dimanche 23 août 2009

Société

De retour pour écrire ces pensées qui me tourmente, me force à réfléchir ,me peine , me traumatise, font que je ressens. Parfois j'aimerai pouvoir être insensible à tout ce qui m'entoure.

Du moins à ces gestes ou paroles que certains laissent sortir de leurs bouches ou commettent avec leurs corps.

J'ai souvent l'impression que plusieurs n'use point de ce qui devrais leurs servir de cerveau. Non qu'ils soient stupides ou retardé mentalement. Mais être impulsif a ses mauvais côtés, j'en sais quelque chose, je le suis. Moins qu'avant mais encore tout de même.

Mais la n'est pas la majeure partie de ce qui pour moi est le reflet de ce je-m'en-foutisme qui selon ma vue de ce qui se passe en société est rendu omniprésent.

Mal agir par cause d'influx nerveux non contrôlé est une chose, le faire par manque de savoir vivre en est une autre. À tout ceux qui en voiture serait prêt a tuer un piéton pour ne pas attendre les deux minutes que dure une lumière rouge, ceux qui en métro comme en autobus laisse les gens âgés, les femmes enceinte ou les personnes qui a première vue sont mal portantes
rester debout lorsque elles sont en parfaite santé et capable de se tenir debout quelques minutes de plus.

À ceux qui voient une femmes affubler d'une poussette contenant notre avenir à tous, et qui ne lui viennent aucunement en aide lorsqu'elle doit gravir les marches d'une station de métro ou simplement leurs ouvrir la porte pour leurs venir en aide.

Bien à vous je dirai ceci, vous n'êtes qu'un ramassis de la plus putride merde que je n'ai jamais eu la chance de voir de ma vie. Vous vivez en société, même si vous tentez de le nier avec tout ces subterfuges que vous prenez pour une cape d'invisibilité.

Bien non, vous n'êtes pas seul, et même si de nos jours l'individualisme est prôné partout, encore certaines personnes ont besoin de ce petit coup de main qui fera leur journée, et fera qu'ils croirons encore que la ville n'est pas peuplé que de sales enculer qui devrait regarder la vie plutôt que leur nombril.

Chaque fois que je débarque du bus ou du métro, je jette un coup d'oeil pour voir si une femme et sa poussette n'aurai pas besoin d'un coup de main, je ne suis pas le seul à le faire, je vois souvent des gens qui me devance pour offrir leur aide a ces personnes qui ne la demande point, mais qui sont au combien heureuse de la recevoir.

Pour tout ceux qui posent ces petits gestes au quotidien, s'il s'en trouve parmi mes lecteurs, je vous remercie du plus profond de mon être, vous faites que encore aujourd'hui je sais que si jamais j'ai la chance d'avoir un enfant, quelqu'un sera la si je ne puis l'être pour aider celle qui un jour sera la mère de mes enfants.

Je ne souhaite pas de malheurs a ceux qui croient qu'ils ne doivent rien à personnes, vous me faites seulement pitié, restez cloîtré dans votre monde aseptisé et continuez votre misérable existence.

3 commentaires:

Eve-Catherine a dit…

C'est très clair .

ti-guy a dit…

« …vous n'êtes qu'un ramassis de la plus putride merde que je n'ai jamais eu la chance de voir de ma vie. »

Des mots qui pèsent beaucoup, des mots forts de sentiments qui reflètent une opinion que j’appuie.

En 2004, j’ai décidé de quitter la métropole pour retourner en région, beaucoup parce que je croyais qu’en région se phénomène de « je-m'en-foutisme » il y en avait moins.

Aujourd’hui avec un certain recul j’avoue que c’est pas mal la même chose qu’en ville. La société a oublié de vivre avec savoir-vivre. Très désolant!

Très bon billet, merci!

Drew a dit…

Je ne peux qu'être en accord avec toi mec!

Percutant et très intéressant ce billet