mercredi 30 septembre 2009

Générations de y à z, après ce sera quoi?

Sujet peut-être désuet pour plusieurs, mais qui aujourd'hui pour moi du à un événement fortuit me mène à en débattre.

La joie de vivre qui autrefois habitait nos grands-parents surtout, cette époque ou ils travaillaient dix fois plus fort que nous avec cent fois moins de ressources et cinq fois plus de bouche à nourrir.

D'accord ils se peut impossible pour les plus jeunes de se remémorer ces temps morts depuis pas si longtemps. J'ai 31 ans presque 32 (en février), j'ai eu la chance de voir mes grands-parents me parler avec ferveur de ces temps ou la misère était omniprésente, mais aucun ressentiment dans leur voix quand ils me parlaient de ces heures interminables ou l'homme devait subvenir au besoin de sa famille et ou la femme donnait carrément sa vie pour faire de sa progéniture des gens biens, (car l'homme du passé travaillait à un tel point, qu'au même titre que sa femme servait de machine à enfanter, servait de machine à pourvoir à sa famille) laissons l'église de côté, elle le faisait par amour pour eux, point. Même si cette dernière les y a un peu (beaucoup) forcée.

Je ne dénigre pas l'implication de la femme d'aujourd'hui, qui elle aussi se valorise et quand elle en sent le besoin s'émancipe de cet ère rétrograde qui voulait la garder pour machine à reproduire.

Mais dans un autre ordre d'idée, ne méprisons pas celles qui ont donné leurs vies, pour éduquer ces jeunes qui à mon humble avis, respectais et ce de loin leurs ainé(e)s, comparer à ces enfants roi qui éduquer à coups de matériel pour taire leurs pleurs incessants qui demande à se divertir avec ce que la société leurs offrent, fautes de pouvoir avoir à leurs cotés un grand-père qui leur conte de multiple histoires, vrai ou fausse mais toujours divertissante, vrai? du fait que leurs grands-parents sont surement déjà soit morts ou placés, par faute de temps ou de moyen de pouvoir s'en occuper.

Laisser moi pleurer, faute de moyen, oui la valeur du dollar a changé, mais ce n'est point le responsable a priori, dites bonjour à la surconsommation, c'est beaucoup moins drôle vue de cet angle, donc disons faute de temps, c'est mieux pour nous sinon les antidépresseur seront de mises, pour sur. Avons nous jamais vu un animal s'apitoyer sur son sort, seul l'humain se sens le besoin de faire cela pour se disculper de ses torts, acceptons nos erreurs et au lieu d'en accuser le monde, tentons d'y remédier.



Ceux de ma génération auront vu l'entre deux, ou encore nos parents nous éduquaient, nous restreignaient à avoir un savoir vivre et un respect de cet autorité parentale, et de voir que tout ne nous étaient point du au fait de notre simple naissance. Devoir acquérir le respect, le droit de devenir des hommes et des femmes par nos efforts pour prouver que nous méritions ce du auquel aujourd'hui les plus jeunes ne ressente aucun besoin de prouver leurs valeurs pour acquérir le titre de personne émancipée de joug parental.

Je sais s'éternise sur un passé déjà dépassé mes réflexions de vieux jeu qui revoit en son crâne des temps morts et enterrés.

Mais le point central de mes régurgitations cognitives, c'est de tenter de comprendre comment avec toute ces ressources et ces "biens" matériels qui nous commandes bien plus que nous ne les contrôlons, ou avons nous perdu la joie de vivre et de transmettre cette joie à ces générations futur qui dès demain régiront notre monde.

Je n'ai aucunement perdu espoir que si j'ai une famille un jour je prendrai de mon temps pour communiquer à mes enfants, et ce dès leurs jeune âge, la joie et le bonheur de vivre ici, et de leurs confirmer à quel point ils doivent voir que la vie passe avant tout par l'essentiel, qui pour moi est de sourire et de transmettre ce sourire qui reflète la joie de vivre qui est un lègue bien plus important que ce que je pourrais leurs laisser en billets verts après mon départ.

Un jour, je pourrais je l'espère,tenir en mes bras un parcelle de notre futur à tous, alors ma vie n'aura pas été vaine.

Bien à vous, ceci dit sans dénigrer ceux qui n'ont point connu ce dont j'ai fait mention ci-haut. Mais bien dans le but de vous dire qu'avant vous ont existé des gens sans pareil ou presque de nos jours, souriez, c'est gratuit et tellement réconfortant pour tous.

Au plaisir.

Un homme qui crois en vous.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

excellent texte!!!je t offre mon sourire .....

laccroc a dit…

Merci, as-tu un blogue, un nom ? si oui j'aimerai bien le savoir.

Au plaisir.