mercredi 29 juillet 2009

Complexité quand tu nous tiens

La chance était mince, mais malgré tout elle existait, comment savoir par ou commencer et entrevoir une fin a ce qui na pas encore débuté ?

Tout en marchant vers un but encore flou, l'envie de retourner vers son point de départ était forte.
Mais une fois lancer rien ne peut l'arrêter, tel le petit castor :)

Non, sérieux, tout comme le papillon qui croit bien faire en se dirigeant vers la lumière pour s'y réchauffer, l'espoir de trouver un peu de réconfort en cette chaleur qui l'attire tel un aimant, finira par le tuer inévitablement. Ce désir profond de réconfort et de bien être pourrait s'avérer n'être que poison et renforcer l'envie de retrait qui déjà est présente et contribue a sa survie du moins émotive, je suis du genre a détester me poser trop de questions, mais je ne choisi pas toujours ce qui régi mon cerveau. Malheureusement aucun interrupteur pour le fermer quand bon me semble.

Mais a force d'y penser je suis capable de voir que non, il vaut mieux parfois laisser ses rêves de cotés pour voir la réalité et stopper ce flux de mauvaises idées qui parfois tente de me contrôler.

Non qu'elles sont désagréables, mais qui me laisse entrevoir que peut-etre
encore je serais privé de ma capacité a réfléchir et a dormir, non que je dorme déjà bien, mais qui encore plus que maintenant me tiendront a bout de bras avec l'espoir d'un rêve depuis longtemps oublié.

Mais quand même, des fois il fait bon rêver.

Parfois le temps passe s'en que l'on s'en rende compte, et d'autre fois chaque seconde du cadran résonne comme un siècle a nos oreilles. Tout est relatif, mais je préfère et de loin, ne pas voir le temps passer car encore trop de secondes et d'heures sont avenir, ou a venir.

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