lundi 22 septembre 2014

Sans titre

Écrire encore, l'envie n'a jamais disparu, latente, endormi.

Pouvoir relire et revivre ces états qui mon mener sur cette douce pente, à peine quelques degrés d'inclinaison vers le bas, quelque fois vers le haut peuvent faire une énorme différence si l'on ne porte pas attention.

Trouver un équilibre pour ensuite pouvoir diriger la remontée plutôt que d'être dirigé vers l'inconnu.

Sourire sans vraiment se demander pourquoi, apprécier sans toujours comprendre d'où viens ce bonheur. L'accepter, difficile mais pas impossible.

Être bien. Prendre sans avoir l'impression que ce ne nous est pas dû.

Apprécier. Simplement apprécier.

Difficile depuis longtemps, sûrement encore un peu, apprendre à laisser les merveilles de la vie me faire du bien sans toujours chercher pourquoi et se sentir indigne d'un bonheur tant désirer en silence.

Arrêter de laisser la peur et le sentiment de ne pas être digne de ce bonheur me servir de mur pour m'isoler de ce qui pourrait me blesser.

Car en même temps ces murs m'empêche de voir tout ce qui pourrait me faire sourire encore plus, ou du moins me laisser voir la vie. 

dimanche 26 août 2012

Carnet du retour

Trop de temps libre depuis une semaine, en arret de travail contre mon gré. Mais peut-être que c'est exactement ce qu'il me fallait, prendre du temps pour faire le point sur le present qui rapidement devient le passé.

M'arreter pour me conscientiser sur ma position, arreter de courir pour mieux voir le décor qui m'entoure. Apres avoir relu plusieurs de mes billets, je vois le chemin parcouru, j'ai décidé d'écrire pour pouvoir m'aider dans un futur prochain a me comprendre moi-même.

Toujours quelques problemes récurents, j'espere pouvoir trouver la force de leurs faire face pendant ce congé surprise. Je verrai, mais je sens que cet arrêt n'est peut-être pas fortuit.

lundi 9 janvier 2012

Créé mon utopie

Aussi sur que l'homme croit en une fin et un départ, ni l'un ni l'autre ne sont un dogme, oublier ce que l'on m'a appris, croire le contraire, comme dirait mon auteur préferé (Dostoievski) si pour moi 2 et 2 font 5, si cela me fait plaisir, et bien j'emmerde 2 et 2 font 4, je leur crache a la geule.

Certains dogmes croit-on nous sauve la vie, l'ont ne peut voler, d'accord sur ce point, du moins sans aide, c'est effectivement impossible, mais avec le temps l'homme a prouver son désir de repousser certains dogmes, l'église a déja été la réference, puis la foi s'est éffrité, rien n'est immuable ici bas, depuis la découvrte que la terre est ronde jusqu'a la venue de pouvoir rassemblé sept milliard d'humain sans qu'ils ne se déplacent.

Pouvoir écrire sans suite, débousseler qui lira ces lignes, moi le premier, sauter du coq a l'ane sans suite évidente,tenter de garder une idée sans seulement me perdre a décrire un point en tentant d'isoler le reste, regarder a travers un miroir fracassé, voir en different angles, ne plus se résigner a regarder d'un seul oeil.

L'oeil, celui qui trompe et celui qui voit bien ce qu'il veut, celui qui me permet d'avancer et celui qui me fait stagner sur place.

Le noir, cette lumiere anéanti, ce vide ressenti du a la perte de la vue, tout peut etre possible.

Sans voir, rien ne peut erte prouvé, ou suis-je ou vais-je, si seulement je le savais.

Bonne nuit, est-ce vraiment la nuit ou suis-je endormi?











dimanche 27 novembre 2011

Avant de sortir de sa chambre sombre, il pensa longuement a comment expliquer tout ce chaos a celle qui dormait encore dans son lit.

La journée était depuis plusieurs heures entamée, le reflet du soleil réchauffait déja les murs de ce minuscule appartement, tout autant que ses pensées réchauffait l'interieur de son crane douloureux.
Peu de souvenir, mais l'envie d'en avoir n'était point presente non plus. Comment, pourquoi, trop de questions.

Allons au plus simple, parti de bon matin avec l'envie de faire du bien a l'entour de lui, il s'est rendu chez les moins bien nantis pour leurs apporter ne serais-ce qu'un léger espoir que tout peu encore changer pour le mieux.

Apres avoir accroché quelques sourires aux visages ridés par la honte et la misére, il décida d'aller se récluser un peu a son bar favori.

vendredi 18 novembre 2011

Ben merde

Je pourrai etre le dernier a le croire, mais je suis le premier a le constater, écrire encore, depuis mon dernier texte, je me suis endormi, j'ai cru me réveillé, je suis parti sans jamais bouger d'ici, j'ai lu encore plus que tout ce que j'ai écris ici. Le temps se compresse pour ensuite se mettre en mode expension sans avertir.  La vitesse de course devient vertigineuse lorsque la vie reprend son cour apres un arret non programmé.

Apres avoir perdu pied et etre descendue plus bas que le seuil des marches de mon appartement, m'être relevé, m'être réveillé au plus bas, sans voir si le sommet me serait atteignable de nouveau, ne plus voir plus bas, mais sentir qu'il y a plus haut.

Plus haut, pouvoir le voir ne rime pas toujours avec croire, voir qu'il y a plus haut ne veux pas dire que l'on croit ces sommets accessibles. Le vertige s'empare parfois de moi seulement du fait de m'être relevé, de marcher debout plutot que de creuser.

Le trou reste quand même confortable, chaud et sans surprise, marcher requiert une volontée d'avancer et la route est rempli de surprise, le trou est sans issue et sur de tout imprévu. la molesse peut nous contraindre a cette perte de volontée qui nous pousse ou plutot nous tire hors du trou.

Je reviens tranquillement, je n'ai pas perdu l'envie d'écrire, donc je reviendrais bientot, et comme a mes début, avec ou sans lecteur.

lundi 22 mars 2010

Le debut du retour vers la fin

Voir croire, essayer déranger de part ma part d'existence, me rendre au bout pour comprendre que j'en suis encore a l'avant première. Lire d'écrire pour mieux me lire afin de me d écrire. Tenter de voir ce que mes yeux fermer, laissent place a mon intuition celle la même en qui j'ai parfois confiance et celle la même en qui je doute sans cesse.

Je suis et je me renie après chaque geste, après chaque parole. Pouvoir croire que mes déboires ne seront point vains, réussir enfin a voir ce que les devins m'avaient prédit pour un avenir sans repentir.

Réussir pour enfin devenir celui que j'ai toujours voulu devenir. Si être était seulement le fait d'être présent en espace et en temps, je serai toujours ici. Mais la conscience ne joue point de mauvais tour et la facilitée n'est jamais acceptée.

Je complique le tout pour aucune raison qui provient de mon conscient, la face cachée de la lune existe en moi et me rend mon ombre lorsque je crois enfin voir la lumière, mais jamais elle ne me bloque le soleil entièrement, car derrière elle je sens sans le voir celui qui jamais ne me laisse sans sa force.

Comme pour la vie ici bas, oui ici bas car parfois je suis a tu et a toi avec la croute terrestre qui régis mes pas et notre vie.

Descendre ne veux pas toujours dire s'enfoncer, le retour n'est pas toujours signe de recul en arrière. La direction choisie ne dicte point la ligne d'arrivée.

Je ne suis pas encore de retour de mon voyage, le chemin le plus long est celui qui me mènera a moi même. Mais je me perds aisément en cours de route. J'avance a taton dans l'obscurité de moi même.

Découvrir, entrouvrir pour enfin en finir avec ces doutes qui m'ont confine bien au dessous de moi même. lentement je reviens, je ne suis point presse de mourir donc j'avance tel le tortue car je sais que la fin sera pareil pour tous. Donc entre les deux je vais lentement sans me presser. J'y arriverai bien assez tôt.

Au plaisir.

mercredi 27 janvier 2010

En deux minutes

Soirée tranquille au resto, janvier est la plaie des restaurateurs. Je ne viens pas souvent faire mon tour, mais si tout va bien je vais avoir mon lap top la semaine prochaine. Donc je devrai effectuer un retour parmi vous, éecrire me manque mais j×ai pris d'autre moyen pour evacuer le trop plein. Ca coute plus cher mais je souhaite que ce sera plus efficace a long terme.

Donc si tout va bien je pourrai revenir vous lire plus souvent et partager tout ces changements qui s'operent presentement dans ma vie. Passez une bonne semaine, un gros calin et je reviens bien vite.

Au plaisir.