jeudi 10 septembre 2009

Femmes

Tout en me promenant sur cette rue dont je n'avais pas vu le nom, je vu cette femme sans nom.

Avec mon assurance légendaire, je traverse la rue pour m'informer de ce prénom qui me titille la pensée. Affubler de mes plus beaux atours, je l'invitais donc pour une rencontre préliminaire, tout en lui signifiant que rien n'était gagné pour elle.

Me présentant à elle sous mon vrai jour, mais sans tout lui dire pour ne pas la gêner, je lui dit que je suis seulement un simple avocat,rien de plus.

À voir son regard je sentis toute son envie de passer à l'étape suivante. Point presser de venir à ce qui attrait au plaisir de la chambre, je commande une autre bouteille, en lui confirmant que ce ne serait pas pour aujourd'hui qu'elle me retrouverait dans son lit.

Mal lui en prit, elle quittait en vagissant, tel le nouveau née.

Deux de ses amies me prirent à parti pour ce faux mélodrame, mais après quelques secondes tombèrent sous mon charme sans égal.

Je me dit, bon elles sont deux, mais c'est d'habitude pour les chasseresses de chasser à deux. Plus de chance de prendre leur proie. Du à trop de mots à ingérer en même temps, j'abdique donc et leurs promet de les rejoindre à leur chambre pour me dispenser d'une conversation déplaisante.

Le reste se passe de mots, c'est connu, elles ont eues ce qu'elles voulaient sans me donner mon plaisir, mais cela j'y suis habitué.

Ha ces femmes, je les aimes quand mêmes.

2 commentaires:

Elle a dit…

Moi je pense que c'était des clones, des vraies femmes t'aurais satisfait. ;)

Elle a dit…

auraient...