour les deux je donnerais mon sang.

Pour tant de beauté, qui encore me font délirer, pour toujours à vous je serais enchaîné. Sans vouloir jamais vous quitté, peut-être non plus ne pourrais-je m'en approcher.

Temps

Des fois j'aurai voulu plus de temps pour comprendre certaines choses, parfois ça va trop vite et nous devons prendre des décisions rapidement.

Le temps n'est malheureusement pas élastique. Le temps donné pour comprendre n'est pas toujours celui qu'il m'aurait fallu.

Après coup je ne regrette rien, mais je me questionne parfois sur ce qui serait arrivé si j'avais pus fractionner le temps pour réfléchir un peu plus longtemps.

Temps qui passe, qui me dépasse qui jamais ne repasse.
Temps qui laisse sa marque, temps qui encore me marque.
Ce temps qui continue, peu importe ce que j'aurai voulu,
me laissant pris au dépourvu, de voir volatiliser ce que j'avais entrevu.
Secondes qui s'échappent, secondes qui dérapent,
laissant ces minutes, devenir des heures qui encore me leurrent,
voir devenir ces journées des années, qui me laissent le droit de rêver.
Pour enfin devenir une vie, celle que j'ai choisi.

dimanche 27 septembre 2009

Focus

Un de plus, voir un de moins, sans rapport à ce que je pense. Lisez un de plus, de plus sur quoi? rien, je n'ai rien à dire ce qui adviendra après moi.
Je viens ici pour me servir de ces textes comme exutoire.


Bon bien commençons.

Me décrire comme une personne saine d'esprit ne serait que brume envoyé pour ne pas laissé de trace.Je ne suis pas d'un côté ou de l'autre.

Le temps réduis l'infini. Car l'infini n'a pas besoin de temps. Le temps délimite, L'absence de temps reviens à la base de la vie.

Sans temps impossible de déterminer le début et la fin.

Bien la vie est cela, si l'homme n'est point présent, qui dirige le futur.

Oubliez, trop de vies, trop de moments, trop de réactions que vous n'avez point entrevue , le monde est fait de millions de réactions, la votre ne vaut pas plus que celle d'un autre.

Vous réaliserez que la vie vaux beaucoup moins que la mort.

Désoler, si vous me lisez, vous deviez vous y attendre.

Sans la vie, il n'y aurait point de mort.

Arrêter de tenter de comprendre, vivez, point.

Sans aucun point de me sentir bien, donner pour donner.

mercredi 23 septembre 2009

Quoi encore

Oui, quoi encore. De retour dans mon univers on ne peu plus désarticulé, pour ne pas dire carrément démembré.

À chercher ce qui ne me reviens pas en mémoire, ce que j'avais cru percevoir, à l'intérieur d'un regard. Tromper par mon instinct, meurtri pas mes espoirs de voir devenir vrai ce qui fomente en moi vis-à-vis ce en quoi je croyais me diriger.

La peur de devenir misogyne, du à ce ressentiment décuplé à nouveau, je les aimes trop. Je dois me protéger avant de passer à cet extrême.

Entrevoir que rendu ou j'en suis, le passé qui me colle au cul, et le futur qui me fuit tel la peste. Je dois maintenant composé avec un présent qui ne me donne point envie d'entrevoir un futur qui pourrait être.

J'y crois toujours, c'est probablement la source de mes démons, l'espoir que encore sera visible en ma pupille la flamme qui allumera ce qui reste de braise en mon cœur. Il n'est point hémophile, la cicatrice se fera bien en temps et lieu, mais la transfusion sera peut-être de mise pour le remettre sur pied.

Voir d'un regard aveugle, celui qui n'a pas besoin de mes orifices oculaires pour ressentir ce que la vie m'envoie jour après jour. Même aveugle je ressens toujours ce qui transpire de ces attentes qui ne me mène qu'à une amère déception encore.

Les ténèbres sont parfois arrosé de pluie d'étoiles, qui pour un court instant me donne le courage de croire encore possible, l'impossible.

Rien n'est impossible, je m'accroche à ce nuage en espérant qu'il m'emmène avec lui loin de l'orage, vers de meilleur cieux. Je continuerais de marcher quitte à user ces semelles à m'en faire saigner les pieds, pour que encore mon cœur s'envole et se défasse de ces chaines que sont le désespoir et l'incrédulité, pour enfin trouver celle qui me redonnera mes ailes.

Ne jamais abandonner, même si le fardeau devient plus encombrant qu'une paire de souliers lacés ensemble.

Y croire, même si je n'y crois plus.

lundi 21 septembre 2009

De tout 2ième partie

Assez de sérieux, soyons joyeux!

Retournant voir ce qui se passait au parc ou jadis je performais en tant que troubadour d'un jour, je réalise que les mêmes attardés qui m'ont chassé la dernière fois sont au prise avec un problème que nous ne saurions imaginé.

Le plus brave d'entre eux était au prise avec mon ami l'écureuil borgne. Un stupide pari pour savoir combien de temps il pourrait le garder dans sa culotte, tous de joyeux lurons pour sur. Le spécimen tentant de retenir mon ami avec sa couche contour, n'avait point calculé que malgré son œil manquant, ses dent étaient toujours présentes. À vous de deviner que ses noix ont fini en repas pour gourmet. (peut-être serait-ce une solution plus rapide pour Drew ;)

Je m'étais vêtu de mon plus bel habit de mime. Donc impossible pour moi de commenter ces événements loufoque. Je prend toujours mon rôle au sérieux, je suis un professionnel, un vrai.

Ne pouvant signaler ma présence par voie sonore, je du me résoudre à mimer mon mécontentement par des gestes saccadés, tentant de me faire comprendre avec des gestes bien calculés.

Mais avec cette troupe de génie en herbe, impossible d'en tirer le moindre résultat. Je pris donc place sur mon piédestal pour livrer la performance d'une vie. Tous subjuguer par tant de grâce, ils n'avait jamais imaginé que l'homme pouvait démontrer une telle profondeur.

Mon numéro interrompu par l'arrivée des ambulanciers, je du me résoudre à laisser mon rôle pour défendre mon ami l'écureuil qui était accusé de voie de fait.

Seul contre cette foule en colère, je réussis tant bien que mal à le faire libéré. Les agents de la paix voyant bien que si un mime parle, ce n'est pas pour ne rien dire.

Je vais mettre ce vieux rêve de coté le temps que je me trouve un passe temps qui ne nécessite aucun contact social.

Peut-être une collection de carte de bingo ou bien d'étiquette de produit périmé ? Des idées ?

Rien d'interessant

Mes derniers billets étaient personnel, divertissons moi un peu.

Avançons dans le plus parfait silence, mesurant à chaque pas le futur des tout ces pingouins qui vivent et voient la vie de sur la banquise. Comprenons bien leurs détresse de voir leur monde se défiler tel un serpent sur la dune.

Apprenons à respecter l'ours qui dévore nos rebuts tel un plat cinq étoiles. Cette faune invisible de fourmis sous terre qui continue de la dévorer pour que nos maisons s'enlisent dans ces crevasses créée de toute pièce.

Voir tout ce qui entoure le lac pour mourir avec l'avancement de l'homme sur lui. Planter un arbre pour encore pouvoir produire notre quotidien favori demain.

Engraisser le porc pour que notre déjeuner de demain soit plus goûteux, nourrir de cadavre les bêtes pour ensuite s'exclamer devant ce massacre perpétrer pour augmenter le profit au lieu de maintenir un fragile équilibre qui depuis déjà longtemps a cessé d'être.
Cela n'est pas joyeux, je me divertis bien comme bon me semble.

Boucherie combiné d'aveuglement sur tout ce qui nous entoure, pourquoi continuer de lire, vous êtes déjà retourné vous placé sous vos oeillères, regarder devant sans voir les dommages collatéraux de ces gestes posés quotidiennement.

Je seconde la motion, continuons, ne nous inquiétons plus pour le sort de ce véhicule qui nous portent, commençons à nous en faire pour ses passagers qui voyagent à une vitesse folle sans être attachés. Le choc sera brutal, voir mortel. Mais c'est déjà la ou nous allons, non.

Continuer de se plaindre de faire partie du dixième de la population qui réussis à manger à tout les jours et ouvre un mécanisme simple pour s'y abreuver.

Tôt ou tard, vaux mieux tôt que tard, chacun son idée sur ce point de vue un peu abstrait d'une vie qui continue sans demander ou vous voudriez débarquer. Ce n'est pas un autobus ni un train , c'est la vie.

Prenez le contrôle, et laissez vous bercez par toutes vos illusions, vous n'en serez que plus heureux.

je viens d'écouté Slumdog millionaire, et je réalise à quel point nous sommes chanceux, quand je me plaindrais je reviendrais lire ce billet, j'écris pour moi, merci quand même de me lire.

Demain peut-être

Avenir incontrôlable d'un futur en devenir et de celui qui est désiré. Pouvoir prendre le contrôle imaginaire de ce qui est encore en devenir, croire en ce pouvoir de diriger cette barque vers le rivage désiré.

Vision sur un si petit écran, qui projette pourtant de si grand rêves, se rendre à se manipuler soi-même pour finir par croire à l'impossible. Croire fermement que ces illusions venant des confins de mon cerveau pourront se matérialiser dans cette vie qui ne fini pas de continuer.

L'espoir est de mise pour continuer cette partie d'échec contre la vie qui indéniablement finira par me mettre échec et mat tôt ou tard. Jouer les meilleurs coups pour retarder cette échéance et en profiter le plus longuement possible, pouvoir se rendre à croire une victoire possible sur elle.

Chaque rêve accompli laisse place au suivant, mais à défaut d'en avoir une multitude, ne ce concentrer que sur un seul. Mettre tout mes œufs dans le même panier. Au risque de me sentir déçu éventuellement si jamais il venait à être impossible de le concrétiser.

Mais quand même, je préfère me concentrer sur un but unique plutôt que de m'éparpiller en un million de petite joies, plutôt que de souffrir cent fois, je ne serais déçu qu'à une seule reprise si je ne parviens pas à atteindre mon but, et si jamais je venais à jouer de finesse pour réussir à me mettre en place pour voir devenir concret ce rêves, bien ensuite je serais comblé et en profiterais pleinement.

Un seul et unique but, celui la même que plusieurs tente en vain d'atteindre. Bien je vais y mettre tout mon ardeur pour un jour me dire que cette vie aura été celle dont j'ai rêvé depuis toujours.

Mais peut-être que c'est ce rêve qui me garde vivant, en le voyant achevé je recommencerais peut-être a entrevoir d'autre chose qui pour l'instant sommeille en mon antre.

Il suffit de croire, et de ne jamais perdre cet espoir qui garde cette flamme incandescente ne jamais diminué d'intensité. Vivre cet espoir à chaque jour comme si le prochain était le bon.

vendredi 18 septembre 2009

Bonne nuit

Je ne dors toujours pas, il est seulement 3h20 du matin, mais quand même. depuis maintenant un an je ne dors plus la nuit, blogguer a été pour moi une façon de passer à travers ces nuits interminable ou le sommeil ne viens jamais avant le chant des oiseaux.

L'hiver approche, les oiseaux se feront sûrement plus discret. Je sais pas, des fois je me demande pourquoi je ne dors pas. Pourquoi le sommeil autrefois si paisible ne daigne plus se présenter pour prendre mon âme et l'emporter loin de mon corps pour quelques heures.

Mon cerveau n'a pas l'air de vouloir coopérer avec celui qui lui sert d'hôte. Mon corps commence à s'en ressentir, ont dit que le sommeil de nuit est le plus récupérateur, je ne sais pas si c'est vrai mais j'aurais tendance à le croire.

Je commence à être blasé de devoir m'assommer à coup de bière pour trouver un sommeil qui ne m'apporte pas ce que je recherche en lui. Le sommeil éthylique n'est pas réparateur, le corps continue à brûler l'alcool au lieu de se reposer vraiment, étouffer les cris du cerveau pour laisser le corps continuer à travailler seul, quelle bonne idée, le lendemain il me le fait payer cher, ce salaud.

Je trouverais bien un moyen de me soustraire à ce rituel d'insomnie qui ne me plaît guère. En attendant je continuerais à déverser mes états d'âmes sur ce clavier qui doit être plus fatiguer que moi de se faire marteler durant des heures pour extraire ce jus qui coule de ce cerveau en constante ébullition.

Parfois réfléchi, parfois amusant, parfois profond, mais toujours en mode de survie. Il me le pardonnera un jour de l'avoir sur utilisé, mais jamais il n'oubliera ces nuits à se presser tel un citron pour trouver un moyen de s'éteindre pour quelques heures.

Bonne nuit, j'en ai perdu la notion, j'aimerai bien me le faire souhaiter encore, je vous le souhaite, bonne nuit.

mardi 15 septembre 2009

Continuer

Pouvoir passer devant tout ces passants, dépasser mon passé. Retourner d'où je viens sans me détourner pour regarder ces regards qui me voient m'éloigner sans savoir si je reviendrai.

Commencer à me rediriger loin de cette rigidité qui m'a tant blessé, pouvoir entrevoir ce pouvoir de croire que encore je vais le voir et y croire.

Faire enfin partie de cette vie qui déjà m'a emplie de dénie envers ceux qui sont partis.

Prendre et reprendre de l'assurance pour me rassurer que mon passé et déjà dépasser. Voir venir cet avenir en devenir qui plus que jamais me dicte que je dois revenir pour enfin en finir.

Retourner à ma source pour chercher les ressources pour pouvoir finir cette course qui me mènera hors de cette brousse, celle la même qui m'attira avec ses espoirs de pouvoir me cacher de mon karma de rester confronté au célibat encore une fois.

Comprendre avant de prendre, ne jamais se rendre sans avoir tenter de défendre ce qui rend mon coeur si tendre.

Un amour qui me parcours et qui cour pour s'effacer avec le jour.

Chaque nuit je me confie sur ces envies d'être celui qui demain sera encore dans ton lit.

Mais sans conviction je confronte mes démons qui peut-être jamais ne partirons pour de bon sans m'avoir convaincu qu'ils sont bons et non de vulgaires hallucinations qui me détourne de ce pont que je tente de traverser pour ne pas finir au fond d'un ravin encore plus profond.

Je continuerais de vivre et non plus de survivre, même si cela veut dire prédire un avenir sans ce sourire qui pour toujours me fera ressentir beaucoup plus que je ne peux en dire.

Worst song ever

Cannelle m'a taggué donc voici ma pire chanson à vie, Blue jeans sur la plage version Paul Sarazin.

Ce gars la n'est tout simplement pas un chanteur né, désolé Paul mais c'était atroce.

Je n'ai malheureusement pu trouver de lien pour cette chanson, ceux qui la connaisse m'en remercieront c'est sur. Si jamais vous réussissez à la trouver bien garder ça pour vous ;) Sur ce je tague Cacawet.

Au plaisir.

lundi 14 septembre 2009

Nuit magique

Dire que ça aurait pu vous arriver, en rentrant du travail hier soir, comme toujours je marche insouciant de ce qui m'entoure. Le coin ou je travaille n'est pas particulièrement réputé pour ses musés et ses œuvres d'art publique.

Donc pas besoin de perdre de temps à tenter d'apercevoir quelque chose qui serait digne que j'y consacre le temps d'un regard. Déambulant de mon plus beau pas, je pris le trottoir d'assaut. La lune qui ne daignait point m'éclairer de sa douce lumière, je dus donc marcher dans le noir le plus total.

Bien à vous de comprendre que sans lumière j'avançais à tâtons dans les ruelles les plus lugubres. Étant brave de nature, je ne m'en inquiétait pas pour autant. Après avoir parcouru ce qui me semblait une distance non négligeable, je du me résoudre à m'avouer perdu.

Je dus alors me contenter de dormir dans cette ruelle sans lumière, avec seulement deux ou trois chats en guise de couverture, les ratons-laveurs n'étant pas très coopératif sur mes demandes d'aide.

Prenant un de mes nouveaux amis en guise d'oreiller, à mon réveil je du bien cracher deux ou trois boules de poil qui s'étaient logés dans ma gorge. N'ayant pu prendre de douche à l'eau chaude je me décide donc à me laver dans la fontaine public. À voir les passants me dévisager sans honte, je compris que plus personnes ne respecte l'intimité d'autrui. Non mais quand même, un peu de pudeur.

Donc de nouveau frais et dispos, je pris le chemin de mon doux logis, sans oublier d'apporter quelques menus souris pour distraire ceux qui m'avaient sauvé la vie la nuit dernière.

Bien oui, cela aurait pu vous arriver à vous aussi.

Distorsion détordue

Comprendre, réaliser certaines choses. Découvrir. De plus en plus je doute de mes croyances. Je remet plusieurs fait que j'avais cru des dogmes de cette vie. Je ne dirais pas que ce en quoi je crois s'effondre mais bien que ma vision change et me mène à redéfinir certains points de vue qui jusqu'ici, me paraissait vrai. Non qu'ils ne le soit plus du tout, mais que certaines données ont changées.

Ce changement allège considérablement mon existence, car je sais que ce que je ressens maintenant changera encore, ne plus avoir peur du changement, ne plus le voir comme l'ennemi qui m'attaque, mais plutôt comme l'ami qui m'aide à entrevoir que tout changement bien gérer peut devenir extrêmement bénéfique si nous lui laissons la chance de bien se développer.

La répression de certains sentiments conduis parfois à une distorsion de la réalité. Il est souvent plus réconfortant de voir ce qui nous plait. Avec le temps, après avoir cru qu'il n'y aurait que des fleurs, ce n'est pas seulement un pot mais bien la serre au complet qui s'effondre sur nous. Nous laissant meurtri de ces morceaux de verres qui nous ont découper jusqu'à l'âme.

Ne reste plus qu'à attendre la cicatrisation complète, et de remettre de l'ordre dans ce jardin qui reste toujours prêt à refleurir de nouveau.

Mais entre les deux extrêmes,se trouve ceux qui ont compris ou qui sont déjà passer par ce même chemin. Même si l'espoir s'amenuise parfois, ne jamais le perdre, lui donner le temps de reprendre confiance en lui, il nous redonnera la notre en nous.

C'est un fragment de ce que je ressens présentement, le doute reste, mais c'est peut-être justement lui qui me sauvera de ne pas encore plonger tête première dans une piscine que j'avais cru pleine.

Demain

Ont ne sais pas quand ça commence et lorsque c'est commencer, nous n'avons aucune idée de quand cela va se terminer. Et même si l'ont croient le tout terminer, ce n'est pas toujours le cas. à force de tenter de se convaincre que c'est fini, les fantômes continue de nous hanter.

Rendu à un certain point, impossible de nier plus longtemps, ne reste plus qu'à couper ce morceau de chair qui encore retiens les restes déjà putréfié d'un morceau mort qui continue à s'accrocher à nous, et qui ne fait que contaminer ce qui reste de sain.

Mais encore il faut assainir ce qui reste de contaminé. Aucun médicament pour cela, seul le temps et la force pourront faire en sorte de chasser définitivement ces parcelles de mémoires qui iront se loger dans le subconscient.

Le temps est relatif, cette phrase prend tout son sens parfois. Mais au moins le temps ne s'arrêtera jamais, donc la certitude que mieux est à venir reste présente et reste une certitude réconfortante.

Décidé que tout sera différent, ne pas faire les mêmes erreurs deux fois, du moins se forcer pour ne pas les répétés, Rester positif, tout change pour le mieux, à nous de choisir, ne reste plus qu'à regarder tout cela continuer, en y mettant du siens pour l'améliorer.

jeudi 10 septembre 2009

Femmes

Tout en me promenant sur cette rue dont je n'avais pas vu le nom, je vu cette femme sans nom.

Avec mon assurance légendaire, je traverse la rue pour m'informer de ce prénom qui me titille la pensée. Affubler de mes plus beaux atours, je l'invitais donc pour une rencontre préliminaire, tout en lui signifiant que rien n'était gagné pour elle.

Me présentant à elle sous mon vrai jour, mais sans tout lui dire pour ne pas la gêner, je lui dit que je suis seulement un simple avocat,rien de plus.

À voir son regard je sentis toute son envie de passer à l'étape suivante. Point presser de venir à ce qui attrait au plaisir de la chambre, je commande une autre bouteille, en lui confirmant que ce ne serait pas pour aujourd'hui qu'elle me retrouverait dans son lit.

Mal lui en prit, elle quittait en vagissant, tel le nouveau née.

Deux de ses amies me prirent à parti pour ce faux mélodrame, mais après quelques secondes tombèrent sous mon charme sans égal.

Je me dit, bon elles sont deux, mais c'est d'habitude pour les chasseresses de chasser à deux. Plus de chance de prendre leur proie. Du à trop de mots à ingérer en même temps, j'abdique donc et leurs promet de les rejoindre à leur chambre pour me dispenser d'une conversation déplaisante.

Le reste se passe de mots, c'est connu, elles ont eues ce qu'elles voulaient sans me donner mon plaisir, mais cela j'y suis habitué.

Ha ces femmes, je les aimes quand mêmes.

mercredi 9 septembre 2009

Rivages avec vue sur mer

Je ne dors toujours pas, donc soyons divertissant, tout en restant courtois et polis, cela va de soi.

Je citerais quelques passages de livres tout au long, à vous de les découvrir.

La Guerre c'est la paix, gouverner pour mieux nous volez. Être de ceux qui encore se cache sous le sceau de l'ignorance pour laisser ces choses se produire. Mais lorsque tout est tranquille, on peut encore se flageoler, d'accord c'est vieux jeux mais c'est mieux que rien.

Ne plus savoir ou se diriger à force de pauvreté, laisser à eux-mêmes, du à leurs conditions, et non les aider en fonctions de cette dernière. Donner à ceux qui ont les moyens de se le payer, mais prendre de ceux qui ne peuvent point donner.

Vision qui nous a tous un jour ou l'autre effrayés, devenir de ceux qui ne doivent point exister, Prier pour continuer à s'en éloigné.

Je fais de même, mais quand même je n'ai point arrêter d'y songer. Pour ceux sur terre qui croient encore que la glace est la grande invention de notre siècle, ces âmes mortes qui continue d'errer dans leurs corps.

Je n'ai point d'autre intention que de me distraire moi-même. Ce qui sort allégera le poids de ces mots sur moi, rien d'autre. Je n'ai pas la conviction de me faire comprendre par personnes, et c'est aussi bien ainsi, je n'ai nulle envie de devoir expliquer ce que je n'ai pas encore moi-même compris.

Mais à force de se souvenir, on fini pas oublier la raison du souvenir lui même, vrai. Tout ce qui reste pour emplir cette urne qui nous sert de cerveau, pourrait sûrement se passer d'au moins la moitié de son contenu, le verre serait toujours à moitié plein, restons positif.

Si le lapin était à l'heure, le miroir ne se serait peut-être pas brisé, qui sais. Si j'avais été ailleurs au lieu d'ici, je serais, qui sais, jamais je ne le saurai, trop de si et de avoir su nous hantent sans cessent, le désir d'avoir eu une incidence sur un événement x dans notre vie et de sentir, que nous l'avons changé pour mieux que si notre existence n'était point sorti de l'oeuf.

Nous en avons tous de ces moments, le contraire est aussi vrai, j'entends déjà plusieurs qui grommelle tel gollum en espérant le retour de son précieux. La vie a déjà été assez découper en partie par les scientifiques et les philosophes et ainsi de suite, prenez la votre est soyez conscient en chaque inspiration que vous êtes unique, et que quelque part, je ne sais ou, j'ai perdu ma boule de cristal. Quelqu'un apprécie votre présence ici. En retour apprécier celle d'au moins une personne, en secret si bien vous en fait.

Ne croyez pas tout non plus, soyez le juge de votre vie et non de celle des autres. vos yeux ne sont pas infaillibles, une mer s'y cache derrière, tout comme pour l'autre en face de vous, ne vous arrêtez pas au rivage. L'étendu est infini, tout comme l'esprit.

Distraction sainte

Envie de me distraire un peu. 3...2...1...go (Yeux chastes, le carré rouge à droite c'est pour vous)

Pensant ne pas pouvoir réalisé le travail qui m'a été octroyé, et ce par l'archevêché lui même. N'étant que diacre de mon rang, je voulus dans la mesure du possible le satisfaire malgré mon âge avancé. Non qu'il me démontrait quelques réticences que ce fut, de voir un homme de 19 ans à son chevet. Du moins je savais tenir ma langue lorsqu'il le fallait. Non que je ne savais m'en servir.

Seulement que j'avais la mauvais manie de lécher la colle des timbres pour me distraire. De par sa sagesse incroyable, tenant toujours des propos éclairé sur ses endroits les plus sombres. Parfois, des endroits que je n'avais moi-même pas encore explorés. Rome, la France et une bonne partie de l'Europe.

Ces façons de procédé relevait parfois d'une vision futuriste, le saint toucher par exemple, sentir dieux poser sur moi son doigt bienveillant, tout en gardant les yeux fermés. Sans avoir besoin de le voir pour quand même à plusieurs point de vue le sentir.

Cet homme animé d'une sagesse presque infinie, nous démontrer que la parole est d'argent et le silence d'or, mais que le contraire peut être vrai quand il souhaitait nous entendre dire oui. Oui à la foi sans limite, ont s'entend. Cet homme de foi, nous inculquer (oui je crois que c'est bien ce mot), un amour aveugle en lui. Car croire est le début de la rédemption pour les péchés qu'il nous arrivait de commettre, nous avoir fait sentir que dieux nous pardonnerait tout, oui, nous le faire sentir avec conviction.

Un jour il trépassera, ce jour sera marqué d'une croix noir pour nous tous qui avons appris sous lui, à être obéissant envers l'église.

Depuis j'ai appris que le bien et le mal sont deux théories qui peuvent se chevaucher, et même se fondre en une seule et unique réponse, pourquoi?

En attendant

Surtout sur rien, fin de semaine en relâche de mes fonctions cervicales. Flop monumental, ou bien grande réussite ? Je verrais bien plus tard, le résultat n'est jamais instantané. La vie n'est pas un gratteux du dépanneur.

Je dois donc me contenter de me concentrer sur ce qui va arriver avec tous ces démêlés, qui tente de me briser.

Mais aucune chance de les laissez y arriver. Aussi sur que je suis présentement entrain d'écrire ce qui je crois pourra m'aider à me souvenir, que je suis déjà passé par pire sans avoir la force de le dire.

J'écris pour me remémorer un passé que je tente d'oublier. Pour toujours mon esprit réussira à amortir cette chute que jamais je n'aurai cru voir se réaliser.

Comme toujours j'en ressortirais en version amélioré, comme un produit de consommation renouvelé, avant de passer à celui qui un jour sera périmé.

En attendant d'être consommé dans un bar prés de chez vous, Je me parerais de mes plus beaux atouts, pour éveiller ces désirs les plus fou.

Au plaisir.

vendredi 4 septembre 2009

Certitudes

Mouvoir mes doigts pour raconter ce qui se vie en moi. Parcourir les mots que je connais pour les mettre sur votre écran. Sentir ce que je ressens pour en faire part à ceux qui viennent ici, me faire part d'un peu de leurs temps.

Prendre un peu de ces moments, pour comprendre ce qui me fais ressentir le moment présent.

Ici et maintenant, écrire ce que je voudrais pouvoir décrire avec exactitude, écrire une certitude qui n'est qu'un prélude à ce qui sera encore une solitude.

Ne jamais regretter ce qui déjà est un passé.

Voir plus loin, que ce que mes yeux ne voient point.

Prendre une part de ce ciel, ne pas attendre mon réveil, pour vivre des moments sans pareils.

Croire que tout est possible, un seul instant de tangible, pour mon cœur qui vacille.

Vous écrire encore, que même si jamais je ne dors, même éveillé je réussis à rêver.

Ne jamais retourner, ni me retourner, regarder devant, profiter de tout ces instants.

Respirer, et l apprécier.

Condamnée

Se servant de son corps pour vendre son âme, elle en ressortais brisé à chaque fois.

Ne pas décider de celui qui pourrait la posséder, contre quelques deniers. Sentir cette honte bien incrustée en elle, mourir petit à petit, subir sa propre vie.

Encore le souffle court, de ne pas le faire par amour. Sans désir aucun se donner pour ne pas mourir de faim. Ce vide que laisse ces passages ne seras jamais rempli que de vide.

Perdu dans l'éther de ces relations, sans solutions pour se sortir de ce gouffre sans fond.

Tomber a l'infini vers ce feu qui déjà la brûle sans pour autant la tuer.

Se sentir insensible à sa propre existence. Devenir esclave de ceux qu'elle déteste, sans jamais pouvoir briser ces liens qui l'entrave de vivre .

Se brimer soi-même de ressentir, pour ne plus comprendre que ce mal ne la quittera jamais.

Continuer à rester sur place pour ne pas revenir en arrière, s'engouffrer dans ses chimères pour ne plus penser que encore demain elle devra se battre pour ne pas aller rejoindre ces ancêtres.

Elle devait être marqué par la vie pour que jamais elle ne puisse en profiter, Cette vie, cette salope qui jamais ne lui pardonnera de ne pas avoir été apprécier par elle.

Aujourd'hui la salope se venge, elle lui en fait baver comme jamais. Mais encore demain elle devra la supporter en se disant que peut-être cette bouffée d'air qu'elle viens de prendre est peut-être sa dernière, elle le souhaite, mais n'y crois plus depuis longtemps.

Continuer de se savoir condamnée a perpétuité, condamnée à rester, sans rien y changer.

mercredi 2 septembre 2009

Domaine public

J'ai besoin de me changer les idées, c'est pourquoi je vais arrêter de parler de moi pour quelques temps, laissons aller l'imagination, soyons burlesque un peu.

De retour de la buanderie, je fis la rencontre d'un vieil ami. Il ne me reconnu pas et moi non plus je ne le reconnu pas, nous continuâmes donc notre chemin. Mais voyant que cette journée était magnifique, je du courir pour me protéger de cette pluie qui tombait sans relâche. Non qu'il plut vraiment, mais je ne voulais prendre aucune chance, il vaut mieux prévenir que guérir, non?

Encore à regarder la course entre mes bas bruns et les noirs qui se disputes le premier rang dans cette sécheuse, pour savoir lesquels seront premier a sortir de cette chaleur qui ma foi, doit être bien accablante pour eux, j'en conviens.

Je découvris que l'ajout de détergent a ma lessive pourrait aider à faire partir ces tâches que j'avais cru éternels. Bien je reposerais moins niais ce soir, couché sur ce banc de parc qui me fait office de domicile fixe, le banc ne bouge pas, donc je le considère comme fixe, pas fou le gars.

Mais le repos est encore loin, tant de chose à faire, je dois aller me magasiner un nouveau complet pour une entrevue dans un prestigieux cabinet d'avocats. Les études que je n'ai pas faites finiront bien par me servir un jour. Mais quand même je me contenterais sûrement de vendre de cette délicieuse crème glacée, dans ce rutilant véhicule à trois roues. Ne pas viser trop haut, c'est la clé du succès.

En parlant de clé, vous n'auriez pas trouver les miennes. Je me suis embarré dehors, et mon chat reste sans nourriture depuis mon départ. Bon, je m'écarte un peu de mon sujet, désolé pour cette digression involontaire. Revenons à nos oiseaux. Celui de votre choix sera le mien, si je l'approuve bien entendu.

Et puis quoi ajouter de neuf, peut-être un nouveau cadre, ou une fleur, je déciderai quand je reviendrai d'où je ne suis jamais allé. Sinon tout va bien, je vous en souhaite autant, mais pas plus.

Je retourne voir ce qui se passe en haut et je reviendrais sur hier, demain.

mardi 1 septembre 2009

De tout

Revenant de nulle part, me dirigeant vers une destination inconnue. Marchant d'un pas joyeux, je ne pu que me demander pourquoi je ne m'arrêterais pas deux minutes au parc pour jouer de la clarinette un peu.

Voyant un banc qui n'étais pas encore rempli de guano, je m'y assis un brin. Commençant à jouer sur mon clavecin préféré. Les nuages défilait comme les notes sur mon banjo favoris. De bonne humeur je me suis mis à chanter une chanson sans mots qui commençait par un si mineur.

Ayant oublié les paroles je du improvisé, rien de spectaculaire, mais quand même, la foule qui s'était massé devant moi a quand même apprécié ce concert gratuit. Il faut dire que ma guimbarde se faisait aller allègrement.

Je reçus plusieurs dons, insultes gratuites et coups de pieds bien mérités. La gloire à ses mauvais côtés aussi, plusieurs jaloux d'après moi.

Mais quand même, la vie d'artiste n'est pas toujours rose. Il m'a fallut plusieurs années pour apprendre à jouer de ces maracas.

Décidant d'écourter ma prestation, du à cette foule hostile, je pris mon harmonica et je partis sans demander mon du. Marchant avec un écureuil borgne, je discutais de tout et de rien avec lui.

Ma journée a été un franc succès sur tout les points, mon nouvel ami et moi dormiront sans regret aucun cette nuit.

Demain je retourne a mon premier amour, le mime en noir et blanc, oh que j'ai hâte.

lundi 31 août 2009

Folie

Sortis de nulle part, il me fit la plus mauvaise impression possible. Un nez gros comme une patate, les cheveux gras comme une frite bien cuite.

Son regard de chien bâtard, la lumière n'était pas au rendez-vous lors de sa naissance c'est sur. Impossible de lui en vouloir pour ce dont il n'est pas responsable.

Mais quand même, impossible de vouloir socialiser avec quelqu'un comme lui.

Mais diantre, c'est le miroir que je regarde, Je ne pensais pas, à vrai dire je ne cogite que rarement sur ma vie, ce qui m'entoure ne m'en laisse guère le temps. Pourquoi prendre de ce temps qui n'est déjà plus pour le perdre sur moi même?

Le vide est bien plus attrayant que ce qui est déjà rempli de tout ce que nous y auront mis.

L'antre de la folie me reçois à bras ouvert. Cette douce étreinte qui me caresse tel une femme pour me garder en elle.

Aucun dernier mots pour dire que jamais elle ne me laissera partir. Son étreinte si douce me confine à demeurer fou de sa caresse, qui reste la seule que je ressens.

Élucubrations impotente de ce que jamais je n'avais vue. Pris au piège, je resterai son amant pour quelque temps, le temps de me retrouver enfin.

Plein de sens

De retour, quoi de neuf, rien. Bien quoi, je pourrai m'arracher les ongles un par un, question de pouvoir écrire du neuf, non ?

Mais l'idée n'est pas trop plaisante a mon goût. Je préfère encore me casser le gros orteil à coup de porte, quoi, c'est mieux que rien.

Dire que ce mal que je m'inflige physiquement, n'a rien, mais rien à voir avec celui que je ressens mentalement.

Ressentez ce dégoût du conformisme, cette odeur putride de continuité. La boucle a été bouclé plus qu'à son tour. Le circuit est brûler de continuité, de recommencement éternel, de retour et de vas-et-viens.

Ne tenter pas de comprendre ces maigres lignes qui surgissent de mon esprit sans fond, prenez plutôt de votre temps pour faire quelque chose de constructif, allez au toilette, brosser vous les cheveux, lacer vos souliers, soyez constructif, vivez.

Prenant tout mon temps, emprunter à un mort qui n'étais pas du. Je le perd à faire peur aux oiseaux, quoi, réconforte ton prochain, pas les moineaux, non?

Tirer un lapin de mon chapeau avant qu'il me défèque dessus, la prochaine fois je choisirais un autre métier, magicien est une pure perte de temps, selon moi, bien à vous d'exercer ce faux métier s'y bon vous semble.

Mais quand même à force de ramer je pourrais dire que je suis un excellent kayakiste, même s'y je ne rame que de l'air pour tenter d'y voir clair. Quoi, mes temps libre sont parsemé de ces petites joies.

Ne juger pas ce que vous n'avez pas encore entrevue. Le rêve éveillé reste de loin celui le plus réaliste, non?

Soyons somnambule pour ne pas passer notre vie couché en attente de nous réveillez. cela est plein de sens, non?

Arrêtez de vous morfondre sur tout et sur rien, si le nez vous coule, bien mouchez vous, c'est tout.

Bon, fin de ces divagations nocturnes qui commence à vous rendre perplexes sur mes intentions, bien que je n'en ai aucunes.

Suivez le courant, il se réchauffera si vous uriner en lui, point.

To be continued one day ...

dimanche 30 août 2009

Sens unique

À force de vouloir, je me suis engouffré dans l'assommoir, pour dire que jamais je ne pourrais le dire.

Ces contradictions qui m'ont réduit à l'état de soumission, de voir la vie sans en prendre partie.
Vos écrits qui m'ont donné vie.

Mes lectures qui ligne après ligne, me font sentir indigne de faire parti de cette ligue , qui de cette caste me rende chaste, me retiré de ces verbiages qui jamais ne font que me rendre en ma cage.

Pouvoir me libérer de ce que je tente d'éloigner.

Vous dire que j'en ai besoin pour vivre. Écrire que je ressens, ce qui coule en mon sang.

Remercier ceux qui lisent, ce que je réalise. Ma vie en mots pour engloutir mes maux.

Tous vous êtes maintenant important, sans vous connaître, je vous fais part de mon être.

Je continuerais, sans perdre de vue votre vécu.

Je continuerais à vous voir,
de l'autre côté du miroir.

samedi 29 août 2009

Retour

Je sens que depuis peu je n'écris plus, je m'écris. Je reviens à mes sources. Ce pourquoi je suis ici parmi vous.

J'écris pour ne pas crier, ces mots qui sans âme ne sont que des lettres. Je reviens à ce que je ressens, point de vue de mon intérieur, ma bulle que j'essaie de ne pas crever pour ne pas atterrir sur le bitume, ma vie qui aujourd'hui n'est plus en mode de survie.

Je reviens, non, je continue sur ce qui jamais je n'aurais du perdre de vue. Tous ceux qui me lisent et commentes m'ont fait bifurquer de ma voie. J'ai tenter de plaire plutôt que de me défaire de ce qui m'emprisonne dans mon être.

J'apprécie votre présence, mais je suis ici pour me défaire de mes démons. Écrire pour vivre, écrire pour me souvenir.

Deux plus deux ne font pas toujours quatre.

Sentiment de me sentir tel une mer sans eau, avoir été asséché par mon manque de conscience, envers ce qui me donne un sens, ressentir mes os, comprendre ma vie, voir ce qui fait que jamais je ne suis vraiment parti.

Avoir fait le tour du monde, sans être suivi par mon ombre. M'être éloigné de moi-même, pour exulter ma peine.

De retour en pleine conscience, faire face à cette évidence, que tout change, me sortir de la fange.

Le faire pour moi, sans foi ni loi, cette force qui reviens, me démontre que point de fin, tout va continuer, pour un jour quand tout sera achever, pouvoir mourir en paix, de savoir que tout a été fait.

Continuer à vous dire, que encore je vais rire, apporter à cette vie, une parcelle de ce que j'y ai écris.

Me disant que chaque instant, feront que je comprends, que si vous ne voyez pas mes larmes, c'est qu'elle coule en mon âme.

Un jour je m'ouvrirais devant vous, pour vous faire comprendre que nous sommes un seul et unique nous.

Pour l'instant j'écris, pour supporter la vie.

vendredi 28 août 2009

Le pauvre homme

De nouveau sur la route à chercher sa pitance, il fouille les recoins oublié de cette ville à la recherche de ce qui pourrait le sustenter. N'ayant plus que la peau sur les os, jamais il ne perd espoir de voir un meilleur demain.

Jamais il ne broie du noir, pour lui le soleil brille toujours, beau temps mauvais temps. La vie est belle même si son corps fatigué lui fait vivre des moments difficiles, encore il continu sans relâche aucune. Son cœur toujours fort de son amour de la vie lui donne cette énergie qui manque à ceux qui pourtant bien nantis, vocifère contre tout et rien, ceux la même qui mange à s'en faire exploser la panse.

Pour lui, nulle besoin de se goinfrer à en exploser, le creux de ses mains remplis de nourriture lui suffit par journée de bonheur.

Continuant sa recherche d'un meilleur demain, il se repose ou bon lui semble, dormant du sommeil du juste. N'ayant crainte de se faire dépouiller de son bien, ce qui pour plusieurs, leurs donnerait des cauchemars à n'en plus finir, de peur de voir leur richesse s'envoler aux mains d'un autre.

Sa richesse est inépuisable, elle réside en son for intérieur et il la partage avec quiconque en fait sentir le besoin, car il à compris que jamais elle ne s'épuisera, même si il devait la partager avec le monde entier.

Immatériel, elle ne vaux rien à la bourse ni pour le prêteur sur gage. Peut-être est-ce la raison pourquoi si peu tente de la trouver.

Un jour il passera l'arme à gauche, sans avoir eu la chance de léguer ce savoir à d'autre, car seul et sans amis, il aurait bien voulu partager ce bien qui le submerge. Mais tous ou presque ne vois point cette richesse comme un avoir qui en vaut l'effort.

Pour eux ce qui n'est point tangible pour l'oeil ne vaut rien, pur perte de temps disent ils.

Allez savoir qui aura vécu sa vie entre lui et eux, chacun en tirera sa propre conclusion.

Trop plein

Prendre place sur les plus hauts sommets avec toi, j'en ai rêver depuis longtemps. Voir dans ces yeux le reflet des miens, tel deux miroirs face-à-face, nous perdre dans cette immensité sans fond de ces perles tachetées de bleu et de brun.

Ton souffle chaud qui me caresse la peau et fait frémir mon âme lors de nos ébats, ce même souffle que je ressens lorsque l'été, une brise d'air chaud donne vie a ce moment qui jamais ne quittera ma peau, qui encore frémit lorsque j'y pense.

Ces cheveux noir qui pourtant regorge de lumière pour moi, ce noir si fort qui m'enveloppe dans sa douceur tel que je voudrais dormir en eux. Cette odeur qui en sort pour m'envoûter de son parfum qui restera toujours gravé en moi comme celui de l'amour.

Tu es celle qui de sa voix me charme à m'en faire oublier d'expirer, sans avoir aucune peur de succomber à la mort si j'y succombe à force de te respirer.

Encore perdu dans ces mots que je te disais sans savoir si tu les entendais, car peut-être aurais-je du les dire à voix haute plutôt que de les garder a virevolter dans mes limbes.

Tu n'est jamais vraiment passer dans ma vie, mais je saurai déjà quoi te dire pour t'y donner envie de ne jamais plus en partir.

Mots que je connais par cœur, mots qui encore reste en moi de peur de les perdre. Toute cette vie continueras avec ce désir d'un jour te trouver.

Le chemin n'est ni long ni court, il sera seulement plus beau avec toi.

Je continuerais a t'écrire sans savoir vraiment à qui ces bonheurs seront dédiés.

Je continuerais à l'espérer. Contre vents et marées.

jeudi 27 août 2009

Paisible

Rien d'excitant, rien non plus de décevant. Juste cette continuité tranquille qui continue. L'empressement à laisser place a une tranquillité paisible, la force est devenu plus passive, toujours présente, mais sans ce sentiment de devoir à tout prix me presser d'arriver ou je désire aller.

Lâcher la pédale me fait du bien, prendre mon temps, ne plus me stresser avec ces buts que je tentes de rencontrer depuis, depuis elle.

Bien seul, trop bien peut-être. Ça passera sûrement un jour. Mais ce sentiment de vouloir a laisser place a celui d'appréciation de mon statut actuel.

Dur à expliquer, le temps passe, c'est tout. Mais merde, depuis longtemps je ne m'étais sentis aussi bien seul avec moi-même. Peut-être l'absence d'alcool de ces dernier jours y est elle pour quelque chose, sûrement. Je vais donc continuer comme ça un bout, on verra bien.

Je suis bien en ce moment, c'est tout.

mercredi 26 août 2009

Présent

Juste envie de savoir, plein de choses qui se passe présentement, j'écris et ça m'aide parfois.

De me relire, oui, je fais ça, souvent. Me fait voir quelle émotion était celle qui régissait mes humeurs et après je m'analyse un peu. Vois que j'ai eu tort de penser tel ou tel chose, vois ce qui a changé depuis que j'écris certains billets plus personnel.

Faire sortir, digérer certaines choses que je n'aurais peut être pas du ingérer. Certaines paroles ou mots qui sont sorti de moi et qui aurait du y rester. Je déteste avoir des remords sur mes gestes ou paroles. C'est rare, mais quand même.

On dit, dans le doute abstient toi, je suis un peu fatigué de suivre cette maxime qui est celle des pleutres, pas que je la suive rigoureusement, mais trop. Je ne risque pas dans certains domaines de ma vie, du moins pas assez.

Tout serait plus facile si l'ont pouvaient savoir, quoi ? Ce qui vous plaira.

Dans mon cas ce n'est pas sur le travail, ou l'argent que je me questionne, ni sur le futur de ce que sera ma vie, C'est sur le présent. Quand dans le moment présent je ressens des choses que je ne peut dire ou faire. Du à mon seul refus de les faire.

C'est plus facile d'aider les gens qui m'entoure en leurs prodiguant moult conseils qui se voient comme la solution. Peut-être est-ce plus facile du au fait que les répercussions seront moins grandes que si ces décisions devait directement m'affecter, voir chez l'autre son potentiel pour un travail, une relation amoureuse, mais en douter pour soi.

J'ai vu ce phénomène chez plusieurs, dire a son meilleur ami que oui tu as toute tes chances pour ceci et cela, mais pour eux douter de leurs potentiels.

Ayez confiance en vous, autant sinon plus que vous faites confiance à votre meilleur ami, vos parents, ou celui ou celle de votre choix. Croyez en vous, c'est le début du présent.