lundi 31 août 2009

Folie

Sortis de nulle part, il me fit la plus mauvaise impression possible. Un nez gros comme une patate, les cheveux gras comme une frite bien cuite.

Son regard de chien bâtard, la lumière n'était pas au rendez-vous lors de sa naissance c'est sur. Impossible de lui en vouloir pour ce dont il n'est pas responsable.

Mais quand même, impossible de vouloir socialiser avec quelqu'un comme lui.

Mais diantre, c'est le miroir que je regarde, Je ne pensais pas, à vrai dire je ne cogite que rarement sur ma vie, ce qui m'entoure ne m'en laisse guère le temps. Pourquoi prendre de ce temps qui n'est déjà plus pour le perdre sur moi même?

Le vide est bien plus attrayant que ce qui est déjà rempli de tout ce que nous y auront mis.

L'antre de la folie me reçois à bras ouvert. Cette douce étreinte qui me caresse tel une femme pour me garder en elle.

Aucun dernier mots pour dire que jamais elle ne me laissera partir. Son étreinte si douce me confine à demeurer fou de sa caresse, qui reste la seule que je ressens.

Élucubrations impotente de ce que jamais je n'avais vue. Pris au piège, je resterai son amant pour quelque temps, le temps de me retrouver enfin.

Plein de sens

De retour, quoi de neuf, rien. Bien quoi, je pourrai m'arracher les ongles un par un, question de pouvoir écrire du neuf, non ?

Mais l'idée n'est pas trop plaisante a mon goût. Je préfère encore me casser le gros orteil à coup de porte, quoi, c'est mieux que rien.

Dire que ce mal que je m'inflige physiquement, n'a rien, mais rien à voir avec celui que je ressens mentalement.

Ressentez ce dégoût du conformisme, cette odeur putride de continuité. La boucle a été bouclé plus qu'à son tour. Le circuit est brûler de continuité, de recommencement éternel, de retour et de vas-et-viens.

Ne tenter pas de comprendre ces maigres lignes qui surgissent de mon esprit sans fond, prenez plutôt de votre temps pour faire quelque chose de constructif, allez au toilette, brosser vous les cheveux, lacer vos souliers, soyez constructif, vivez.

Prenant tout mon temps, emprunter à un mort qui n'étais pas du. Je le perd à faire peur aux oiseaux, quoi, réconforte ton prochain, pas les moineaux, non?

Tirer un lapin de mon chapeau avant qu'il me défèque dessus, la prochaine fois je choisirais un autre métier, magicien est une pure perte de temps, selon moi, bien à vous d'exercer ce faux métier s'y bon vous semble.

Mais quand même à force de ramer je pourrais dire que je suis un excellent kayakiste, même s'y je ne rame que de l'air pour tenter d'y voir clair. Quoi, mes temps libre sont parsemé de ces petites joies.

Ne juger pas ce que vous n'avez pas encore entrevue. Le rêve éveillé reste de loin celui le plus réaliste, non?

Soyons somnambule pour ne pas passer notre vie couché en attente de nous réveillez. cela est plein de sens, non?

Arrêtez de vous morfondre sur tout et sur rien, si le nez vous coule, bien mouchez vous, c'est tout.

Bon, fin de ces divagations nocturnes qui commence à vous rendre perplexes sur mes intentions, bien que je n'en ai aucunes.

Suivez le courant, il se réchauffera si vous uriner en lui, point.

To be continued one day ...

dimanche 30 août 2009

Sens unique

À force de vouloir, je me suis engouffré dans l'assommoir, pour dire que jamais je ne pourrais le dire.

Ces contradictions qui m'ont réduit à l'état de soumission, de voir la vie sans en prendre partie.
Vos écrits qui m'ont donné vie.

Mes lectures qui ligne après ligne, me font sentir indigne de faire parti de cette ligue , qui de cette caste me rende chaste, me retiré de ces verbiages qui jamais ne font que me rendre en ma cage.

Pouvoir me libérer de ce que je tente d'éloigner.

Vous dire que j'en ai besoin pour vivre. Écrire que je ressens, ce qui coule en mon sang.

Remercier ceux qui lisent, ce que je réalise. Ma vie en mots pour engloutir mes maux.

Tous vous êtes maintenant important, sans vous connaître, je vous fais part de mon être.

Je continuerais, sans perdre de vue votre vécu.

Je continuerais à vous voir,
de l'autre côté du miroir.

samedi 29 août 2009

Retour

Je sens que depuis peu je n'écris plus, je m'écris. Je reviens à mes sources. Ce pourquoi je suis ici parmi vous.

J'écris pour ne pas crier, ces mots qui sans âme ne sont que des lettres. Je reviens à ce que je ressens, point de vue de mon intérieur, ma bulle que j'essaie de ne pas crever pour ne pas atterrir sur le bitume, ma vie qui aujourd'hui n'est plus en mode de survie.

Je reviens, non, je continue sur ce qui jamais je n'aurais du perdre de vue. Tous ceux qui me lisent et commentes m'ont fait bifurquer de ma voie. J'ai tenter de plaire plutôt que de me défaire de ce qui m'emprisonne dans mon être.

J'apprécie votre présence, mais je suis ici pour me défaire de mes démons. Écrire pour vivre, écrire pour me souvenir.

Deux plus deux ne font pas toujours quatre.

Sentiment de me sentir tel une mer sans eau, avoir été asséché par mon manque de conscience, envers ce qui me donne un sens, ressentir mes os, comprendre ma vie, voir ce qui fait que jamais je ne suis vraiment parti.

Avoir fait le tour du monde, sans être suivi par mon ombre. M'être éloigné de moi-même, pour exulter ma peine.

De retour en pleine conscience, faire face à cette évidence, que tout change, me sortir de la fange.

Le faire pour moi, sans foi ni loi, cette force qui reviens, me démontre que point de fin, tout va continuer, pour un jour quand tout sera achever, pouvoir mourir en paix, de savoir que tout a été fait.

Continuer à vous dire, que encore je vais rire, apporter à cette vie, une parcelle de ce que j'y ai écris.

Me disant que chaque instant, feront que je comprends, que si vous ne voyez pas mes larmes, c'est qu'elle coule en mon âme.

Un jour je m'ouvrirais devant vous, pour vous faire comprendre que nous sommes un seul et unique nous.

Pour l'instant j'écris, pour supporter la vie.

vendredi 28 août 2009

Le pauvre homme

De nouveau sur la route à chercher sa pitance, il fouille les recoins oublié de cette ville à la recherche de ce qui pourrait le sustenter. N'ayant plus que la peau sur les os, jamais il ne perd espoir de voir un meilleur demain.

Jamais il ne broie du noir, pour lui le soleil brille toujours, beau temps mauvais temps. La vie est belle même si son corps fatigué lui fait vivre des moments difficiles, encore il continu sans relâche aucune. Son cœur toujours fort de son amour de la vie lui donne cette énergie qui manque à ceux qui pourtant bien nantis, vocifère contre tout et rien, ceux la même qui mange à s'en faire exploser la panse.

Pour lui, nulle besoin de se goinfrer à en exploser, le creux de ses mains remplis de nourriture lui suffit par journée de bonheur.

Continuant sa recherche d'un meilleur demain, il se repose ou bon lui semble, dormant du sommeil du juste. N'ayant crainte de se faire dépouiller de son bien, ce qui pour plusieurs, leurs donnerait des cauchemars à n'en plus finir, de peur de voir leur richesse s'envoler aux mains d'un autre.

Sa richesse est inépuisable, elle réside en son for intérieur et il la partage avec quiconque en fait sentir le besoin, car il à compris que jamais elle ne s'épuisera, même si il devait la partager avec le monde entier.

Immatériel, elle ne vaux rien à la bourse ni pour le prêteur sur gage. Peut-être est-ce la raison pourquoi si peu tente de la trouver.

Un jour il passera l'arme à gauche, sans avoir eu la chance de léguer ce savoir à d'autre, car seul et sans amis, il aurait bien voulu partager ce bien qui le submerge. Mais tous ou presque ne vois point cette richesse comme un avoir qui en vaut l'effort.

Pour eux ce qui n'est point tangible pour l'oeil ne vaut rien, pur perte de temps disent ils.

Allez savoir qui aura vécu sa vie entre lui et eux, chacun en tirera sa propre conclusion.

Trop plein

Prendre place sur les plus hauts sommets avec toi, j'en ai rêver depuis longtemps. Voir dans ces yeux le reflet des miens, tel deux miroirs face-à-face, nous perdre dans cette immensité sans fond de ces perles tachetées de bleu et de brun.

Ton souffle chaud qui me caresse la peau et fait frémir mon âme lors de nos ébats, ce même souffle que je ressens lorsque l'été, une brise d'air chaud donne vie a ce moment qui jamais ne quittera ma peau, qui encore frémit lorsque j'y pense.

Ces cheveux noir qui pourtant regorge de lumière pour moi, ce noir si fort qui m'enveloppe dans sa douceur tel que je voudrais dormir en eux. Cette odeur qui en sort pour m'envoûter de son parfum qui restera toujours gravé en moi comme celui de l'amour.

Tu es celle qui de sa voix me charme à m'en faire oublier d'expirer, sans avoir aucune peur de succomber à la mort si j'y succombe à force de te respirer.

Encore perdu dans ces mots que je te disais sans savoir si tu les entendais, car peut-être aurais-je du les dire à voix haute plutôt que de les garder a virevolter dans mes limbes.

Tu n'est jamais vraiment passer dans ma vie, mais je saurai déjà quoi te dire pour t'y donner envie de ne jamais plus en partir.

Mots que je connais par cœur, mots qui encore reste en moi de peur de les perdre. Toute cette vie continueras avec ce désir d'un jour te trouver.

Le chemin n'est ni long ni court, il sera seulement plus beau avec toi.

Je continuerais a t'écrire sans savoir vraiment à qui ces bonheurs seront dédiés.

Je continuerais à l'espérer. Contre vents et marées.

jeudi 27 août 2009

Paisible

Rien d'excitant, rien non plus de décevant. Juste cette continuité tranquille qui continue. L'empressement à laisser place a une tranquillité paisible, la force est devenu plus passive, toujours présente, mais sans ce sentiment de devoir à tout prix me presser d'arriver ou je désire aller.

Lâcher la pédale me fait du bien, prendre mon temps, ne plus me stresser avec ces buts que je tentes de rencontrer depuis, depuis elle.

Bien seul, trop bien peut-être. Ça passera sûrement un jour. Mais ce sentiment de vouloir a laisser place a celui d'appréciation de mon statut actuel.

Dur à expliquer, le temps passe, c'est tout. Mais merde, depuis longtemps je ne m'étais sentis aussi bien seul avec moi-même. Peut-être l'absence d'alcool de ces dernier jours y est elle pour quelque chose, sûrement. Je vais donc continuer comme ça un bout, on verra bien.

Je suis bien en ce moment, c'est tout.

mercredi 26 août 2009

Présent

Juste envie de savoir, plein de choses qui se passe présentement, j'écris et ça m'aide parfois.

De me relire, oui, je fais ça, souvent. Me fait voir quelle émotion était celle qui régissait mes humeurs et après je m'analyse un peu. Vois que j'ai eu tort de penser tel ou tel chose, vois ce qui a changé depuis que j'écris certains billets plus personnel.

Faire sortir, digérer certaines choses que je n'aurais peut être pas du ingérer. Certaines paroles ou mots qui sont sorti de moi et qui aurait du y rester. Je déteste avoir des remords sur mes gestes ou paroles. C'est rare, mais quand même.

On dit, dans le doute abstient toi, je suis un peu fatigué de suivre cette maxime qui est celle des pleutres, pas que je la suive rigoureusement, mais trop. Je ne risque pas dans certains domaines de ma vie, du moins pas assez.

Tout serait plus facile si l'ont pouvaient savoir, quoi ? Ce qui vous plaira.

Dans mon cas ce n'est pas sur le travail, ou l'argent que je me questionne, ni sur le futur de ce que sera ma vie, C'est sur le présent. Quand dans le moment présent je ressens des choses que je ne peut dire ou faire. Du à mon seul refus de les faire.

C'est plus facile d'aider les gens qui m'entoure en leurs prodiguant moult conseils qui se voient comme la solution. Peut-être est-ce plus facile du au fait que les répercussions seront moins grandes que si ces décisions devait directement m'affecter, voir chez l'autre son potentiel pour un travail, une relation amoureuse, mais en douter pour soi.

J'ai vu ce phénomène chez plusieurs, dire a son meilleur ami que oui tu as toute tes chances pour ceci et cela, mais pour eux douter de leurs potentiels.

Ayez confiance en vous, autant sinon plus que vous faites confiance à votre meilleur ami, vos parents, ou celui ou celle de votre choix. Croyez en vous, c'est le début du présent.

lundi 24 août 2009

Je m'adresse au jury

VOUS, NOUS, MOI.

Tous nous jugeons les autres, de par leurs tenu vestimentaire, de par leur discours, de par leurs études et leurs n'importe quoi.

Tout nous y contraint, nous y mènes sans avertissement, c'est inné ont dirait.

D'où vient ce besoin de toujours descendre l'autre pour se remonter, se dire que l'ont est mieux que lui ou elle. Peut-être suis-je entrain de m'y perdre du a ce sentiment que je ressens et que je crois réciproque envers les autres et qui est réciproque envers moi.

Peut-être suis-je fou ?

Mais ce sentiment de passer ma vie devant un jury tant d'hommes que de femmes, à me faire juger, sans que ceux qui le font ne prennent le temps d'écouter mon plaidoyer.

Différence entre juger et préjuger. Si tous jugeaient en connaissance de cause, nul problèmes apparents. Je sais, je fais un peu trop dans l'existentialisme est un humanisme.

Mais c'est ce que je ressens dans mes tripes de ce temps ci, je me demande pourquoi je ne peux approcher une femme sans passer pour un obsédé ou un pervers, et encore plus, pourquoi je ne peux regarder un bébé sans passer pour un pédophile.

La société présente à réduit l'homme trentenaire célibataire à une peste moderne qui fait que si le dit homme est seul, problème il y a.

Les médias nous décrivent comme de parfaits imbéciles, une queue sans tête, merde c'est l'inversion de la blonde stéréotypé version homme blanc trentenaire en 2009.

Peut-être me suis-je fourvoyé, mais je prend pour vrai que si je suis seul à mon âge, les gens me voient comme un paria en marge de la société.

Fin des mes élucubrations impertinentes, Mais quand même, j'aime les enfants et je voudrais en avoir, faute de, je souris à la vue des vôtres, ne craignez point, ils ne font que me faire chaud à l'âme, de voir ce futur en devenir.

Bien à vous père et mère si la vie vous en a donner la chance.

La parole est au demandeur. L'accusé s'est retiré.

P.S. Bonne journée Catou :)

dimanche 23 août 2009

Société

De retour pour écrire ces pensées qui me tourmente, me force à réfléchir ,me peine , me traumatise, font que je ressens. Parfois j'aimerai pouvoir être insensible à tout ce qui m'entoure.

Du moins à ces gestes ou paroles que certains laissent sortir de leurs bouches ou commettent avec leurs corps.

J'ai souvent l'impression que plusieurs n'use point de ce qui devrais leurs servir de cerveau. Non qu'ils soient stupides ou retardé mentalement. Mais être impulsif a ses mauvais côtés, j'en sais quelque chose, je le suis. Moins qu'avant mais encore tout de même.

Mais la n'est pas la majeure partie de ce qui pour moi est le reflet de ce je-m'en-foutisme qui selon ma vue de ce qui se passe en société est rendu omniprésent.

Mal agir par cause d'influx nerveux non contrôlé est une chose, le faire par manque de savoir vivre en est une autre. À tout ceux qui en voiture serait prêt a tuer un piéton pour ne pas attendre les deux minutes que dure une lumière rouge, ceux qui en métro comme en autobus laisse les gens âgés, les femmes enceinte ou les personnes qui a première vue sont mal portantes
rester debout lorsque elles sont en parfaite santé et capable de se tenir debout quelques minutes de plus.

À ceux qui voient une femmes affubler d'une poussette contenant notre avenir à tous, et qui ne lui viennent aucunement en aide lorsqu'elle doit gravir les marches d'une station de métro ou simplement leurs ouvrir la porte pour leurs venir en aide.

Bien à vous je dirai ceci, vous n'êtes qu'un ramassis de la plus putride merde que je n'ai jamais eu la chance de voir de ma vie. Vous vivez en société, même si vous tentez de le nier avec tout ces subterfuges que vous prenez pour une cape d'invisibilité.

Bien non, vous n'êtes pas seul, et même si de nos jours l'individualisme est prôné partout, encore certaines personnes ont besoin de ce petit coup de main qui fera leur journée, et fera qu'ils croirons encore que la ville n'est pas peuplé que de sales enculer qui devrait regarder la vie plutôt que leur nombril.

Chaque fois que je débarque du bus ou du métro, je jette un coup d'oeil pour voir si une femme et sa poussette n'aurai pas besoin d'un coup de main, je ne suis pas le seul à le faire, je vois souvent des gens qui me devance pour offrir leur aide a ces personnes qui ne la demande point, mais qui sont au combien heureuse de la recevoir.

Pour tout ceux qui posent ces petits gestes au quotidien, s'il s'en trouve parmi mes lecteurs, je vous remercie du plus profond de mon être, vous faites que encore aujourd'hui je sais que si jamais j'ai la chance d'avoir un enfant, quelqu'un sera la si je ne puis l'être pour aider celle qui un jour sera la mère de mes enfants.

Je ne souhaite pas de malheurs a ceux qui croient qu'ils ne doivent rien à personnes, vous me faites seulement pitié, restez cloîtré dans votre monde aseptisé et continuez votre misérable existence.

samedi 22 août 2009

Demain

Briser de part et d'autres, par ces excès d'émotions qui regorgent en moi. Mélanger sur plusieurs point qui font que je ne réussis pas à les joindre entre eux.

Chiffres, lettres qui ne sont que distractions pour mon esprit, et le votre. Lire, écouter pour combler ce qui se transforme en trou noir, à force d'avaler tout ce qui nous entoure. Tenter de combler un vide qui est rempli de questions.

Temps qui passe et que nous gardons en mémoire, si je pouvais, je me ferais lobotomisé une partie de ce que je préférerais oublié, mais qui s'ancre a mon esprit tel une sangsue a la peau. Ces souvenirs qui encore me vide de l'instant présent.

Recherche de confort, du bien-être sans vouloir devoir plier l'échine pour passer sous ce savoir de nos malheurs. Vouloir toujours marcher la tête haute quitte à se frapper le crane sur le mur de nos soucis que nous voulons ignorer.

Se faire cadavre pour ne plus ressentir que nous sommes à l'agonie, mourir prématurément, plutôt que de tenter de se sortir de se marasme émotif. Descendre plus bas pour ne plus entrevoir cette lumière qui nous brûle l'âme.

Choisir de revenir n'est point facile, y mettre tout son coeur pour enfin le sentir battre de nouveau.

Le délai peut être long, mais le résultat n'en sera que plus apprécié. Sentir le bien ou le mal, mais ressentir quelque chose. Chaque émotions en vaut la peine. Chaque combat n'implique pas une défaite d'un côté ou de l'autre. Mais bien un apprentissage qui nous mèneras vers ce que nous méritons. Non point parce que l'on désire quelque chose que nécessairement nous en avons besoin, tant en amour qu'en bien matériel, arrêtons de sur consommer pour simplement tenter de boucher ce trou sans fond. Il se dissipera de lui même sans le remplir de vide. Ce trou une fois cesser d'être abreuvé de notre inconscience se transformera en un tracé plat qui commencera a monter vers un bonheur insoupçonné.

N'arrêter pas de croire, mais ne continuer pas non plus, soyez en sur, c'est tout.

vendredi 21 août 2009

Im drunk, so what

Revenant de la librairie, consultant les essais sur l'éjaculation précoce, je me suis dit que bien soit-il, je devrais me servir de ma langue, mais quand même, je voudrais pouvoir la contenté de mon membre qui se résorbe et deviens mou trop vite du fait d'être devenu sans pouvoir de se mouvoir à bon escient désolé, je ne suis que le contraire de ce que j'écris . Ha Ha Ha have fun.

jeudi 20 août 2009

Soyons sérieux

Je revenais de faire mon épicerie, bien oui il faut bien que je mange des fois, n'ayant pas de voiture, je dois me résoudre à prendre un taxi. En embarquant dans le dit taxi, le chauffeur, un homme d'âge mûr commence à me parler, misère. Ma devise avec les taxis comme avec les coiffeurs est, moins tu me parles meilleur sera ton tips.

Me voyant les bras chargé de victuailles, mal lui en pris de commencer à me demander si je recevais à souper, et de me parler des joies de la convivialité entre amis. Moi de lui répondre que non, je n'ai point d'intérêt a ce qui attrait a ces effusions de joies entre amis, que je n'ai point.

Lui de m'offrir de partager mon repas pour discuter plus longuement des mes vues sur tout et sur rien.

Ayant été bien élevé, je ne pu qu'accepter son offre. Me voila donc pris avec ce semi itinérant à mon domicile.

En place pour un souper mémorable à la chandelle, régaler de délicieux grill-cheese au fromage jaune et jambon sans sel.

Nous voila embarquer dans des discussions plus folles les unes que les autres, parlant de la température et de son chien qui souffre d'incontinence.

Après quelques verre d'un excellent vivolo di sasso grand cru, débutant une partie de monopoly avec sa femme qui vins nous rejoindre, de peur de voir son mari avec un jeune inconnu, nous commençâmes a nous sentir un peu lasse de ces jeux légèrement trop évolué pour notre intellect, souffrant du résultat d'avoir ingurgité un si bon cru si rapidement.

Ils durent me quitter me laissant terminer la partie seul, bien m'en fus, car depuis longtemps je n'avais eu la chance de remporter une de ces dures partie ou tous d'habitudes se lient contre moi, pour me faire abandonner du a une faillite évidente.

Morale de l'histoire, revenez toujours a pied de l'épicerie, c'est plus sur.

mercredi 19 août 2009

Changement

Bon, plusieurs changement dans mon environnement de travail sont à prévoir, je suis plus du vieux loup que du jeune. J'aime une certaine stabilité dans ce qui m'entoure, surtout que comme le loup, il est difficile de m'approcher.

Je ne suis pas de ceux qui au premier coup d'oeil, l'on à envie de parler, et cela parce que je le veux bien. Je ne laisse guère de gens m'approcher, pour plusieurs raisons, chacun a les siennes. Je m'accommode aux changements, comme plusieurs, mais avec plus de temps pour y arriver. Je regrette le départ de certaines, mais sans trop le laisser transparaître.

Sûrement des relents du paternel en moi. Mais en moi sûrement comme en lui, une mer de sentiments qui m'affectes.

Je dirais au revoir avec les yeux sec comme un désert, mais en moi cette mer de larmes m'emplira sûrement.

Je reviendrai sûrement vous en parler (écrire) un bout rendu aux adieux. Car je suis fort sur les coupures secs. Pour moi point de continuité si elles ne sont pas signifié de la part de l'autre, et encore.

Bon retour à vos devoirs envers vous mêmes. Au plaisir peut-être.

Sans nom

Aurai-je la prétention de continuer de dire que tes yeux ne sont pas ceux que je voudrais voir en premier lors de mon réveil, non je ne le nierais pas. Mais je continuerais a me dire que non, ce n'est pas encore le moment.

Un jour ce moment viendra surement, pour l'instant je continuerais de le dire ici, pour que tout ce que tu me fais ressentir ne reste pas à l'interieur. Je continuerais de remercier la vie d'avoir créer des femmes dont la beauté continueront de me subjuguer, la tienne en particulier.

Si je ne fais attention, ton sourire pourrait me conduire a la folie de te révéler combien je voudrais te respirer, te caresser, te sentir de près.

Un jour peut-être quand le moment sera venu, si encore tu n'as pas trouvé celui qui te rendra heureuse, j'aurai ma chance de te dire, que tu me donne envie de te dire que tu es la plus belle femme que j'ai rencontré dans ma vie, un jour...

mardi 18 août 2009

Racines

De retour encore une fois avec des idées farfelus, des points de repères qui exaspèrent, ou dégénères, selon mes humeurs, je laisse tout débouler ou tente de le cacher.

Ce soir, ou plutôt cette nuit pour ceux qui vivent dans la normalité, du moins celle qui nous a été inculquer. Je reviens après être passé par un naufrage temporaire, après avoir mis la cale a sec disons. J'ai la chance de bénéficier d'un passé qui m'a forger pour des situations comme celle-ci.

Quand ont dit, "tu comprendras plus tard" et bien me voici enfin devant ce plus tard, oh joie de comprendre pourquoi j'ai subi tout ça, pour enfin aujourd'hui pouvoir prendre certaines choses avec un recul fort appréciable.

Non point de sarcasme dans ces mots, mais j'y vois plutôt l'ironie d'un cercle vicieux qui a commencé sans que je le souhaite, l'histoire de ma famille, qui se répète a quelques exemple près dans ma vie aujourd'hui.

Sans même le vouloir j'ai fait ces choix que je croyais être fait en pleine connaissance de cause, mais qui je le vois aujourd'hui ont sûrement été dicté par mon subconscient.
Ha le fieffé coquin, se jouer de moi pour perpétrer le recommencement de ces souvenirs enfoui en lui.

Ne sous-estimer jamais ce qui ce cache en vos entrailles cervicales. un jour ou l'autre elle vous jouerons de vilains tours. Apprenez a les respecter, n'oublier jamais qui vous êtes et d'où vous venez, car vos racines même si elles sont ignorés, jamais vous ne pourrez les couper.

C'est tout pour l'instant, je vais les abreuvez de bonheur liquide pour espérer voir de nouveau fleurir les bourgeons du bonheur sur ces branches qui ma foi,sont un peu meurtris.

lundi 17 août 2009

Good bye the futur is sold out

La vie resserre sons étreinte sur moi tel celle du serpent qui serre sa proie pour mieux la dévorer.

Pris dans sa toile, celle la même que j'ai tissé a partir de mes rêves insensés.

Mes sentiments momifiés qui dorment en mon être.

Ces crocs qui transpercent ma chair pour meurtrir mon intérieur.

Ces yeux qui me regardent sans me voir.

Ce venin qui s'immisce en mon sang pour le pourrir.

L'étreinte de ces griffes sur mon cou déjà affaibli.

Cette langue de vipère qui me susurre a l'oreille des mots insensés.

Ce dard qui me pique tel un marteau sur mon crane.

Ce chant qui me guide vers la route la plus reculé qui soit.

Cette immensité qui m'avale tel son dernier repas.

Cette carapace en laquelle je suis pris s'en m'être aperçu.

Ces ailes qui m'ont donné la possibilité de voler plus haut et mon lâchés en plein vol.

Cette verdure qui plus jamais ne poussera si ce n'est qu'en gris.

Ce cris que j'entends tel un disque qui saute.

L'image de ce futur qui n'est plus disponible.

J'emmerde la vie.

Je me ferai bien la mienne sans elle.

S'approprier son du et ne plus jamais avoir à le partager.

Seul rescapé de ma meute.

Je continuerais a avancer quitte a me perdre dans mes pensées.

Mais rien ne me forcera à reculer.

Reculer, synonymes de quitter, ce pourquoi je suis rendu la.

Ce souffle qui toujours me gardera vivant.

J'en suis rendu la.

Qui m'aime me suive.

Pour les autres, regardez mon dos car plus jamais vous ne verrez mon visage.

samedi 15 août 2009

Cent suites

Un de plus, plus qu'un autre, qui s'en va.
Va s'en regarder derrière, derrière le mur du silence.
Silence de mort, mort qui approche sans avertissement.
Avertissement d'un départ, départ vers mieux.
Mieux que rien, rien de plus.
Plus qu'à regarder passer cette vie.
Vie qui défile tel un film de série b.
Béatitude face a ce monde insignifiant.
Insignifiant est le regard des autres sur moi, moi qui pourtant me sens juger en tout temps.
Temps qui passe et me laisse indifférent, différent sur le plan émotif.
Émotif de nature, nature qui me redonne confiance, confiance perdue en même temps que mon innocence.
Innocence du nouveau né, né sans vraiment en avoir mesuré les conséquences, conséquences qui me suive pas a pas.
Pas que je tente de faire vers un meilleur avenir, avenir qui me semble si loin, loin d'être ce que j'avais en vue pour moi.
Moi, cet être qui espère toujours mieux, mieux que quoi.
Quoi qu'il en soit je serai la pour vivre encore.
Encore une fois je tenterai de faire plaisir a celle qui, qui sera la pour moi, moi qui l'aimerais.
Aimerai son parfum, son odeur, sa peau, peau que je désire.
Désir de la contenter, contenter son envie de moi.
Moi la voir heureuse, heureuse de me voir sourire, sourire qui se perd avec l'absence de son corps tout entier.
Entier n'est point le mot mais, il n'y en a point d'autre. Autre, celui qui sûrement prendra ma place que je n'aurai su conquérir, conquérir ton cœur, cœur qui sans toi saignera de nouveau.
Nouveau départ sans toi qui sera peut-être mon dernier, dernier je serai a regretter ce que je n'ai pas eu, eu le temps de te faire comprendre mon amour.
Amour que j'aurai voulu te donner, donner sans compter, compter les jours qui me sépare de toi.
Toi qui me brûle tel un feu qui me consume, consume mon être de savoir que jamais tu ne seras mienne.
Mienne j'aurai voulu que tu sois pour te dire combien je t'aime.
T'aime sans avoir a te le dire, dire que jamais je n'ai pu trouver le courage de te le signifier.
Signifier mon arrêt, arrêt d'exister pour toi.

Qui sais ?

vendredi 14 août 2009

Divagation nocturne

Faites vous encore confiance a ces yeux qui vous servent de guide dans ce monde ou la majorité de ce qui existe est hors de porté de votre vision.

Continuez de croire que l'infime partie de ce monde qui défile sous votre regard est un dogme. Ne vous sentez vous pas parfois après avoir utilisé ce que nous sommes en mesure de nous servir de ce qui nous sert de cerveau, un vide qui voudrais être comblé, mais que la force ou le temps nous manque pour tenter de remédier a ce vide qui se bouche maintenant par ce bouche-trou que nous fournis amplement notre ère.

Loin de moi la pensée de vous dire que j'y ai trouvé un remède quelconque, mais parfois ce vide que je ressens viv-à-vis mes semblables me semble démesuré. Sûrement elles ne sont que question futiles que je mets sur clavier pour tenter de m'en libérer.

Je n'attends point de réponses sur ce qui se déroule dans un silence parfait, en lequel je me résorbe pour moi aussi tenter d'y échapper. Mais en ayant pris cet espace je me suis dit au commencement de ceci, que je coucherai par écrit le plus de mes émotions, plus pour pouvoir m'en souvenir et ne point oublier que un jour je les aient ressentis.

Chacun viens dans cet air de jeux pour ses propres raisons, nul ne peut juger les motivations d'autrui de faire sortir par la forme désirée ce qui a besoin de sortir par écrit, par des mots prononcé a voix haute ou pour d'autres en tumeurs du au ressentiment de tout garder jusqu'à l'explosion interne de leurs maux.

Mais quand même je continue a me demander si une parcelle de cette populace comprend bien pourquoi elle le fait, moi le premier.

Je viens ici devant ceux qui (je les remercient) prennent un instant de leurs vie pour lire ce qui provient d'un parfait inconnu, venir ressentir ma vision, mes idées qui sont sûrement différentes de la leur. Mais qui tout comme moi,(ma vision, n'implique nullement un savoir connu) s'ouvre sur le reste de cette blogosphére qui nous relient, mais en même temps nous éloignent. Car dans la vie, s'y vous me croiser en faune urbaine, plus que sur, que jamais vous n'oseriez venir me saluer, même si mon regard croise le votre. Signe de vie bien plus fort que ce texte qui est dénué de vie réelle.

Mais peut-être encore la plume réussira a tous nous rallier, bien plus que cette carcasse de chair qui nous sert de véhicule sur cette planète.

Qui-sais, peut-être ici nous trouverons le réconfort que la chaleur de nos corps n'ont pu nous donnez, car la félicité de notre âme passe aussi par notre intellect bien avant notre physique, quoi que un complète l'autre.

Au plaisir. Merci.

jeudi 13 août 2009

De haut, la descendance

Après s'être consumé par la haine, son visage révulsé de colère, ayant survécu a ses parents de s'être mis a mort par suffisance de leur être, n'ayant encore point atteint l'âge de raison, il du se faire berger de sa famille. Celle la même qui encore hier ont vu leurs parents se démembré pour se porter a un autre niveau de haine.

Ces même parents qui n'ont jamais étanché leurs soif de suffisance, qu'en voulant se voir de haut. De vouloir dominer l'autre, plutôt que de se sentir esclave de ce sentiment qu'est l'amour.

Il doit maintenant décider si il laissera la vie a ses pairs ou si pour leurs éviter un vie de démence, mettre fin a leurs existences.

Son choix quel qu'il soit ne lui plaira pas, ses deux frères et sa sœur qui ont été témoins de la scène ne pourront jamais vivre sans haine.

Du haut de ses 12 ans il lève la hache et fait ce qui pour lui est conséquent.

La vie qui encore pour lui n'a point commencé, commence déjà ici a se terminer.

Pour tout les regards prude dont vous êtes comptés, pour lui il n'en était qu'un compte qu'il se devait de démembré.

Après avoir tuer ses bien aimés, son seul devoir fut celui de se suicider.

Nul besoin de vous dire, que jamais il n'a demandé a vivre.

mercredi 12 août 2009

Un don

J'ai un don, le don de repousser tous ceux que je voudrais près de moi, mais qui me font peur, cette peur d'avoir encore mal.

Encore il n'y a pas longtemps, j'ai rencontré cette femme avec qui j'adore parler et avec qui je me sens bien. Cette femme avec qui je partage plusieurs affinités. Je me suis rapproché d'elle, et maintenant je me suis éloigné encore plus vite que de n'importe qui d'autre. Plusieurs autres sont comme moi, la peur non de l'attachement, mais bien la peur du rejet.

Plusieurs qui liront ces mots me mépriserons de ma couardise. Je sais, mais encore rendu a mon âge, la confiance en soi ne s'achète point au dépanneur.

Je voudrais tellement croire que je suis son genre d'homme, que je suis quelque chose pour elle. Plus que ce que je ne me perçois. Je sais que oui si jamais j'avais une chance d'être avec elle je me donnerais a cœur perdu pour en faire une femme heureuse.

Mais encore le spectre de la défaite me hante et surpasse ma vision d'un bonheur qui sans avoir jamais existé se désagrège tel la pyrite entre mes mains. Je ne dirai pas que j'en suis heureux, mais d'être seul et non d'être rejeté me semble a mes yeux moins pire qu'un échec qui pour moi serait pire que tout.

Car pour chacun d'entre nous, un revers est synonyme de perte d'estime.

N'en ayant déjà que peu, je dois me résoudre a tenter de me sauver pour n'y point laisser beaucoup plus que ma chemise. Au travail je suis dans mon élément, je contrôle chaque seconde de mon environnement. Mais rendu a moi-même, seul chez moi je me retrouve face a la vraie vie, elle m'effraie beaucoup plus qu'un samedi rempli a capacité, et d'où je suis sur de m'en sortir la tête haute en tout temps.

mardi 11 août 2009

Le mal et la mort "troisieme partie, enfin réuni"

Vous pensiez m'avoir perdu, mais je suis récurent dans vos esprit tordus, certains d'entre vous qui me voient désespèrent, mais plusieurs me vénère.

Je reviens avec toute la force que vous m'avez accordez, à force d'occuper vos pensées.

Mon retour ne sera point vain car je reviens pour chercher mon gain, celui qui me reviens de droit, celui que l'on ne me cède jamais avec joie. Courrez misérables, je serais toujours la pour vous remémorez, a quel point vous êtes envers moi redevable.

N'auriez vous point compris, que sans moi le bien ne serait pas un compromis. Que ce qui abreuve vos vies ne serait que fade et sans goût, que ce qui s'y trouve pourrait bien venir des égouts ou de vos espoirs les plus fou, nul différence si ce n'est que vous voyez que d'un monde a l'autre vous avez travailler pour ne pas succomber, a ne point pêcher par excès d'oisiveté.

Aujourd'hui je suis de retour pour lapider ceux qui ont commis le crime de croire qu'ils ne devaient point croire. Peut-être êtes vous en train de vous y perdre, loin de moi l'intention de vous aider a trouver un sens a ces paroles, qui pour vous ne sont que fariboles.

Je viens chercher ceux pour qui tout est déjà passé, ceux qui vivent dans un corps déjà momifié.

Je remercie votre siècle de me donner tant d'âmes torturé, plus que jamais je n'en ai rêvé.

Commencez a respirez, apprenez a vivre et non a survivre, si vous ne souhaitez point me voir débarquez, de ma fauche armée, pour venir vous cherchez.

VIVEZ !

lundi 10 août 2009

Sans destinataire...

Point de différence tant que nous resterons dans l'indifférence. Nul besoin d'aller plus loin si c'est pour s'arrêter a mi-chemin.

Je ne souhaite que de continuer mais le seul fait d'y penser n'a d'autre effet sur mon cœur que de le paralyser. Vouloir prendre les devants sur ce qui pourrait être un nouveau tournant. De ma vie reprendre le contrôle, ne plus y avoir que le second rôle.

Tenter de réfléchir a mon avenir, qui a chaque pas continue de s'écrire. Ne point quémander une faveur, mais bien espérer ce bonheur, de mettre fin a mes heurts. Apprivoiser ce qui me semble compliquer, ne plus tenté de deviner tes pensées.

Pouvoir me permettre de te dire, que ton regard me fait frémir, tant de bonheur que de peur, de voir a nouveau mes yeux s'emplir de pleurs, que ces larmes soient de joie ou sang, je sais que ce n'est qu'une question de temps.

Encore cette nuit tu retarde la venue de Morphée, elle seule qui pour un court instant réussi a me soulager. Non d'un mal qui me dévore tel ces remords, de ne point encore t'avoir dit ces paroles qui me coûtent tant d'efforts.

Si Chronos pouvait se jouer du temps et devancer cette échéance, qui de toi me sépare et me foudroies telle une lance. Je ne suis que le seul responsable de ma déchéance, a m'emmurer dans ce silence.

Mais ces paroles qui ont tourner dans ma tête, cette vision de ce qui pourrait être ma plus belle conquête, a force de virevolter finiront bien par se dissiper. Ou peut-être a raison de s'y incruster, finiront par sortir a l'aide de ma langue un jour déliée.

Mais pour ce qui est du moment présent, tu est cause de mon ressentiment, de ne pas être plus brave, de ne point me décider à enfin avouer que ce qui m'entrave, c'est la peur de perdre ce que je n'ai point encore, mais surtout d'essuyer un refus, que j'aurais préféré­ ne jamais avoir entendu.

dimanche 9 août 2009

Changement

Envie de changement, je sais pas trop pourquoi dans le fond. Me semble que je vendrais tout, et que je partirai dans l'ouest. Ou peut-être juste changer de job, faire changement. Peut-être retourner a l'école, me perfectionner dans le domaine des vins, du fromage, de tout ce qui pourrait m'apporter du neuf.

J'aime mon travail, la place est belle, le boss est gentil, rien a me plaindre vraiment. Mais me semble que je suis du pour du changement. Ça va peut-être passé, de toute façon la restauration est en difficulté a Montréal présentement. Donc dans ce que je vois dans les annonces de ce temps la, c'est pas fameux.

Je vais quand même continuer de chercher et quand ce sera le temps, bien je trouverais sûrement ce que je cherche.

samedi 8 août 2009

ben oui garde donc ca j'suis saoul

Sans bien le savoir, j'ai compris que je pourrais pas faire autrement. rendu a ce point, nul concession n'est possible.

Je dois aller me chercher une autre bière, désolé, je sombre tel votre ombre a la lune.
Ressuscitant le savoir, que vous n'êtes que vous même.

vendredi 7 août 2009

De tout et de rien

Déjà aujourd'hui, hier est passé si vite. Mais bon c'est pas moi qui va s'en plaindre. Me semble que je resterai bien ici, dans mon lit toute la journée.

Pas de vacances cette année. Mais au moins je travaille, j'en connais quelques uns qui prendraient bien ma place au lieu d'être au chômage.

Bon, ça fait longtemps que je n'ai pas affiché une ou deux recettes ici. Allons-y avec le menu d'hier.

En entrée, Pétoncles poêlé et son chutney de poireaux, tomates et mangues.
Chèvre frits et ses pommes caramélisés a l'érable.

Magret de canard (jamais plus cuit que rosé s.v.p.) sauce aux framboises et thym
Morue, sauté de chanterelles et polenta crémeuse aux herbes.
Mignon de bœuf et sauce au porto.

En gros c'était ça pour mes suggestion d'hier. Si jamais vous voulez les recettes au complet, ça me fera plaisir de vous les expliquer en détails.

@ Cannelle, tu viens nous revoir bien vite ?

jeudi 6 août 2009

Jamais

Mot dénuer de sens, car jamais n'existe point, car qui dit jamais, croit savoir de quoi demain sera fait. Nous voudrions tous dire que jamais plus, cela ou ceci.

Mais comment savoir ce que ce mot veut dire, jamais revient a dire que demain ne sera pas, dire que l'improbable n'est point probable. bien vous en fait si vous pouvez voir demain.

Mais ce mot reviens a une perte d'espoir et non d'une certitude. Mais même sans espoir, il reviendra sans vous consultez avant d'intervenir. Mal vous en prends de décider de votre avenir.

Bien a vous de pensez, que votre futur est tracer. Mais du jour a la nuit, vous resterez surpris, de voir que vous n'avez rien compris.

Essayez plutôt de rester éveillez et de voir ce qui reste cacher, de vos yeux, ne peux que résulter vos désirs malheureux.

Détrompez vous, vos yeux ne sont la que pour vous berner, car de votre cœur ils sont éloigner.

Redevenez aveugle, et croyez, que vos sens ont été floués.

Bien a vous je reviendrais, avec mes pensées, qui peut-être vous semble injustifiées.

Coeur

Pour ceux qui ont lu mes premier billets, vous comprendrez.

Un an déjà est passé, j'ai lutté contre vents et marées, de te quitter a été un choix, mais j'aurais préféré rester.

Impossible de continuer a me détruire, j'ai du quitter et t'annoncer le pire. Jamais je n'aurai cru que pour ne plus me mourir, tu essayerais d'en finir. Cette vie qui était notre sans aucun avenir pour la prochaine, t'aura rendu seule avec ta peine.

Un an de plus, une mort qui continue.

Moi j'y ai survécu, non sans m'être débattue, contre ce mal de te voir mourir, de savoir que jamais je ne pourrais revenir.

Aujourd'hui même si je ne suis plus la, je pense encore a toi. Non je ne regrette pas, mais je voudrais que tu trouve ta voie.

Tout mes pleurs n'auront jamais trouver écho pour ton coeur. Maintenant libre de tout ce qui me rongeait, J'ai encore peine a entrevoir un bonheur, qui résorberais mes heurts.

Plus jamais je ne voudrais blesser une femme, elles qui me font du bien a l'âme.

Seul maintenant je déverse mes torrents de larmes, sans avoir un espoir de jamais vous revoirs.

Dans ma vie je suis seul sans le vouloir, en espérèrent qu'un jour il y en ai une pour me vouloir.

Je ne cherche plus d'issus a cet engrenage qu'est l'amour, mais toujours je serai prêt a faire la cour, a cette femme qui me rendra heureux, et qui me redonnera ce feux.

Jamais dans mes yeux ne s'éteindra cette étincelle, de pouvoir faire sentir a une femme que tout ce dont j'ai besoin c'est d'elle.

Un jour, oui, un jour, mais quand?

lundi 3 août 2009

fée

Sur le chemin du retour, jamais elle n'aurait pensé trouver âme qui vive.

De plus qu'elle revenait de loin et son but n'était pas encore atteint, marchant en regardant le ciel et ses milles et une fées qui y était accrochées et qui éclairait sa route, son regard ébloui par tant de beauté ne pu s'empêcher de verser une larme car elle aurait bien voulu attraper une partie de cette beauté pour réchauffer son cœur.

Avançant lentement pour ne pas perdre une lueur de ce spectacle céleste, elle vit descendre vers elle une de ses fées qui sont accroché dans le ciel, elles qui jamais ne quitte leurs place auprès des étoiles. Jamais auparavant elle n'aurait pu croire que tout ces points scintillants n'était pas formé que d'astres lumineux, mais bien de millier de fées qui nous guettent et nous suivent partout.

En la voyant descendre d'entre les nuages qui parsemait le ciel, elle fut saisi d'effroi.

Mais bien vite la fée lui fit part de ses bonnes intentions a son égard, elle était descendu pour illuminer ces yeux qui reflétait une âme triste et perdu. Elle s'assit sur son épaule et lui parla de tout ce qui se passait de par le monde. Des bonheurs et des vies de ces milliards d'être qui partagent nos vies a distance, ceux qui existent mais qui son invisibles pour nous. De cette force immense qu'est la vie.

Parfois même si nous sommes entouré de centaines de gens il est possible de se sentir isolée et seul, comme une marche au cœur du désert.

Elle lui fit voir un futur insoupçonné, une vision que même ses espoirs les plus fou ne lui permettais point. Lui parla doucement avec les mots du cœur. Avec le langage de l'âme.

Elle ne pouvait bien sur pas rester trop longtemps car tout ce mal qui se dégage d'ici ferait ternir son éclat et elle en avait besoin pour vivre encore et éclairer d'autre âmes torturé et perdu.

Mais ce moment passé avec elle lui rendit son sourire et fit éclore une mer de bonheur en son cœur, elle lui avait fait voir que jamais nous ne sommes seul et toujours lorsque rendu au bord du gouffre, y descendre pour traverser de l'autre cote et y remonter n'était pas au dessus de ses forces.

Il fallait simplement prendre le temps d'y descendre doucement sans se presser, et non s'y jeter a corps perdu.

Ce gouffre noir n'est rien de plus qu'un passage vers de meilleur cieux, même loin de ces fées qui sont au ciel, leurs lueur ne disparaît jamais, il suffit de lever les yeux au ciel plutôt que de regarder le sol et s'y engouffrer.

Le chemin était encore long avant l'arrivée. Mais désormais cette lueur qui brille dans ses yeux ne s'éteindra jamais plus. L'espoir y restera allumé a jamais. Merci cher fée, merci.

dimanche 2 août 2009

Reflexion


Pris dans les méandres de mon esprit, a réfléchir.

Voir que tout change et que l'on en prendra bien ce qui pourra nous apportez, laisser derrière nous ces roches que l'on a tenter de transformer en fleurs, mais qui sont devenu des boulets que nous avons trainer par habitude.

A force de vouloir que tous soient heureux, se sentir coupable du malheur que les autres s'infligent. Et en faire le notre.

Nous avons toujours une part de responsabilité, certains ne la prenne pas et d'autre s'en affligent comme s'ils pouvaient porter le monde sur leurs épaules.

C'est quand même spectaculaire de voir avec des yeux nouveaux, le recul devrait être une matière enseigné a l'école. En prendre périodiquement sur tout ce qui nous entoure au moins une fois par année, même plus si possible.

Prendre du temps pour se questionner, si l'on n'en a pas envie c'est peut-être que les réponses nous font peur.

Je ne voudrais pas généraliser, surement que certains n'ont nul besoin de remise en question dans aucune sphère de leur vie. Moi oui, après l'avoir fait, j'ai eu des choix difficile a faire, après coup je ne peux que m'en sortir mieux et plus heureux.

Encore beaucoup de choses me sont incomprises, j'irai surement encore dans le bardo plutôt qu'au nirvana.

Mais quand même, je souris et on dirait des fois que ca fait du bien. A quelques détails près je suis bien et une fois ces menus détails corrigés, bien mon foie s'en portera mieux.

Simplement de le couché par écrit m'aide déjà énormément, bon bien c'est l'heure d'aller prendre une marche sur le bord du fleuve, question de sortir un peu des fois. Bonne nuit.

Quête

Puisse que non, il ne serait pas temps de le faire, vu que l'instant de vie présent ne me guide guère vers une promesse plus vive de continuité qui corrobore mes espoirs, ce moment que je n'est qu'entre vue.

Cette immensité de vide que j'ai en moi, ce fardeau invisible qui n'existe pas. Ce mal qui me fait du bien. Cette connaissance que je sais fausse mais qui continue de faire son chemin dans mon esprit pour l'aliéner.

Ce doute qui est une certitude en soi, ces questions que je prend pour des réponses, peut-être mais certainement.

Tout viens a qui veut bien l'attendre, mais sans trop l'espérer. Cette vie qui n'est qu'une mort a retardement.

Pourquoi ne pas en profiter puisque c'est déjà passé, pourquoi en parler si ce n'est qu'une pensée qui déjà s'est libéré de mon esprit.

Tenter de retenir est déjà le début de comment le perdre. Nul besoin de le savoir, il faut le ressentir, notre tête est toujours en retard sur notre cœur.

Cette vie qui nous mène au tombeau, que faire pour vraiment vivre, ces histoires qui jamais ne s'efface ni ne reprennent vie.

Pourquoi ressasser des moments difficiles pour voir que non, maintenant n'est pas différent si nous vivons en arrière.

Continuer a marcher sur place en croyant avancer.

Mais peut-être devient un mot culte qui nous permet de continuer a douter tout en y croyant. Un doute certain de croire que rien peut devenir tout.

Cette mer de doute finira bien par se briser sur le mur de nos fausses croyances, tel un navire se brise sur les falaises au lieu d'arriver a bon port.

Perdu dans cette fausse vision d'un monde utopique qui n'en est plus un.

Voir d'un regard aveugle la vie qui nous prend la notre sans nous laisser le temps d'en profiter.

Vouloir être mieux pour oublier notre souffrance, mais ne pas souffrir pour apprendre a être mieux.

Pourquoi ne pas seulement vivre pour vivre, cette quête de l'impossible nous tortureras indéfiniment, sans même nous en rendre compte.

Allez, vivez et trépasser en paix.

samedi 1 août 2009

Belle soirée, me semble ...

Sorti avec le monde de la job hier, virée chez Mado pour la fête de la jolie Mélodie.
J'ai réussi a faire sortir mon grand frère de terrebonne, encore plus ermite que moi. Tres belle soirée du moins d'après mes souvenirs.

Commandité par mon frère, donc pas vraiment de limite sur le bar open avec lui. Merci J. Club gai mais entouré de toutes les plus belle femmes de mon travail. Parlé, bu, bu et bu encore. Ça fait du bien des fois.

La soirée a la job c'est passé dans le assez moyen, au moins j'ai pu faire plaisir au parents de la (très) jolie Marie-Ève, je leurs ai offert des bouchées en entré et je suis sorti de ma cage pour aller leurs porté le plat principal, ce que l'on ne ferait pas pour un sourire comme le sien.

Au moins ca sauvé ma soirée merdique, bon, douche et go to the job, merde, y fait beau, pis moi ben je m'en va m'enfermer entre quatre mur, yeah!