lundi 3 août 2009

fée

Sur le chemin du retour, jamais elle n'aurait pensé trouver âme qui vive.

De plus qu'elle revenait de loin et son but n'était pas encore atteint, marchant en regardant le ciel et ses milles et une fées qui y était accrochées et qui éclairait sa route, son regard ébloui par tant de beauté ne pu s'empêcher de verser une larme car elle aurait bien voulu attraper une partie de cette beauté pour réchauffer son cœur.

Avançant lentement pour ne pas perdre une lueur de ce spectacle céleste, elle vit descendre vers elle une de ses fées qui sont accroché dans le ciel, elles qui jamais ne quitte leurs place auprès des étoiles. Jamais auparavant elle n'aurait pu croire que tout ces points scintillants n'était pas formé que d'astres lumineux, mais bien de millier de fées qui nous guettent et nous suivent partout.

En la voyant descendre d'entre les nuages qui parsemait le ciel, elle fut saisi d'effroi.

Mais bien vite la fée lui fit part de ses bonnes intentions a son égard, elle était descendu pour illuminer ces yeux qui reflétait une âme triste et perdu. Elle s'assit sur son épaule et lui parla de tout ce qui se passait de par le monde. Des bonheurs et des vies de ces milliards d'être qui partagent nos vies a distance, ceux qui existent mais qui son invisibles pour nous. De cette force immense qu'est la vie.

Parfois même si nous sommes entouré de centaines de gens il est possible de se sentir isolée et seul, comme une marche au cœur du désert.

Elle lui fit voir un futur insoupçonné, une vision que même ses espoirs les plus fou ne lui permettais point. Lui parla doucement avec les mots du cœur. Avec le langage de l'âme.

Elle ne pouvait bien sur pas rester trop longtemps car tout ce mal qui se dégage d'ici ferait ternir son éclat et elle en avait besoin pour vivre encore et éclairer d'autre âmes torturé et perdu.

Mais ce moment passé avec elle lui rendit son sourire et fit éclore une mer de bonheur en son cœur, elle lui avait fait voir que jamais nous ne sommes seul et toujours lorsque rendu au bord du gouffre, y descendre pour traverser de l'autre cote et y remonter n'était pas au dessus de ses forces.

Il fallait simplement prendre le temps d'y descendre doucement sans se presser, et non s'y jeter a corps perdu.

Ce gouffre noir n'est rien de plus qu'un passage vers de meilleur cieux, même loin de ces fées qui sont au ciel, leurs lueur ne disparaît jamais, il suffit de lever les yeux au ciel plutôt que de regarder le sol et s'y engouffrer.

Le chemin était encore long avant l'arrivée. Mais désormais cette lueur qui brille dans ses yeux ne s'éteindra jamais plus. L'espoir y restera allumé a jamais. Merci cher fée, merci.

1 commentaire:

Elle a dit…

Ah, j'ai besoin d'une fée...