lundi 22 mars 2010

Le debut du retour vers la fin

Voir croire, essayer déranger de part ma part d'existence, me rendre au bout pour comprendre que j'en suis encore a l'avant première. Lire d'écrire pour mieux me lire afin de me d écrire. Tenter de voir ce que mes yeux fermer, laissent place a mon intuition celle la même en qui j'ai parfois confiance et celle la même en qui je doute sans cesse.

Je suis et je me renie après chaque geste, après chaque parole. Pouvoir croire que mes déboires ne seront point vains, réussir enfin a voir ce que les devins m'avaient prédit pour un avenir sans repentir.

Réussir pour enfin devenir celui que j'ai toujours voulu devenir. Si être était seulement le fait d'être présent en espace et en temps, je serai toujours ici. Mais la conscience ne joue point de mauvais tour et la facilitée n'est jamais acceptée.

Je complique le tout pour aucune raison qui provient de mon conscient, la face cachée de la lune existe en moi et me rend mon ombre lorsque je crois enfin voir la lumière, mais jamais elle ne me bloque le soleil entièrement, car derrière elle je sens sans le voir celui qui jamais ne me laisse sans sa force.

Comme pour la vie ici bas, oui ici bas car parfois je suis a tu et a toi avec la croute terrestre qui régis mes pas et notre vie.

Descendre ne veux pas toujours dire s'enfoncer, le retour n'est pas toujours signe de recul en arrière. La direction choisie ne dicte point la ligne d'arrivée.

Je ne suis pas encore de retour de mon voyage, le chemin le plus long est celui qui me mènera a moi même. Mais je me perds aisément en cours de route. J'avance a taton dans l'obscurité de moi même.

Découvrir, entrouvrir pour enfin en finir avec ces doutes qui m'ont confine bien au dessous de moi même. lentement je reviens, je ne suis point presse de mourir donc j'avance tel le tortue car je sais que la fin sera pareil pour tous. Donc entre les deux je vais lentement sans me presser. J'y arriverai bien assez tôt.

Au plaisir.

mercredi 27 janvier 2010

En deux minutes

Soirée tranquille au resto, janvier est la plaie des restaurateurs. Je ne viens pas souvent faire mon tour, mais si tout va bien je vais avoir mon lap top la semaine prochaine. Donc je devrai effectuer un retour parmi vous, éecrire me manque mais j×ai pris d'autre moyen pour evacuer le trop plein. Ca coute plus cher mais je souhaite que ce sera plus efficace a long terme.

Donc si tout va bien je pourrai revenir vous lire plus souvent et partager tout ces changements qui s'operent presentement dans ma vie. Passez une bonne semaine, un gros calin et je reviens bien vite.

Au plaisir.

samedi 9 janvier 2010

A bon entendeur

Nouveau, ancien, le resultat de votre esperance ne sera jamais se qui pourrait être. Continuer de rever continuer de tenter ce qui jamais ne vous a parru possible. Le vide sans fin, même si la nature a horreur du vide celui qui me gruge fait exeption a la regle.

La regle qui regis ce qui ne parrait point vrai ou faux reste encore la meilleure solution, celle qui a été un dogme dans nos vies, ne sera plus celle qui regiras ma conscience, véritée remise en doute, savoir qui ne vaux pas plus que ma premiere couche. Dure de l'accepter car je vivais et muais mon existence en fonction de ce faux savoir que jamais n'aurai décollé de ma peau si je ne m'était questionné a son sujet.

Dur de croire que ce que depuis toujours j'ai renié soit aujourd'hui une véritée, non sans me sentir diminué de par le fait d'avoir cru ce qui n'a jamais jamais vraiment existé sauf en pensé dans mon cerveau, celui, le seul qui m'a été donné. Comment renier un don si profond, celui de la seule facon que j'ai eu de reflechir, je me suis trahis moi même, sans le savoir.

J'y reflechis encore, mais j'en douterais toujours.

vendredi 8 janvier 2010

Nature endormi

J'ai vu la nature endormi, presque agonisante, la nature ensevli sous la neige si froide que les arbres ne pouvait lui échappé, la vie qui ralenti son cour pour ne pas mourrir, je l'ai vu trop vite j'ai tenté de la saisir en mes yeux, car impossible que deux personnes occupent le même point en même temps.

Cette vision m'a sorti pour quelques instant de cette ville pavé de béton et d'indifference qui lui son propre. J'y retournerai bientot sans regret. J'ai vu cette vie insoupsconnée, cette marque gravée en moi, ce souvenir d'un monde utopique, sans jamais demandé il m'a tout donné.

Il est du genre de sentiment comme l'amour et même le desespoir que l'on ressent, sans pouvoir y apposer des mots qui ne veulent rien dire si l'ont ne les a pas ressentis. Ces émotions sans nom.

J'ai vu cette nature endormi qui attends son réveil au printemps comme notre vie qui stagne trop souvent en son hiver, mais qui ne demande qu'a se reveiller.

Aujourd'hui j'ai vu la vie, je vous en souhaite autant.

Au plaisir.

Au royaume de Ti-Guy

En vacance, j'ai recu une invitation de notre celebre Ti-Guy lui-meme. Intrigué par ce personnage coloré et mu par une envie de nouveauté et de tranquilité je ne fis ni une ni deux et accepta le rendez-vous au lac des cedres. Arrivé hier soir je fus fourni coté nouveauté, pour la tranquilitée, on verra car deux joyeux lurons au fond des bois avec breuvages et histoires rocambolesques des deux coté ne m'ont point laissé le temps de souffler, je n'en demandais pas tant.

Une invitation qui arrive a point dans ma vie, ceux qui me suivent comprendront. Sortir de montreal, de mon appartement et vivre le temps de quelques jours sur un vibes different, échangé avec un blogueur que je suis depuis longtemps et qui me fascine par ses écrits me rempli d'un sentiment indescriptible. Joie, mais aussi de fascinaton innavouée de pouvoir connaitre celui qui se montre tel qu'il est sur son blogue. Aucune surprise, Mon Oncle Ti-Guy est vraiment ce qu'il écrit, verbo moteur, jovial et j'en passe.

Être ici au fond des bois, (trois heures de bus pour y parvenir) arrivé extenué, fatigué, mais heureux d'avoir pris ce risque de venir rencontrer quelqu'un que je ne connaissait que par écrit ou presque (parler deux fois au telephone et quelques e-mail), un risque calculé, mais pour moi qui n'est pas tres sociable le gouffre de l'inconnu était grand, mais pas assez pour refuser.

Je suis ici pour une durée inconnu ou presque, la promesse de me faire découvrir cette région me rempli d'attente mais je suis sur que ces attentes seront dépassées. Que dire de plus, content d'y être et le meilleur reste surement à venir, je vous reviendrais avec le reste de cette aventure lorsque j'aurai parcouru ce paysage magnifique en motoneige et que l'abus de bonheur liquide me deliera la langue ce soir, faites attention a vous.

Au plaisir.

p.s. son correcteur ne marche pas donc désolé pour les fautes :)